Les Heures libresG. Steinheil, 1908 |
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accouchée amant août assez avoit ayant Barbier Bautru belle Bouhier bruit c'étoit cardinal cardinal de Tencin cardinal Dubois chambre chanson Charolois cheval chirurgien chose comte comtesse Conti coucher coup cour d'Argenson débauche demanda Dieu dire disoit dit-il donner duc d'Orléans duc de Richelieu enfants étoient étoit faisoit falloit femme fille fils frère gardes gens Hérault heures homme j'ai Jean Bouhier Jésuites jeune jolie jour l'abbé l'évêque l'Opéra lieutenant de police Louis XV madame de Mailly MADAME DE MONTESPAN madame de Pompadour Madame la Dauphine mademoiselle maison maîtresse Majesté malade maréchal mari marquise marquise de Pompadour Maurepas médecins ment ministre mirliton Mme de Mailly Moncrif monde Monseigneur Monsieur Montespan mort n'avoit Nesle nuit parler passé petite pouvoit prince princesse prit Pucelle Régent reine répondit rien rire s'en s'est saigner Sainte seroit sieur sœur soir sorte souper Tressan trouvé Versailles vint Voilà vouloit voulu
Popular passages
Page 180 - Ainsi donc vous réunissez Tous les arts, tous les goûts, tous les talents de plaire; Pompadour, vous embellissez La Cour, le Parnasse et Cythère. Charme de tous les cœurs, trésor d'un seul mortel, Qu'un sort si beau soit éternel ! Que vos jours précieux soient marqués par dos fêtes; Que la paix dans nos champs revienne avec Louis! Soyez tous deux sans ennemis, Et tous deux gardez vos conquêtes.
Page 100 - Il mangeait habituellement une aile de poulet tous les soirs. Un jour, à l'heure qu'on allait le servir, un chien emporta le poulet. Les gens n'y surent autre chose que d'en remettre promptement un autre- à la broche. Le cardinal demande à l'instant son poulet ; le maître d'hôtel , prévoyant la fureur où il le mettrait en lui disant le fait, ou lui proposant d'attendre plus tard que l'heure ordinaire, prend son parti, et lui dit froidement : Monseigneur, vous avez soupe.
Page 175 - Ordonne que la maison où il est né sera démolie, celui à qui elle appartient préalablement indemnisé, sans que sur le fonds...
Page 176 - Comme on ne pouvoit parvenir à l'écarteler, on a monté à l'Hôtel de ville demander aux commissaires la permission de donner un coup de tranchoir aux jointures; ce qui a été refusé d'abord, pour le faire souffrir davantage, mais à la fin il a fallu le permettre.
Page 174 - ... a commis ledit parricide, brûlée de feu, de soufre, et sur les endroits où il sera tenaillé, jeté du plomb fondu, de l'huile bouillante, de la poix résine brûlante, de la cire et...
Page 48 - Parabère, et lui a conté tout doucement le mot de Mahomet II, qui dit à sa maîtresse : « Voilà une belle tête, je la ferai couper quand je voudrai. » Ce trait historique ne plut point à la dame, qui est partie pour Beauran, auprès de Beaumont (1), et qui, de là, doit aller dans une terre plus éloignée.
Page 24 - C'était un grand général comme vous, monseigneur. Il a les cornes de Junon et de Faune. Cornificius , comme vous savez, monseigneur, était un général habile. » Je l'interrompis : « Passons, lui dis-je ; si vous vous arrêtez à chaque médaille, vous n'aurez pas assez de temps pour les montrer toutes. » Mais, plein de son sujet, il répondit : « « Ah ! madame, celle-ci en vaut bien une autre. Cornificius est, en vérité, une des plus rares médailles du monde. Considérez-la, madame,...
Page 99 - Le duc de Saint-Simon , qui se vantait d'être le seul homme titré que l'abbé Dubois eût assez respecté pour l'excepter de l'invitation , offrit au régent de s'y trouver si ce prince voulait se respecter assez luimême pour s'en abstenir, et le régent y avait consenti ; mais la comtesse de Parabère (la Vieuville), la maîtresse alors régnante, ayant passé la nuit avec lui, exigea qu'il irait.
Page 182 - Ma chère amie, dit Madame à madame de Brancas, je suis troublée de la crainte de perdre le cœur du roi en cessant de lui être agréable. Les hommes mettent, comme vous pouvez le savoir, beaucoup de prix à certaines choses, et j'ai le malheur d'être d'un tempérament très froid.
Page 179 - Il y en avoit aussi qui étoient de figures et de postures assez lascives. Ce sont donc ces fadaises qui ont occupé et amusé tout Paris, de manière qu'on ne peut aller dans aucune maison qu'on n'en trouve de pendus à toutes les cheminées.