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" Ce mignon, jurant, criant, grondant, tempêtant, et faisant pleurer sa femme toute la journée, finissait par faire toujours ce qu'elle voulait, et cela pour la faire enrager, attendu qu'elle savait lui persuader que c'était lui qui le voulait, et que... "
Bulletin - Page 233
by Société Historique du Sixième Arrondissement de Paris - 1910
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Oeuvres complètes de J. J. Rousseau: avec des ..., Volumes 13-15

Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...grondant, tempêtant, et faisant pleurer sa femmt toute la journée, Unissait toujours par faire <* qu'elle voulait; et cela pour la faire enrager, attendu qu'elle savait lui persuader que c'ëtail loi qui le voulait, et que c'était elle qui ne le voulait pas. M. de Margency, dont j'ai...
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Les confessions, Volume 2

Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pages
...criant, grondant, tempêtant, et faisant pleurer sa femme toute la journée, finissait par faire toujours ce qu'elle voulait, et cela pour la faire enrager,...voulait, et que c'était elle qui ne le voulait pas. M. de Margency, dont j'ai parlé, était l'ami de madame, et devint celui de monsieur. Il y avait quelques...
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Confessions

Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1846 - 586 pages
...criant, grondant, tempêtant, et faisant pleurer sa femme toute la journée, finissait par faire toujours ce qu'elle voulait, et cela pour la faire enrager,...voulait, et que c'était elle qui ne le voulait pas. M. de Margency, dont j'ai parlé, était l'ami de madame, et devint celui de monsieur. Il y avait quelques...
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Les Confessions de J.J. Rousseau

Jean-Jacques Rousseau - French language - 1849 - 638 pages
...sa femme toute la journée , finissait par faire toujours ce qu'elle voulait , cl cela pour la'faire enrager, attendu qu'elle savait lui persuader que...voulait , et que c'était elle qui ne le voulait pas. M. de Margency , dont j'ai parlé , était l'ami de madame , et devint celui de monsieur. Il y avait...
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J. J. Rousseau, ses amis et ses ennemis, Volume 2

George Streckeisen-Moultou - 1865 - 1050 pages
...demeurant bonhomme quand on savait le prendre, et possesseur de quinze à vingt mille livres de rentes auxquelles on la maria. Ce mignon jurant, criant,...voulait et que c'était elle qui ne le voulait pas. » Madame de Verdelin, avec un mari si peu aimable, avait un ami, un fort honnête homme, M. de Margency,...
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J. J. Rousseau, ses amis et ses ennemis, Volume 2

George Streckeisen-Moultou - 1865 - 652 pages
...demeurant bonhomme quand on savait le prendre, et possesseur de quinze à^vingt mille livres de rentes auxquelles on la maria. Ce mignon jurant, criant,...voulait et que c'était elle qui ne le voulait pas. » Madame de Verdclin, avec un mari si peu aimable, avait un ami, un fort honnête homme, M. de Margency,...
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J. J. Rousseau, ses amis et ses ennemis, Volume 2

George Streckeisen-Moultou - 1865 - 646 pages
...mignon jurant, criant, grondant, tempêtant et,faisant pleurer sa femme toute la journée, finis^ sait toujours par faire ce qu'elle voulait ; et cela pour...voulait et que c'était elle qui ne le voulait pas. » Madame de Verdelin, avec un mari si peu aimable, avait. un ami, un fort honnête homme, M. de Margency,...
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Nouveaux lundis, Volume 9

Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1867 - 482 pages
...quelques indications précises desquelles il résulte que, le 8 avril I750, dispense de publidant, tempêtant et faisant pleurer sa femme toute la journée,...voulait et que c'était elle qui ne le voulait pas. » Mme de Verdelin, avec un mari si peu aimable, avait un ami, un fort honnête homme, M. de Margency,...
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Les confessions de J.-J. Rousseau: suivies des Rêveries du promeneur solitaire

Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...criant, grondant, tempêtant, et faisant pleurer sa femme toute la journée, finissait par faire toujours ce qu'elle voulait, et cela pour la faire enrager,...voulait, et que c'était elle qui ne le voulait pas. M. de Margency, dont j'ai parlé, était l'ami de madame, et devint celui de monsieur. Il y avait quelques...
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Nouveaux lundis, Volume 9

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1884 - 486 pages
...sa femme toute la journée, finissait toujours par faire ce qu'elle voulait; et cela pour la fa.re enrager, attendu qu'elle savait lui persuader que...voulait et que c'était elle qui ne le voulait pas. » Mme de Verdelin, avec un mari si peu aimable, avait un ami, un fort honnête homme, M. de Margency,...
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