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tion de la morale publique. - Office des censeurs. Comment

on réprime les opinions coupables.

gens de lettres.

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Auguste ministère des

Les hautes destinées de l'Académie française.

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et d'égalité. Préférence donnée à la forme monarchique.
Très prononcé contre la démocratie. Les Français de 2440
vivront donc sous le régime d'une monarchie limitée. . Plus
d'arbitraire ni de privilèges. — Pouvoir représentatif. · Ad-
ministration paternelle. - Une audience royale. - L'éducation
du prince héritier. - La perception des impôts. Du com-
merce et du luxe : variation significative de Mercier sur ce
double sujet.

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113

121

129

133

137

Pages.

Progrès et perfectibilité ne sont pas deux termes nécessaire-
ment synonymes.
Confusion que le xvIe siècle en a faite.

142

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IV. La tragédie. -Nationale chez les Grecs, partant instructive
Parasite chez nous, oiseuse, en outre surchargée
d'artifices que les Anciens n'ont point connus. Uniformité,
monotonie, invraisemblance. Unités de lieu et de temps :
contrainte absurde. Autre tour de force obligatoire : écrire
Mercier a ses raisons de ne pas s'y plier volon-
Après la forme, le fond, dans la tragédie, appelle de
pires censures. Altération de la vérité historique. - Esprit
d'adulation envers les grands. Réserves flatteuses en faveur
de Corneille; mais on l'entend et le goûte peu. A la vérité,

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sous le couvert de l'antique, il glisse des maximes hardies qui

prêtent au jeu des allusions malignes.

enseignement civique.

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Pauvreté d'un tel
L'amour et sa rhétorique. — Néces-

sité de secouer cette discipline malfaisante et de peindre sur
le vif. Points justes et côtés faibles de cette critique.

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V. La comédie. Fausseté des personnages comiques : la nature
ne fait que des caractères mixtes. Influence de Molière.
Protestation juste en faveur de la vérité; condamnation exces-
sive portée contre tout l'ancien art comique. — La pire vanité
de cet art aux yeux de Mercier il vise à faire rire.
:
Dangers
de l'entreprise faire rire du vice, qui mérite pis; faire rire
de la vertu, ce qui est un sacrilège. Molière doit bien des
comptes à la pure morale. Puérilité du rire qui descend aux
simples ridicules. Indigence croissante de l'art comique au
XVIIIe siècle. Il propage, d'ailleurs, le ridicule plutôt qu'il ne
le corrige. En conclusion, la comédie est à proscrire comme
la tragédie

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VI. Le drame. Exclut les démarcations arbitraires, s'attache
à reproduire la nature humaine au complet, sans la ramener
ni au biais tragique, ni au biais comique. Exact afin d'être
utile. Les êtres humains dans la vérité de leur caractère, de
leur condition, de leur nationalité. La stricte vraisemblance
dans l'exposé des événements: pas de romanesque.
Aucune
restriction dans le choix des sujets.
que la morale: l'éloge de toutes les
de tous les abus sont de son ressort.
qui peut instruire le public, et ainsi les matières d'adminis-
tration et les leçons de politique.

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VII. Dès lors, le drame n'est pas aussi facile que ses détracteurs
le prétendent. Fortes études préparatoires qu'il requiert.
L'objet final en sera de se mettre bien en état de parler
au peuple. Le peuple est un bon juge. Risible arrogance
des gens de lettres de profession : idées fausses et déplorables
conventions qu'on leur doit. - L'auteur dramatique s'en gar-
dera. Foi et zèle qui doivent l'animer .

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VIII. Obstacle aux innovations : l'autorité des devanciers illus-
tres. Comment Mercier en use envers ceux-ci. Attaques

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véhémentes contre Racine et Boileau. Antipathie de nature
et nécessité de situation. La passion d'affranchir l'art doit

-

faire passer à Mercier bien des excès de langage.

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du réformateur mise à l'épreuve dans ses propres drames :
douloureuse déception.

Pages.

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191

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206

213

CHAPITRE IV

Mercier dramaturge (suite). Son Théâtré.

Les drames proprement dits. - Caractères qu'il s'efforce d'y

împrimer démonstration d'une vérité morale; exactitude à
décrire pour cet objet les personnages et les circonstances de
la vie réelle.

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Lucerval.

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Pages.

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268

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drame historique se signale ici par d'assez belles promesses.
· La Destruction de la Ligue. Portrait de Philippe II. - La

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mort de Louis XI. Travestissement systématique des per-
sonnages. La leçon que l'auteur propose est loin d'y ga-

gner

-

285

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-

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X. Combien le sentiment de l'art est étranger à Mercier. Son
mépris des arts purement imitatifs. Etranges libertés que,
malgré son admiration, il prend avec Shakespeare.. Les Tom-
beaux de Vérone. Le Vieillard et ses trois filles. - Imitation
plus fidèle de Timon d'Athènes.

XI. Conclusion. Pourquoi les drames, malgré les intuitions
heureuses dont ils témoignent, ont contrevenu à la réforme
qui les engendra. Celle-ci n'en saurait porter la peine.
Mercier était dans la voie de l'avenir, toute l'évolution con-
sécutive de notre théâtre en fait foi.

-

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Injustement méconnu,

Pages.

322

330

CHAPITRE V

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Mercier et la Comédie-
Querelles de plume et procès.

Mercier et la Presse.

Française.

Doctrines littéraires de Mercier.

I. Mercier et la presse. - Indulgence qu'on lui témoigne d'abord.

-

Le Nouvel Essai sur l'art dramatique vives attaques contre
les journalistes. Revirement de ceux-ci.

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dérées le Journal Encyclopédique, le Journal de Neuchâtel.
- Répliques violentes La Harpe, Fréron. - Réplique dédai-
gneuse Palissot.

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cier dénonce.

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mœurs du temps. - Privilèges de la Comédie abus que Mer-
Le Nouvel Essai juge les comédiens aussi
sévèrement que les journalistes.

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III. La Comédie-Française rompt avec Mercier. Requête de
Mercier au Parlement. Le règlement de 1757. Abus d'in-
terprétation exactions au préjudice des auteurs; la chute
dans les règles. La réception des pièces : procédure en usage.
Inégalité
Mercier demande la réforme de tout ce régime.

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de situation, à l'avantage des acteurs, au détriment des au-

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teurs. On lui retire ses entrées, on le repousse à main ar-
mée. Mercier et le lieutenant de police. Arrêt du Conseil
portant suppression du mémoire de Mercier.
Mercier contre les gentilshommes de la Chambre.
tion des Comédiens au Châtelet. Le Conseil intervient en-
core contre Mercier.

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IV. Beaumarchais. Les États généraux de l'art dramatique. ·
Règlement de 1781 succès illusoire, encourageant toutefois.
La Comédie tient bon dans sa rancune contre Mercier.
Démarche amiable de celui-ci. Hautaine fin de non-recevoir.

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