| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 332 pages
...à l'Etre incompréhensible qui embrasse tout. Alors , l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas , je ne raisonnais pas , je ne philosophais...à la confusion de ces grandes idées , j'aimais à nie perdre en imagination dans l'espace ; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait... | |
| 1805 - 462 pages
...cette immensité, je ne pen» sois pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophois » pas; je me sentois avec une sorte de volupté, » accablé du poids de cet univers; je me livrois » avec ravissement à la confusion de ces grandes » idées; j'aimois à me perdre en imagination... | |
| 1805 - 466 pages
...eet univers 3 je me livroi» » avec ravissement à la confusion de ces grande» » idées; j'aimois à me perdre en imagination dans .» l'espace ; mon cœur , resserré dans les borne» » des êtres, s'y trouvoit trop à l'étroit ; j'étouffois » dans l'univers ; j'aurois voulu... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...cette immensité , je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas ; je me sentois , avec une sorte de volupté , accablé du poids de cet univers, je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...cette immensité , je ne pensois pas, je ne raisonnois pas , je ne philosophois pas ; je me sentois , avec une sorte de volupté , accablé du poids de cet univers, je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 548 pages
...choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas , je ne raisonnais pas, je ne philosophais...j'étouffais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...choses, à l'être incompréhensible qui embrasse tout. Alors l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas , je ne raisonnais pas, je ne philosophais...s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'unirers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 394 pages
...dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas, je me sentois, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées , j'aimois à me perdre en imagination... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...poids dé cet univers , je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination dans l'espace, mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvoit trop à l'étroit; j'étouffois dans l'univers; j'aurois voulu m'élancer dans l'infini. Je... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...poids de cet univers, je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination dans l'espace, mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvoit trop à l'étroit ; j'étouffois dans l'univers; j'aurois voulu m'élancer dans l'infini.... | |
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