VII. Le salon de la comtesse Fanny de Beauharnais.
de lettres par prédestination. - Le Cercle de Poinsinet. - Amie
tendre de Dorat. · Mercier se lie avec la comtesse, lui amène
Restif. Grand accueil que l'on fait à ce dernier. Réunions
brillantes et variées. Mercier dans l'ivresse de la conversa-
Voix de Polichinelle. La politique envahit tous les
VIII. Mercier historien. Les Portraits des Rois de France.
Insuffisance de la critique historique.
modération et d'équité.
Esprit remarquable de
Beauté de certaines formules évoca-
IX. Vues politiques de Mercier.
Notions claires sur les gou-
Le progrès de l'humanité.
vernements.
hâter, ne pas tout condamner du passé. A tout prendre, on
s'achemine vers le mieux. Mercier n'oppose point la nature
et la société. · Vivre en société est la vocation nécessaire de
l'homme. Conséquence acceptée comme nécessaire : l'iné-
galité. Elle a ses compensations et ses correctifs.
régression marcher toujours plus avant dans le sens de la
civilisation. Devoir étroit qui attache l'individu à l'œuvre
commune.
- Formation première des sociétés : contrat spon-
Du principe de Rousseau Mercier
tile par nature. — C'est à l'application qu'on juge les théories.
-Les hommes dupes des mots. Aucun régime n'est stric-
tement conforme à sa définition. - Aucun n'étant nécessaire-
ment préférable en soi, Mercier, en ce qui le concerne, penche
pour la monarchie tempérée. L'autorité, quelle qu'elle soit,
ne vaut néanmoins que par son accord avec la nation. - Les
changements nécessaires. Y procéder sans timidité, mais avec
ménagement. Accord nécessaire à cet effet entre la partie qui
gouverne et la partie qui enseigne. - Tout finit par s'arranger
Même les moyens violents ne font pas si grand
· Optimisme démesuré de Mercier. — Le Philosophe du
Port au bled. Un accès d'inquiétude passagère. La con-
vocation des États Généraux.