Lombards), ne résulterait-il pas dans l'atmosphère des parties atténuées qui pinceraient la fibre là plutôt qu'ailleurs ? Et de là naissent peut-être ce sentiment vif et léger qui distingue le Parisien, cette étourderie, cette fleur d'esprit... Miroir historique, - Page 32by Louis Marie Prudhomme - 1807Full view - About this book
| Louis-Sébastien Mercier - Paris (France) - 1781 - 414 pages
...particules animées qui donnent à fon cerveau , ces vibrations qui enfantent la penfée ; les yeux perpétuellement frappés de ce nombre infini d'arts, de métiers, de travaux, d'occupations diverfes, peuvent-ils s'empêcher de s'ouvrir de bonne heure , & de contempler dans un âge , où ailleurs... | |
| Pierre Villiers - Paris (France) - 1814 - 372 pages
...particules animées qui donuent à son cerveau ces vibrations qui enfantent ses pensées ; ses yeux, perpétuellement frappés de ce nombre infini d'arts,...de métiers, de travaux , d'occupations diverses, pourront 339 ils s'empêcber de les ouvrir de bonue beure , et de contempler dans un âge où ailleurs... | |
| Louis-Sébastien Mercier, Gustave Desnoiresterres - Paris (France) - 1853 - 438 pages
...distingue le Parisien, cette étourderie, cette fleur d'esprit qui lui est particulière. Ou si ce ne sont pas ces particules animées qui donnent à son cerveau ces vibrations qui enfantent la pensée, les yeux perpétuellement frappés de ce nombre infmi d'arts, de métiers, de travaux, d'occupations... | |
| Louis-Sébastien Mercier - Paris - 1853 - 440 pages
...distingue le Parisien, cette étourderie, cette fleur d'esprit qui lui est particulière. Ou si ce ne sont pas ces particules animées qui donnent à son cerveau ces vibrations qui enfantent la pensée, les yeux perpétuellement frappés de ce nombre infini d'arts, de métiers, de travaux, d'occupations... | |
| Karlheinz Stierle, Jean Starobinski - French literature - 2001 - 670 pages
...mobilité et le degré de conscience qui caractérisent l'habitant de la grande ville. Ou si ce ne sont pas ces particules animées qui donnent à son cerveau ces vibrations qui enfantent la pensée, les yeux, perpétuellement frappés de ce nombre infini d'arts, de métiers, de travaux, d'occupations... | |
| Roland Mortier - France - 2002 - 742 pages
...distingue le Parisien, cette étourderie, cette fleur d'esprit qui lui est particulière. Ou si ce ne sont pas ces particules animées qui donnent à son cerveau ces vibrations qui enfantent la pensée, les yeux, perpétuellement frappés de ce nombre infini d'arts, de métiers, de travaux, d'occupations... | |
| Isabelle Billaud - Body image in art - 2007 - 316 pages
...étudiant les individus qui fourmillent dans cette immense capitale51 ». Partant, les yeux [de l'habitant] perpétuellement frappés de ce nombre infini d'arts, de métiers, de travaux, d'occupations diverses, [ne] peuvent [. . .] s'empêcher de s'ouvrir de bonne heure, et de contempler dans un âge où ailleurs... | |
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