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moins d'ostentation.

aux champs.

Les médecins et la santé publique.

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châtiment des athées.

Mercier

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Les Français de 2440
vivront donc sous le régime d'une monarchie limitée. - Plus
d'arbitraire ni de privilèges.
· Ad-
Pouvoir représentatif.
ministration paternelle. Une audience royale. — L'éducation
du prince héritier. La perception des impôts. Du com-
merce et du luxe : variation significative de Mercier sur ce
double sujet.

Confusion

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X. Les destinées futures des États. — La paix universelle. Pru-

dente réticence: les armées subsistent, moins nombreuses et

plus fortes. Le Pape médiateur suprême. La France et

l'Angleterre alliées. L'affranchissement des noirs.

Le par-

tage de l'Orient. Confédérations allemande et italienne.
Le Japon et la Chine ouverts à la civilisation. Le sort de
l'Afrique. Monument expiatoire des blessures infligées à
l'humanité

XI. Modération remarquable qui tempère chez Mercier l'esprit
d'utopie. - Personne ne s'est moins soucié de faire table rase.
Esprit de liberté, plus remarquable encore, qui le distingue

entre tous les constructeurs de sociétés idéales. L'idée de

progrès. Ses transformations au cours du siècle suivant. ·

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Progrès et perfectibilité ne sont pas deux termes nécessaire-
ment synonymes.
Confusion que le xvIIe siècle en a faite. 142

Pages.

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IV. La tragédie. Nationale chez les Grecs, partant instructive
et utile. Parasite chez nous, oiseuse, en outre surchargée
d'artifices que les Anciens n'ont point connus. Uniformité,
monotonie, invraisemblance. Unités de lieu et de temps:
contrainte absurde. Autre tour de force obligatoire : écrire
en vers. Mercier a ses raisons de ne pas s'y plier volon-
tiers. Après la forme, le fond, dans la tragédie, appelle de
pires censures. Altération de la vérité historique. Esprit
d'adulation envers les grands. Réserves flatteuses en faveur
de Corneille; mais on l'entend et le goûte peu. - A la vérité,
sous le couvert de l'antique, il glisse des maximes hardies qui

prêtent au jeu des allusions malignes. Pauvreté d'un tel
enseignement civique. L'amour et sa rhétorique. Néces-
sité de secouer cette discipline malfaisante et de peindre sur
le vif. Points justes et côtés faibles de cette critique. . .

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VII. Dès lors, le drame n'est pas aussi facile que ses détracteurs

le prétendent. Fortes études préparatoires qu'il requiert.

L'objet final en sera de se mettre bien en état de parler

au peuple. Le peuple est un bon juge. Risible arrogance
des gens de lettres de profession: idées fausses et déplorables
conventions qu'on leur doit. L'auteur dramatique s'en gar-
dera. Foi et zèle qui doivent l'animer .

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Pages.

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206

CHAPITRE IV

Mercier dramaturge (suite). · Son Théâtré.

I. Les œuvres dramatiques de Mercier.- Élimination préalable :

les pièces qu'il n'a pas composées selon l'esprit de son système.

- Les drames proprement dits. - Caractères qu'il s'efforce d'y

împrimer : démonstration d'une vérité morale; exactitude à
décrire pour cet objet les personnages et les circonstances de
la vie réelle.

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sonnages.

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X. Combien le sentiment de l'art est étranger à Mercier. Son
mépris des arts purement imitatifs. Etranges libertés que,
malgré son admiration, il prend avec Shakespeare. — Les Tom-
beaux de Vérone. Le Vieillard et ses trois filles. -- Imitation
plus fidèle de Timon d'Athènes.

XI. Conclusion.

Pourquoi les drames, malgré les intuitions

Pages.

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heureuses dont ils témoignent, ont contrevenu à la reform fuzj

qui les engendra. Celle-ci n'en saurait porter la peine.
Mercier était dans la voie de l'avenir, toute l'évolution con-
sécutive de notre théâtre en fait foi.

il a été injustement oublié

Injustement méconnu,

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CHAPITRE V

Mercier et la Presse.

Mercier et la Comédie-

Française. Querelles de plume et procès.
Doctrines littéraires de Mercier.

I. Mercier et la presse. Indulgence qu'on lui témoigne d'abord.

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Le Nouvel Essai sur l'art dramatique : vives attaques contre
les journalistes. Revirement de ceux-ci. Répliques mo-
dérées : le Journal Encyclopédique, le Journal de Neuchâtel.
Répliques violentes : La Harpe, Fréron. Réplique dédai-
gneuse Palissot.

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II. Mercier et la Comedie-Française. Les comédiens et les
mœurs du temps. - Privilèges de la Comédie : abus que Mer-
cier dénonce. Le Nouvel Essai juge les comédiens aussi
sévèrement que les journalistes .

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Le règlement de 1757.

III. La Comédie-Française rompt avec Mercier. Requête de
Mercier au Parlement.
Abus d'in-
terprétation exactions au préjudice des auteurs; la chute
dans les règles. La réception des pièces : procédure en usage.
Mercier demande la réforme de tout ce régime. Inégalité
de situation, à l'avantage des acteurs, au détriment des au-
teurs. On lui retire ses entrées, on le repousse à main ar-
mée. Mercier et le lieutenant de police. Arrêt du Conseil
portant suppression du mémoire de Mercier.
Mercier contre les gentilshommes de la Chambre.
tion des Comédiens au Châtelet. Le Conseil intervient en-
core contre Mercier.

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Requête de
Assigna-

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IV. Beaumarchais. Les États généraux de l'art dramatique.
Règlement de 1781 succès illusoire, encourageant toutefois.
La Comédie tient bon dans sa rancune contre Mercier.
Démarche amiable de celui-ci. — Hautaine fin de non-recevoir.

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