tion de la morale publique. - Office des censeurs. Comment on réprime les opinions coupables. gens de lettres. - - Auguste ministère des Les hautes destinées de l'Académie française. Les couvents abolis. - Le préjugé contre la vie mo- - Mercier semble faire comme une description anti- ticipée de la Théophilanthropie. Les destinées d'outre-tombe telles que Mercier les conçoit. La migration interstellaire. - - - et d'égalité. Préférence donnée à la forme monarchique. IX. Les grandes conquêtes de la science. Secrets retrouvés. La direction des ballons. - Pressentiment du télégraphe et du X. Les destinées futures des États. — La paix universelle. — Pru- dente réticence: les armées subsistent, moins nombreuses et plus fortes. Le Pape médiateur suprême. La France et l'Angleterre alliées. - L'affranchissement des noirs. tage de l'Orient. Confédérations allemande et italienne. Le Japon et la Chine ouverts à la civilisation. Le sort de XI. Modération remarquable qui tempère chez Mercier l'esprit d'utopie. Personne ne s'est moins soucié de faire table rase. Esprit de liberté, plus remarquable encore, qui le distingue 113 121 129 133 137 Pages. Progrès et perfectibilité ne sont pas deux termes nécessaire- 142 I. Le théâtre conçu par Mercier comme « l'école des vertus et des devoirs du citoyen »>. Son plan de réforme n'a pour objet que de l'approprier à cet usage. La philosophie du XVIIe siècle et le théâtre celui-ci appelé fatalement à deve- nir l'organe de celle-là. Évolution du goût public: le sé- sie se déclare et s'enhardit. - Toute l'imitation de la destinée humaine ne tient pas dans le tragique et le comique. — Entre les deux, le genre sérieux réclame sa place, la principale, car il se donne pour le plus utile. - Réformes qui s'ensuivent. Circonspection de Diderot il s'insurge contre le privilège des anciens genres, il ne les proscrit pas. · Succès de ces idées. III. Enthousiasme de Mercier pour une rénovation qui flatte ses · Le Nouvel Examen de la Tragédie française. Le théâtre a-t-il en effet pour vocation de moraliser les hommes? IV. La tragédie. -Nationale chez les Grecs, partant instructive sous le couvert de l'antique, il glisse des maximes hardies qui prêtent au jeu des allusions malignes. enseignement civique. - - Pauvreté d'un tel sité de secouer cette discipline malfaisante et de peindre sur - - - V. La comédie. Fausseté des personnages comiques : la nature - - - VI. Le drame. Exclut les démarcations arbitraires, s'attache - - - VII. Dès lors, le drame n'est pas aussi facile que ses détracteurs - VIII. Obstacle aux innovations : l'autorité des devanciers illus- véhémentes contre Racine et Boileau. Antipathie de nature - faire passer à Mercier bien des excès de langage. du réformateur mise à l'épreuve dans ses propres drames : Pages. 177 191 200 206 213 CHAPITRE IV Mercier dramaturge (suite). Son Théâtré. I. Les œuvres dramatiques de Mercier.- Élimination préalable: les pièces qu'il n'a pas composées selon l'esprit de son système. Les drames proprement dits. - Caractères qu'il s'efforce d'y împrimer démonstration d'une vérité morale; exactitude à - - - - Lucerval. III. La Brouette du Vinaigrier. Le Faux Ami. Léontine. — L'Habitant de la Guadeloupe.— Le Campagnard ou le Riche désabusé. - Comment la pratique ruine la théorie. Souci exclusif d'édifier. Indifférence à la vérité des carac- tères, au choix des sujets et à l'emploi des moyens. Dans quelle indigence d'invention ce théâtre finit par tomber. . - V. Autre procédé de prédication dramatique. - La vie des grands hommes représentée sur la scène. La Maison de Socrate : artifices puérils, non dénués toutefois de quelque agrément. Montesquieu à Marseille, Molière: néant de l'intérêt et de l'illusion. VI. Ce théâtre si anémique périt, par ailleurs, de bouffissure et de pléthore. Abus du romanesque le dénouement du Juge, - Pages. 222 232 240 258 263 268 VII. Premières armes de l'amour romantique: Zoé, Natalie VIII. L'enseignement civique au théâtre. Olinde et Sophronie. -N'a aucun titre à passer pour une innovation : ce n'est qu'une Childéric l'intention est à la fois généreuse et opportune, mais la fable, nulle et l'exécution, - - IX. Jean Hennuyer. — Exposition émouvante. - Faiblesse du der- drame historique se signale ici par d'assez belles promesses. mort de Louis XI. Travestissement systématique des per- gner - 285 298 - - X. Combien le sentiment de l'art est étranger à Mercier. Son XI. Conclusion. Pourquoi les drames, malgré les intuitions - Injustement méconnu, Pages. 322 330 CHAPITRE V Mercier et la Comédie- Mercier et la Presse. Française. Doctrines littéraires de Mercier. I. Mercier et la presse. - Indulgence qu'on lui témoigne d'abord. - Le Nouvel Essai sur l'art dramatique vives attaques contre dérées le Journal Encyclopédique, le Journal de Neuchâtel. cier dénonce. mœurs du temps. - Privilèges de la Comédie abus que Mer- III. La Comédie-Française rompt avec Mercier. Requête de - - de situation, à l'avantage des acteurs, au détriment des au- teurs. On lui retire ses entrées, on le repousse à main ar- IV. Beaumarchais. Les États généraux de l'art dramatique. · 344 358 366 379 |