de les payer nt fourberie on, il se ser e défendre et it jamais ac où il a vécu, esservi per eul reproche uis, a été desple me il a du perfides, il De, si un être ), ne fuirait et veut faire qui les hait ne faut pas ans les dé qu'ils intri passion et De quelque gager dans de vigueur our écarter e la presse onnaire et rope, et même lus de dépit et it un fou mé dour, l'homme timide et faible qui n'a point ce dans la société. Au lieu de cela, voici, par un Reveries et Dial. 2. 3 mains, féroces, et prendre en haine avec leur c'alne tout ce qui n'en est pas chargé comme eux. Mais les solitaires par goût et par choix sont naturellement humains, hospitaliers, caressans. Ce n'est pas parce qu'ils haïssent les hommes, mais parce qu'ils aiment le repos et la paix, qu'ils fuient le tumulte et le bruit. La longue privation de la société la leur rend même agréable et douce, quand elle s'offre à eux sans contrainte. Ils en jouissent alors délicieusement, et cela se voit Elle est pour eux ce qu'est le commerce des fem mes pour ceux qui ne pa sent pas leur vie ave eles, mais qui, dans les courts momens qu'ils y passent, y trouvent des charmes ignorés des g lans de profession. Je ne comprends pas comment un homme d bon sens peut adopter un seul moment la sen tence du philosophe Diderot; elle a beau étr hautaine et tranchante, elle n'en est pas moin: absurde et fausse. Eh! qui ne voit au contraire, qu'il n'est pas possible que le méchant aime vivre seul et vis-à-vis de lui-même. Il s'y sentirait en trop mauvaise compagnie, il y serait trop mal à son aise, il ne s'y supporterait pas long-temps, on bien, sa passion dominante y restant toujours Disive, il faudrait qu'elle s'éteignit et qu'il redevint bon. L'amour propre, principe de toute méchanceté, s'avise et s'exalte dans la société qui l'a fait maître, et où l'on est à chaque instant forcé de se comparer; il languit et meurt faute d'aliment dans e avec le 1415 pas chargé comme la solitude. Quiconque se suffit à lui-même ne ment les bonnes tot, et préférable au moins, en ce qu'elle ne tend des fo trager personne. Ne nous laissons pas éblouir rivatpar leelat sentencieux dont souvent l'erreur et le de et doar mensonge se couvrent : ce n'est pas la foule qui fait la société, et c'est en vain que les corps se rapprochent lorsque les cœurs se repoussent. L'homme vraiment sociable est plus difficile en liaisons qu'un autre; celles qui ne consistent quen fausses apparences ne sauraient lui conveair. Il aime mieux vivre loin des méchans sans penser à eux, que de les voir et de les hair; il aime mieux fuir son ennemi que de le rechercher pour lui nuire. Celui qui ne connaît d'autre société que celle des coeurs n'ira pas chercher la sienne dans vos cercles. Voilà comment JeanJacques a dû penser et se conduire avant la ligue dont il est l'objet; jugez si, maintenant qu'elle existe et qu'elle tend de toutes parts ses piéges autour de lui, il doit trouver du plaisir à vivre free ses persécuteurs, à se voir l'objet de leur derision, le jouet de leur haine, la dupe de leurs prides caresses, à travers lesquelles ils font ma me de toute neement percer l'air insultant et moqueur qui dus in societe quales lui rendre odieuses. Le mépris, l'indigna tin, la colère, ne sauraient le quitter au milieu sentimens si pénibles; il les fuit parce qu'ils mé: ritent sa haine et qu'il était fait pour les aimer. Le Fr. Je ne puis apprécier vos préjugés en sa faveur, avant d'avoir appris sur quoi vous les fondez. Quant à ce que vous dites à l'avantage des solitaires, cela peut être vrai de quelques hommes singuliers qui s'étaient fait de fausses idées de la sagesse ; mais au moins ils donnaient des signes non équivoques du louable emploi de leur temps. Les méditations profondes et les immortels ouvrages dont les philosophes que vous citez ont illustré leur solitude prouvent assez qu'ils s'y occupaient d'une manière utile et glorieuse, et qu'ils n'y passaient pas uniquement leur temps, comme votre homme, à tramer des crimes et des noirceurs. Rouss. C'est à quoi, ce me semble, il n'y passa pas non plus uniquement le sien. La lettre à M. d'Alembert sur les spectacles, Héloïse, Emile, le Contrat Social, les Essais sur la Paix perpétuelle et sur l'Imitation théâtrale, et d'autres écrits non moins estimables qui n'ont point paru, sont des fruits de la retraite de Jean-Jacques. Je doute qu'aucun philosophe ait médité plus profondément, plus utilement peut-être, et plus écrit en si peu de temps. Appelez-vous tout cela des noirceurs et des crimes? Le Fr. Je connais des gens aux yeux de qui c'en pourraient bien être vous savez ce que pensent cu ce que disent nos messieurs de ces f e qu'ils me es aimer. éjugés en sa ci vous les à l'avantage elques hom sses idées de livres, mais avez-vous oublié qu'ils ne sont pas Ross. Je vous ai dit ce que j'imaginais pour leur temps. mortels on is citez ont ez qu'ils sy lorieuse, et leur temps, crimes et des , il n'y passa La lettre à oise, Emile, Paix perpe et d'autres point paru, Je Jacques té plus pro et plus écrit Out cela des Mapemère attention, après m'être introduit dans la miliarité de Jean-Jacques, fut d'examiter si nes liaisons ne lui faisaient rien changer Genière de vivre; et j'eus bientôt toute la Patalposible, que non-seulement il n'y chanse pour moi, mais que de tout temps elle tours été la même et parfaitement uniFae, quand, maitre de la choisir, il avait pu suivre en liberté son penchant. Il y avait cinq ans que de retour à Paris, il avait recommencé d'y Vivre. D'abord, ne voulant se cacher en aucune are. il avait fréquenté quelques maisons das lintention d'y reprendre ses plus anciennes sons. et mème d'en former de nouvelles. Mais, au bout d'un an, il cessa de faire des visites, et prenant dans la capitale la vie solitaire qu'il ait depuis tant d'années à la campagne, Artagea son temps entre l'occupation journa bere dont il s'était fait une ressource, et les pro il |