Mélanges historiques, satiriques et anecdotiques, Volume 1Chèvre et Chanson, 1807 - France |
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... les peuples ou des hommes qui connaissent les cours , donnent à ceux qui les 24 habitent , et surtout aux souverains , quoi- qu'assez ordinairement sans fruit . Les satires , les anecdotes qui dévoilent la turpitude et.
... les peuples ou des hommes qui connaissent les cours , donnent à ceux qui les 24 habitent , et surtout aux souverains , quoi- qu'assez ordinairement sans fruit . Les satires , les anecdotes qui dévoilent la turpitude et.
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... évêques en sont l'objet : quelques - unes offrent des vers pleins d'agrément , de finesse et de goût ; d'autres n'ont de mérite que la méchanceté et la • causticité du stile ; enfin un assez grand nombre présentent PRÉFACE . vij.
... évêques en sont l'objet : quelques - unes offrent des vers pleins d'agrément , de finesse et de goût ; d'autres n'ont de mérite que la méchanceté et la • causticité du stile ; enfin un assez grand nombre présentent PRÉFACE . vij.
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Jacques Claude de Bois-Jourdan. causticité du stile ; enfin un assez grand nombre présentent à nu les mœurs corrom- pues du tems et donnent l'idée que le public se faisait de la prétendue sagesse : des , magis- trats et des ...
Jacques Claude de Bois-Jourdan. causticité du stile ; enfin un assez grand nombre présentent à nu les mœurs corrom- pues du tems et donnent l'idée que le public se faisait de la prétendue sagesse : des , magis- trats et des ...
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... par leur fortune ou leur rang ; nous avons eu soin de les faire connaître assez , pour mettre le lecteur à portée de bien juger le trait historique qui les concerne . L Cette dernière partie , la plus étendue , në PREFACE . IV.
... par leur fortune ou leur rang ; nous avons eu soin de les faire connaître assez , pour mettre le lecteur à portée de bien juger le trait historique qui les concerne . L Cette dernière partie , la plus étendue , në PREFACE . IV.
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... assez quelle part elle avait eue dans un acte qui privait le duc d'Orléans de ses droits naturels ..... 1 » Louis XIV ne manquait pas d'esprit naturel ; il avait un bon sens et un jugement droit au - dessus des autres hommes . Il avait ...
... assez quelle part elle avait eue dans un acte qui privait le duc d'Orléans de ses droits naturels ..... 1 » Louis XIV ne manquait pas d'esprit naturel ; il avait un bon sens et un jugement droit au - dessus des autres hommes . Il avait ...
Common terms and phrases
aimait amour assez banque beau belle BERNIER BONTEMS c'était cardinal de Noailles chagrin chambre de justice CHANVALON Charlotte de Bavière charmes Chausseraie chevalier chose cœur cour dame Dieu dire donner duc d'Orléans duc de Saint-Simon duc du Maine duchesse de Berri Duclos enfant épousa FAGON faisait femme fille Fillon fortune goût grace homme j'ai jour l'abbé Dubois l'amour laissa Lass long-tems Louis XIV M.gr LE DAUPHIN M.lle DU TRON M.me DE MAINTENON M.se madame Charlotte madame de Maintenon madame de Montespan madame la duchesse mademoiselle Aissé mademoiselle Chouin mademoiselle de Valois mademoiselle du Tron maîtresse majesté maréchal mari mariage mariée marquise de Maintenon Meudon mille ministre Modène moiselle monarque monseigneur monsieur mort mourut n'était P.sse DE CONTI Parabere parler passer passion père personne plaisir PONTCHARTRAIN président princesse de Conti prit régent rien Riom s'en satiriques Scarron SCÈNE sentimens sire sorte tems trouve Versailles voulut
Popular passages
Page 306 - J'ai vengé l'univers autant que je l'ai pu : La mort dans ce projet m'a seule interrompu. Ennemi des Romains et de la tyrannie, Je n'ai point de leur joug subi l'ignominie ; Et j'ose me flatter qu'entre les noms fameux Qu'une pareille haine a signalés contre eux, Nul ne leur a plus fait acheter la victoire, Ni de jours malheureux plus rempli leur histoire.
Page 246 - Le prince, qui connaissait le caractère violent de sa fille, s'en défendit; et, sur son refus, le cardinal se mit en devoir d'entrer, et de parler lui-même. Le régent, craignant que l'aspect du prélat et du curé ne causât à la malade une révolution qui la fit mourir, se jeta au-devant du cardinal, et le pria d'attendre qu'on l'eût préparée à une telle visite.
Page 269 - Le premier président, loin de ranimer alors le feu de sa compagnie, en craignoit la vivacité. Le Régent avoit sur ce magistrat un avantage qu'on ignoroit, et qui est encore aujourd'hui une anecdote très-peu connue, si ce n'est de cinq ou six personnes : la voici. Lorsque le duc et la duchesse du Maine furent arrêtés, le premier président, qui ne se...
Page 420 - L'affaire qui l'intéressoit dans le moment le rendoit incapable d'attention pour toute autre. Il n'avoit ni cette étendue ni cette flexibilité d'esprit nécessaires à un ministre chargé d'opérations différentes, et qui doivent souvent concourir ensemble. Voulant que rien ne lui échappât, et ne pouvant suffire à tout, on l'a vu quelquefois jeter au feu un monceau de lettres toutes cachetées, pour se remettre, disoit-il, au courant.
Page 250 - ... persécutions, il la vit rarement, sous prétexte des affaires et de l'éloignement de Meudon; et, pour gagner du temps, fit ordonner à Riom de joindre son régiment, qui était de l'armée du maréchal de Berwick.
Page 398 - Ce prince l'ayant prié de cesser ses poursuites , sans pouvoir l'obtenir , lui défendit l'entrée de son palais. Le grand-prieur n'en eut que plus d'affectation à suivre cette dame aux spectacles , aux promenades , et toujours sous les yeux du roi , qui fut enfin obligé de s'adresser à Louis XIV, et de le prier de rappeler le grand -prieur. Louis se fit obéir à Londres , l'exilé revint tremblant à Versailles, dit Duclos. Dubois qui connaissait le faible du prince , chercha à l'entretenir...
Page 347 - Ecossais, gentilhomme ou non, mais se donnant pour tel, comme tous les étrangers; grand, bien fait, d'une figure agréable et noble, de beaucoup d'esprit, d'une politesse distinguée, avec de la hauteur sans insolence.
Page 397 - Fils de France, supérieurs à ceux de petit-fils. Le mariage fut conclu, malgré les incertitudes du duc de Chartres, les répugnances de Monsieur et les fureurs de Madame , qui donna un soufflet à son fils, à la première déclaration qu'il lui en fit. Le duc de Chartres...
Page 249 - Les plus grands établissements en devenaient une suite nécessaire. Il échauffa làdessus la tête de sa maîtresse, et l'obligea d'en importuner le régent : ce prince lui opposait en vain des raisons ; elle y répondait par des fureurs. Les altercations entre le père et la fille transpirèrent; Madame, mère du régent, et son altesse royale sa femme, duchesse d'Orléans, en apprirent la cause.
Page 397 - Comme l'intimité laisse bientôt voir le caractère , l'abbé sentit qu'il seroit méprisé de son élève , s'il ne le corrompoit lui-même : il n'y oublia rien , et malheureusement n'y réussit que trop. On ne fut pas long-temps à s'apercevoir du crédit de l'abbé sur le prince; mais le peu d'importance du personnage le sauvant alors de la jalousie , on ne fut pas fâché d'avoir quelqu'un dont on pût se servir, dans l'occasion, comme d'un instrument sans conséquence. Le dessein que le Roi...