Histoire de France depuis les origines jusqu'à la révolution, Volume 8Hachete, 1909 - France |
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Affaires étrangères Anglais août Autrichiens avaient Banque Belle-Isle billets Bourbon Broglie C'était cardinal Chalotais Chauvelin Choiseul Clergé commandement commerce Compagnie des Indes comte d'Argenson Conseil Conseil d'en haut Contrôleur général Cour d'Aiguillon Dauphin Déclaration devait Diderot donna Dubois duc d'Orléans duchesse Dupleix écrivit États évêques fermiers fille finances Fleury française Frédéric gouvernement guerre Hanovre Histoire Hollande hommes intendants Jansénistes Jésuites l'abbé l'ambassadeur l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Espagne l'État lettres livres Louis XV Machault magistrats maréchal Marie-Thérèse marine marquis d'Argenson marquise Maupeou Maurepas Maurice de Saxe Mémoires ment millions ministre Mme de Pompadour Mme de Tencin Mme du Barry Montesquieu mort n'avait négociants Noailles officiers Orry OUVRAGES A CONSULTER paix Parlement Philippe Philosophes politique Pologne Pondichéry président prince protestants Prusse public raison réforme Régent Reine rentes Rousseau royale Russie s'était Saint-Simon Saxe secrétaire d'État septembre Silésie Tencin Terray tion traité troupes Verney Versailles Voltaire XVIIIe siècle
Popular passages
Page 173 - Newton, lorsqu'il a dit que les corps s'attirent en raison directe de leur masse, et en raison inverse du carré de leur distance...
Page 306 - On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes. Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage. Cependant, comme il ya plus de soixante ans que j'en ai perdu l'habitude, je sens malheureusement qu'il m'est impossible de la reprendre ; et je laisse cette allure naturelle à ceux qui en sont plus dignes que vous et moi.
Page 338 - Monsieur et cher maître, je sais bien que quand une bête féroce ' a trempé sa langue dans le sang humain, elle ne peut plus s'en passer; je sais bien que cette bête manque d'aliment, et que, n'ayant plus de jésuites à manger, elle va se jeter sur les philosophes.
Page 190 - J'ai toujours eu pour maxime incontestable que, quelque amusante que puisse être une comédie, c'est un ouvrage imparfait et même dangereux, si l'auteur ne s'y propose pas de corriger les mœurs, de tomber sur le ridicule, de décrier le vice et de mettre la vertu dans un si beau jour, qu'elle s'attire l'estime et la vénération publique.
Page 169 - ... un être créé, pour décider s'il est immortel ou non. La raison humaine est si peu capable de démontrer par elle-même l'immortalité de l'âme, que la religion a été obligée de nous la révéler.
Page 189 - On croirait que cet ouvrage est le fruit de l'imagination d'un sauvage ivre.
Page 415 - M. de La Borde m'a dit que vous lui aviez ordonné de m'embrasser des deux côtés de votre part. Quoi! deux baisers sur la fin de ma vie! Quel passe-port vous daignez m'envoyer! Deux : c'est trop d'un, adorable Égérie! Je serais mort de plaisir au premier.
Page 190 - J'ai guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer, et chacune de mes comédies a pour objet de le faire sortir d'une de ses niches...
Page 213 - ... pour que chacun ait quelque chose à dire ; on n'approfondit point les questions de peur d'ennuyer, on les propose comme en passant, on les traite avec rapidité...
Page 174 - Peut-on la présenter? oh! très bien, j'en réponds. Tout lui plaît, tout convient à son vaste génie : Les livres, les bijoux, les compas, les pompons, Les vers, les diamants, le biribi, l'optique, L'algèbre, les soupers, le latin, les jupons, L'opéra, les procès, le bal, et la physique '. 1 RÉPONSE DE MADAME DU CHATELET.