 | Félicité Robert de Lamennais - Charity - 1834 - 250 pages
...répondit : Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien fait. Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps ; ensuite elle reprit : Quand je perdis...me restiez; mais je ne sentois qu'une chose alors. La jeune fille ne répondit rien, mais elle baissa la tête, et quelques larmes, qu'elle s'efforcoit... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 348 pages
...: Ma fille , Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien fait. Ayant dit ces mots , elle se tut un peu de temps ; ensuite elle reprit : Quand je perdis...consolation : cependant vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis , j'ai pensé que s'il vivait et qu'il nous vît en cette détresse... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - English literature - 1836 - 374 pages
...fille , Dieu est le maître : ce qu'il fait est » bien fait. » Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de » temps ; ensuite elle reprit : » Quand je...votre père , ce fut une » douleur que je crus sans consolations :cepen» dant vous me restiez; mais je ne sentais qu'une » chose alors. » Depuis , j'ai... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 354 pages
...fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien » fait. » Ayant dit ces mots , elle se lut un peu de >> temps; ensuite elle reprit: » Quand je perdis votre père , ce fut une douw leur que je crus sans consolations : cependant » vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - Philosophy - 1837 - 352 pages
...répondit : Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien fait. Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps; ensuite elle reprit : Quand je perdis...sentois qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que s'il vivoit,et qu'il nous vît en cette détresse , son âme se briseroit ; et j'ai reconnu que Dieu avoit... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 362 pages
...fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien .. fait. » Ayant dit ces mots , elle se tut un peu de » temps; ensuite elle reprit: » Quand je perdis votre père , ce fut une dou» leur que je crus sans consolations : cependant » vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1837 - 390 pages
...fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien « fait. « Ayant dit ces mots , elle se tut un peu de « temps; ensuite elle reprit : « Quand je perdis votre père, ce fut une dou« leur que je crus sans consolations : cependant «vous me restiez; mais je ne sentais qu'une «... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1838 - 676 pages
...Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien fait. £« Ayant dit ces mots, elle se tut un peu ,de temps; ensuite elle reprit: Quand je perdis...Depuis , j'ai pensé que s'il vivoit et qu'il nous vit en cette détresse, son âme se briseroit; et j'ai reconnu que Dieu avoit été bon envers lui.... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1839 - 726 pages
...répondit: Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien fait. Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps; ensuite elle reprit : Quand je perdis...consolation : cependant, vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que, s'il vivait , et qu'il nous vit en celte détresse... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 592 pages
...elle reprit : « Quand je perdis votre père , ce fut une dou« leur que je crus sans consolations : cependant « vous me restiez ; mais je ne sentois...qu'il nous « vît en cette détresse , son âme se briserait ; et j'ai • reconnu que Dieu avoit été bon envers lui. « La jeune fille ne répondit... | |
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Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps ; ensuite elle reprit : " Quand je perdis votre père, ce fut une douleur que je crus sans consolation : cependant vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que s'il vivait... 
