MERLE (Albert), rue du Four, 51. MERLIN (Henri), avocat à la Cour, rue de Seine, 6. MESSIMY (Adolphe), député de la Seine, rue Gassendi, 34. MOREAU (Georges), ancien directeur de la « Revue Universelle », MOTET (abbé), vicaire à Saint-Sulpice, rue de Vaugirard, 50. MOUTON (Léo), bibliothécaire à la Bibliothèque nationale, rue Jacob, 23. NOCQ (Henry), artiste sculpteur, quai Bourbon, 29. NOIRMONT (Jacques, baron de), rue Pierre-Charron, 66. PARDINEL (Charles), rue Bonaparte, 5. PAVY (Constant), maire adjoint du VIe arrondissement, rue du PEISSON (Dr Ernest), docteur en médecine, rue Saint-Sulpice, 28. PÉRIER (Arsène), avocat au Conseil d'État et à la Cour de Cas- PETIT (Maxime), conseiller référendaire à la Cour des comptes, rue d'Assas, 70. PICARD (Auguste), libraire-éditeur, rue Bonaparte, 82. PILON (Edmond), homme de lettres, rue Monge, 57. POETE (Marcel), inspecteur des travaux historiques, conservateur POTIN (Emile), secrétaire de la Société Historique Auteuil-Passy, sette, 3. PRACHE (Laurent), boul. Saint-Germain, 149. PRIEUR (Dr Albert), docteur en médecine, place des Vosges, 1. RACHOU (Louis), avocat à la Cour, rue du Cherche-Midi, 23. RAPILLY (Georges), libraire, quai Malaquais, 9. P REVELLAT (Gustave-Émile), ingénieur civil, quai des GrandsAugustins, 25. RIBADEAU-DUMAS (André), avocat à la Cour, rue du MontThabor, 11. RIBADEAU-DUMAS (Paul), rue de Rennes, 45. ROBIQUET (Paul-Henri), avocat au Conseil d'État et à la Cour de ROLLAND (Henri), architecte, rue des Beaux-Arts, 2. ROUSSEL (Félix), conseiller municipal du quartier de la Monnaie, rue Git-le-Cœur, 10. ROUSSEL, pharmacien de 1re classe, rue de Grenelle, 71. RUPRICH-ROBERT (Gabriel), architecte du gouvernement, rue SACERDOTE (Paul), professeur au Collège Chaptal, rue Danton, 3. SAGET (Léon), homme de lettres, rue Saint-Sulpice, 16. SALLE (Adrien), rue Dupuytren, 7. SAUNIER (Charles), homme de lettres, rue de l'Abbé-Grégoire, 27. SCHURR (Alexandre), publiciste, rue de Sèvres, 45. SEMICHON (Charles-François), inspecteur général des Finances, rue Cassette, 27. SIMON (Eugène), professeur, rue Monsieur-le-Prince, 62. SIMON-BAUDETTE (Madame), professeur, rue Monsieur-le-Prince, 62. SIMON-JUQUIN (Louis-Gabriel), avocat à la Cour, rue de l'Odéon, 19. SOYEZ (Edmond), archéologue, rue de Noyon, 22, Amiens (Somme). THÉNARD (Baronne Marguerite), propriétaire, rue de Sèvres, 17. THOMAS (Aug.-Édouard), greffier des bâtiments, rue de Seine, 74. TURGIS (Paul), éditeur, rue Saint-Placide, 55. UZANNE (Joseph), directeur des Albums Mariani, boul. SaintGermain, 172. VAILLANT (A.), attaché à la maison Firmin- Didot, rue du Lunain, 18. VALET (Paul), chef de bureau à la Société générale, boul. SaintMichel, 30. VANDENZANDE (Jules-Ferdinand), propriétaire, rue des SaintsPères, 7. VARINARD, expert en écritures près le tribunal de la Seine, rue Servandoni, 8. VAULABELLE (Alfred de), publiciste, rue Saint-Placide, 62. VERMOT (Maurice-René), libraire-éditeur, rue de Rennes, 80. VIATTE (Jules), architecte, rue Carnot, 19, à Fontainebleau (Seine-et-Marne). VIGNA (Paul), graveur, rue de Seine, 74. VIMONT, docteur médecin, rue Étienne-Marcel, 8. VITEAU (Joseph-Eugène), homme de lettres, rue Mazarine, 9. VOISIN (Hugues-François-Antoine), libraire, rue Mazarine, 34. VUAFLART (Albert), rue Spontini, 16. WIDOR (Ch.-M.), organiste de Saint-Sulpice, rue des Saints-Pères, 7. MEMBRES DÉCÉDÉS MM. BOULANGER (Victor). CHATEL. HAYE (Alexandre de). LAURAS. MAILLARD DE BROYS. MAUGERET. MONVAL (Georges). OLLENDON (Edouard d'). PILASTRE. RHONÉ (Arthur). SCORDEL. ANNÉE 1910 COMITÉ A. — ARCHÉOLOGIE, ANCIENS HÔTELS, BEAUX-ARTS. Président : M. G. DEMOMBYNES. Vice-Président : M. NUMA RAFLIN. Secrétaire M. F.-A. CAzals. : Vendredi, 7 janvier, 9 heures du soir. Membres présents: MM. Bernard, Delbet, V. Dujardin, Fromageot, Habert, Herbet, Laschett, Masson, Mimerel, Mouton, Nocq et Saunier. En l'absence de MM. Demombynes et Raflin, excusés, M. Herbet remplit les fonctions de président et M. Habert, celles de secrétaire. M. Herbet adresse ses félicitations à MM. Loys Delteil et Laschett, à l'occasion de leur promotion au grade d'officiers de l'instruction publique. M. Masson fait remarquer que certains commerçants n'hésitent pas à faire disparaître les vieux noms de rues, incrustés dans la pierre. Il demande que la commission du Vieux Paris intervienne pour empêcher le retour de ces actes qui n'ont même pas l'excuse de la nécessité. M. Fromageot continue sa monographie de la rue du Cherche-Midi et donne des renseignements très intéressants sur un certain nombre d'habitants des numéros 13, 15 et 17. M. Dujardin offre à la bibliothèque un article du Matin du 3 janvier, intitulé: Le Musée du Luxembourg au Séminaire de Saint-Sulpice, avec reproduction du perron et de la cour. carrée. M. Fromageot fait don du portrait de Népomucène Lemercier, membre de l'Académie française. Prochain ordre du jour : M. Fromageot : La rue du Cherche-Midi. La séance est levée à dix heures et demie. Vendredi, 4 février, 9 heures du soir. Membres présents: MM. F.-A. Cazals, Théo de Bellefonds, Corbierre, Delbet, Deville, Dujardin, Fromageot, Habert, Herbet, Laschett, Masson, Mimerel, Saget, Saunier, Schürr, et Sudre. En l'absence de MM. Demombynes et Raflin, excusés, M. Herbet remplit les fonctions de président. M. Mouton lit une lettre à lui adressée par un des membres de la société, M. Bioche. Cette lettre est relative à la chapelle Saint-Symphorien, qui aurait existé au no 122 de la rue du Four, sur le territoire de Saint-Germain-des-Prés. M. Herbet lit, à son tour, la réponse de M. Mouton à M. Bioche et une autre lettre de M. Bioche à M. Herbet, sur le même sujet. MM. Masson, Herbet et Mouton, proposent, après discussion, de renvoyer la question devant le comité compétent, B. M. Mouton communique à M. Fromageot quelques adresses de personnalités ayant habité la rue du Cherche-Midi pendant la période révolutionnaire. Sur le désir exprimé par M. Fromageot, M. Herbet veut bien donner quelques renseignements sur l'Inondation dans le VIe arrondissement. L'eau, après avoir envahi la chaussée du quai des GrandsAugustins (devant les marches) gagna les quais Conti et Malaquais, puis la rue Saint-André des Arts. Elle arriva rue Jacob par les bouches d'égout. Inférieure à l'inondation de 1658, celle de 1910 dépassa d'un mètre environ celle de 1740. L'eau a atteint les caves de la rue du Vieux-Colombier, alors qu'en 1802 elle ne dépassa point la rue Taranne. |