Dictionaire historique; ou, Histoire abregee des hommes qui se sont fait un nom, Volume 7M. Rieger, 1793 |
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... fciences dont il étoit membre , renferme plufieurs Mémoires de lui fur la phyfique & la fta- tique . Les principaux font : 1. Un fur un Inftrument pour mefurer les liquides . II . L'A- nemometre ou Mefure - vent . III . Un 3e fur une ...
... fciences dont il étoit membre , renferme plufieurs Mémoires de lui fur la phyfique & la fta- tique . Les principaux font : 1. Un fur un Inftrument pour mefurer les liquides . II . L'A- nemometre ou Mefure - vent . III . Un 3e fur une ...
Page 27
... fciences humaines . Nous avons de lui : I. Un Abrégé des Vies des Papes , en 1567 , in - 4 ° . L'auteur dédia fon ou- vrage à Pie V , qui honoroit alors le fiege Romain par fon zele & fes vertus . II . De anti- quis Romanorum nominibus ...
... fciences humaines . Nous avons de lui : I. Un Abrégé des Vies des Papes , en 1567 , in - 4 ° . L'auteur dédia fon ou- vrage à Pie V , qui honoroit alors le fiege Romain par fon zele & fes vertus . II . De anti- quis Romanorum nominibus ...
Page 37
... fciences par Levinus Torrentius , fon oncle , qui , étant grand - vicaire à Liege , l'appella auprès de lui . Papius devint chanoine de la collégiale de S. Martin à Licge , & mourut fort jeune en 1581 . On a de lui une Traduction en ...
... fciences par Levinus Torrentius , fon oncle , qui , étant grand - vicaire à Liege , l'appella auprès de lui . Papius devint chanoine de la collégiale de S. Martin à Licge , & mourut fort jeune en 1581 . On a de lui une Traduction en ...
Page 41
... fciences de France , de Suede , de Pruffe , & cenfeur - royal , naquit au Clotet de Ceffoux , dans le diocese d'Uzès , en 1703 . Il vint de bonne heure à Paris , où fes talens pour les mathéma tiques lui firent des protecteurs . Pour fe ...
... fciences de France , de Suede , de Pruffe , & cenfeur - royal , naquit au Clotet de Ceffoux , dans le diocese d'Uzès , en 1703 . Il vint de bonne heure à Paris , où fes talens pour les mathéma tiques lui firent des protecteurs . Pour fe ...
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... fciences . Il enrichit les Mémoires de cette compagnie d'un grand nombre de pieces . Cet eftimable acadé- micien ... fcience . PARES ou PERÈS , ( Jacques ) théologien Espagnol , connu fous le nom de Jacques de Valence fa patrie , le fit ...
... fciences . Il enrichit les Mémoires de cette compagnie d'un grand nombre de pieces . Cet eftimable acadé- micien ... fcience . PARES ou PERÈS , ( Jacques ) théologien Espagnol , connu fous le nom de Jacques de Valence fa patrie , le fit ...
Common terms and phrases
affez ainfi Amfterdam Anglois Anvers auffi avant J. C. avoient avoit C'eft cardinal caufe chofes Clément VII Cologne compofa comte confeiller difciple Difcours Differtation diftingué eccléfiaftique écrit édition efprit eftime enfeigna enfuite étoient étoit évêque fagacité fage faifoit faint fans favans favant fciences fe fit fe retira fecond felon fent fervit feul fiecle fiege fieurs foins foit fon pere fous le titre fouvent François ftyle fuccès fuivant fujet fur-tout grec Henri VIII Hiftoire homme illuftre imprimé in-fol Jean Jéfuite jufqu'à l'abbé l'an l'efprit l'Eglife l'Hiftoire laiffa latin Lettres Leyde livre long-tems Louis Louis XIV maifon maniere ment miniftre mort mourut n'avoit n'eft n'étoit naquit ouvrages font Padoue paffa pape perfonnes Philippe philofophie Pierre plufieurs poéfie Poëme poëte prince profeffeur publié refte Religion Rome s'eft Syrie talens tems teur théologie tion traduit Traité Utrecht Venife voyez vrage
Popular passages
Page 517 - Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi : L'un veut que plein d'amour pour toi Mon cœur te soit toujours fidèle. L'autre à tes volontés rebelle Me révolte contre ta loi. L'un tout esprit, et tout...
Page 714 - Leurs puissances réunies n'avaient pu mettre en mer une armée navale plus forte que celle de la république. Les Anglais et les Hollandais combattirent comme des nations accoutumées à se disputer l'empire de l'Océan.
Page 201 - Valois mourut peu de temps après, en 1350, à 57 ans, bien éloigné de porter au tombeau le titre de Fortuné ; cepe'ndant il venoit de réunir le Dauphiné à la France. Humbert , le dernier Prince de ce pays , ayant perdu...
Page 212 - Avril 1701 , & fut reçu avec acclamation par les uns , & avec murmure par les autres. Philippe fut d'abord reconnu par l'Ang'eterre, le Portugal, la Hollande , la Savoie ; mais bientôt une partie de l'Europe arma contre lui.
Page 217 - Bourgogne en 1363, avec la clause que , faute d'enfants mâles , le duché serait réversible à la couronne. Devenu chef de la seconde race des ducs de cette province , il éleva la Bourgogne au plus haut degré de puissance qu elle eût eu depuis ses anciens rois.
Page 503 - C'est lui aussi qui décou^ vrit le premier par ses expériences la méthode infaillible de bien tailler les arbres , pour les contraindre à donner du fruit, à le donner aux endroits où l'on veut qu'il vienne , et même à le répandre également sur toutes les branches ; ce qui n'avoit jamais été ni pensé ni même cru possible.
Page 666 - ... originaire de Livonie , après avoir été trois ans cadet dans les Gardes de la reine Christine , passa incognito en France et servit d'abord simple cavalier, dans le régiment de Brinon.
Page 260 - Ses qualités, moins brillantes que celles de ses deux émules, n'étaient pas moins solides ; et les chefs de l'Eglise les employèrent souvent avec un égal succès à la conduite des affaires les plus importantes. Dans les négociations délicates qui lui furent confiées, il montra de la prudence et de la dextérité. En gagnant la confiance par les charmes de sa candeur et de sa douceur, il ne trahit jamais la cause qui lui était confiée, ni par une molle complaisance, ni par une simplicité...
Page 245 - Sophie, qui espérait plus d'autorité sur Jean, son frère de père et de mère et incapable de tout, se révoltèrent en faveur de Jean; et pour éteindre la guerre civile, il fut réglé que les deux frères régneraient ensemble.
Page 643 - Julland, en 1644, se rendit très-habile dans les mathématiques, l'algèbre et l'astronomie. Picard, de l'académie des sciences de Paris, ayant été envoyé en 1671 par Louis XIV, pour faire des observations dans le Nord , conçut tant d'estime pour le jeune astronome, qu'il l'engagea à venir avec lui en France.