Oeuvres complètes de J. J. Rousseau: Philosophie; Discours. Émile. Politique. Lettres de la montagne. Lettres sur la botaniqueP. Dupont, 1824 |
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Jean-Jacques Rousseau. LIBRARY OF THE LELAND STANFORD JR . UNIVERSITY ; a.50913 MAR 23 , 1901 « ( << Le premier volume contient les Discours académiques.
Jean-Jacques Rousseau. LIBRARY OF THE LELAND STANFORD JR . UNIVERSITY ; a.50913 MAR 23 , 1901 « ( << Le premier volume contient les Discours académiques.
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Jean-Jacques Rousseau. « ( << Le premier volume contient les Discours académiques , aux- quels nous avons ajouté l'Oraison funèbre de monseigneur le duc d'Orléans , qu'il fallait placer quelque part , et dans la di- vision dont elle se ...
Jean-Jacques Rousseau. « ( << Le premier volume contient les Discours académiques , aux- quels nous avons ajouté l'Oraison funèbre de monseigneur le duc d'Orléans , qu'il fallait placer quelque part , et dans la di- vision dont elle se ...
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... premier rendu l'honneur qu'ils méritent , mais de celui d'entendre mon ju- gement unanimement confirmé . Je sens bien que cette déclaration rend le début de ma lettre entièrement superflu , et le rendrait peut- être indiscret dans tout ...
... premier rendu l'honneur qu'ils méritent , mais de celui d'entendre mon ju- gement unanimement confirmé . Je sens bien que cette déclaration rend le début de ma lettre entièrement superflu , et le rendrait peut- être indiscret dans tout ...
Page 19
... premier coup d'oeil jeté sur ces institutions , je vois d'abord qu'un spectacle est un amusement ; et , s'il est vrai qu'il faille des amusements à l'homme , vous conviendrez au moins qu'ils ne sont permis qu'autant qu'ils sont ...
... premier coup d'oeil jeté sur ces institutions , je vois d'abord qu'un spectacle est un amusement ; et , s'il est vrai qu'il faille des amusements à l'homme , vous conviendrez au moins qu'ils ne sont permis qu'autant qu'ils sont ...
Page 25
... premier cas , resterait - il toujours à savoir si les passions trop ir- ritées ne dégénèrent point en vices . Je sais que la poétique du théâtre prétend faire tout le contraire , et purger les passions en les excitant : mais j'ai peine ...
... premier cas , resterait - il toujours à savoir si les passions trop ir- ritées ne dégénèrent point en vices . Je sais que la poétique du théâtre prétend faire tout le contraire , et purger les passions en les excitant : mais j'ai peine ...
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Common terms and phrases
accents aimer Alceste amour amusements assez Atrée auteurs Bérénice besoin Britannicus Burrhus carac caractère cause chant charme chose citoyens cœur comédie comédiens comique consonnances crime d'Alembert Devin du Village dire discours doit donne effet état eût femmes force fripons Genève Génevois gens goût Grecs Homère hommes honnête humain imitations j'ai jamais juger l'ame l'amour l'art l'autre l'homme l'imitation langue lois lois somptuaires lui-même Mahomet maximes méchants mélodie ment Mérope mieux Misanthrope mode harmonique mœurs Molière monde monsieur morale musique n'en nature naturel non-seulement objet Oronte parler passions peinture pense père personnage personne peuple Phèdre Philinte philosophie pièce plaisir plaisirs PLUTARQUE poète premier principes public pudeur qu'un raison rendre reste ridicule rien Rousseau s'il sage scène semble sensible sentiment serait seul sexe sions société socinianisme Sparte spectacle spectateurs talents tétracorde théâtre tion toyens tragédie trouve vérité vertu vertueux vice Voilà vois voix vrai yeux Zaïre
Popular passages
Page 424 - ... pour émouvoir un jeune cœur, pour repousser un agresseur injuste, la nature dicte des accents, des cris, des plaintes. Voilà les plus anciens mots inventés, et voilà pourquoi les premières langues furent chantantes et passionnées avant d'être simples et méthodiques.
Page 190 - Jean-Jacques, me disait-il, aime ton pays. Vois-tu ces bons Genevois ; ils sont tous amis, ils sont tous frères ; la joie et la concorde régnent au milieu d'eux.
Page 47 - ... que faire de ses. dons? Si la plaisanterie est excellente, en est-elle moins punissable? et la pièce où l'on fait aimer le fils insolent qui l'a faite, en est-elle moins une école de mauvaises mœurs?
Page 265 - Quant à moi, dût-on me traiter de méchant encore pour oser soutenir que l'homme est né bon, je le pense et crois l'avoir prouvé: la source de l'intérêt qui nous attache à ce qui est -honnête, et nous inspire de l'aversion pour le mal, est en nous et non dans les pièces.
Page 176 - MAIS quels seront enfin les objets de ces Spectacles ? Qu'y montrera-t-on ? Rien, si l'on veut. Avec la liberté, partout où règne l'affluence, le bienêtre y règne aussi. Plantez au milieu d'une place un piquet couronné de fleurs, rassemblez-y le peuple, et vous aurez une fête. Faites mieux encore : donnez les spectateurs en spectacle ; rendez-les acteurs eux-mêmes ; faites que chacun se voie et s'aime dans les autres, afin que tous en soient mieux unis.
Page 446 - En effet, comment nous laissons-nous émouvoir à la pitié, si ce n'est en nous transportant hors de nous et nous identifiant avec l'animal souffrant, en quittant, pour ainsi dire, notre être pour prendre le sien ? Nous ne souffrons qu'autant que nous jugeons qu'il souffre; ce n'est pas dans nous, c'est dans lui que nous souffrons.
Page 435 - L'écriture, qui semble devoir fixer la langue, est précisément ce qui l'altère; elle n'en change pas les mots, mais le génie; elle substitue l'exactitude à l'expression. L'on rend ses sentimens quand on parle , et ses idées quand on écrit.
Page 292 - Ainsi, voulant exposer à la risée publique tous les défauts opposés aux qualités de l'homme aimable, de l'homme de société, après avoir joué tant d'autres ridicules, il lui restait à jouer celui que le monde pardonne le moins, le ridicule de la vertu : c'est ce qu'il a fait dans le Misanthrope.
Page 54 - Ce sont vingt mille francs qu'il m'en pourra coûter; Mais pour vingt mille francs j'aurai droit de pester Contre l'iniquité de la nature humaine, Et de nourrir pour elle une immortelle haine.
Page 52 - ... qui trouvent toujours que tout va bien, parce qu'ils ont intérêt que rien n'aille mieux; qui sont toujours contents de tout le monde, parce qu'ils ne se soucient de personne; qui, autour d'une bonne table, soutiennent qu'il n'est pas vrai que le peuple ait faim; qui, le gousset bien garni, trouvent fort mauvais qu'on déclame en faveur des pauvres; qui, de leur maison bien fermée, verraient voler, piller, égorger, massacrer tout le genre humain sans se plaindre, attendu que Dieu les a doués...