Mélanges historiques, satiriques et anecdotiques, Volume 1Chèvre et Chanson, 1807 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 33
Page 78
... M. DE BRISSAC , Major des gardes du corps . M. FAGON , premier Médecin du corps du roi , LE SIEUR BERNIER , Chirurgien du roi . LE SIEUR BONTEMS . M. DE PONTCHARTRAIN , Ministre d'état . LA MARQUISE DE MAINTENON . M.lle DU TRON , nièce de M ...
... M. DE BRISSAC , Major des gardes du corps . M. FAGON , premier Médecin du corps du roi , LE SIEUR BERNIER , Chirurgien du roi . LE SIEUR BONTEMS . M. DE PONTCHARTRAIN , Ministre d'état . LA MARQUISE DE MAINTENON . M.lle DU TRON , nièce de M ...
Page 83
... M.ELLE DU TRON , LA M.SE DE MAINTENON , M. BONTEMS . LE ROI , la tête nue , à Mademoiselle du Tron . Hé bien , ma belle demoiselle , que dites- vous de la nouvelle ... lle DU TRON , en riant . Admirablement , sire F 2 NOUVELLES AMOURS.
... M.ELLE DU TRON , LA M.SE DE MAINTENON , M. BONTEMS . LE ROI , la tête nue , à Mademoiselle du Tron . Hé bien , ma belle demoiselle , que dites- vous de la nouvelle ... lle DU TRON , en riant . Admirablement , sire F 2 NOUVELLES AMOURS.
Page 84
Jacques Claude de Bois-Jourdan. M.lle DU TRON , en riant . Admirablement , sire , Choisy n'est point à comparer aux beautés de Meudon , et je trouve que votre majesté a gagné à cet échange , quoiqu'elle l'ait bien payé . LE ROI , d'un ...
Jacques Claude de Bois-Jourdan. M.lle DU TRON , en riant . Admirablement , sire , Choisy n'est point à comparer aux beautés de Meudon , et je trouve que votre majesté a gagné à cet échange , quoiqu'elle l'ait bien payé . LE ROI , d'un ...
Page 85
Jacques Claude de Bois-Jourdan. M.lle DU TRON . Sire , votre majesté me raille agréablement ; mais je n'ose , par ... M.lle DU TRON , en rougissant . Ah ! sire , vous me désarmez de tous côtés , je ne trouve plus d'armes pour me défendre ...
Jacques Claude de Bois-Jourdan. M.lle DU TRON . Sire , votre majesté me raille agréablement ; mais je n'ose , par ... M.lle DU TRON , en rougissant . Ah ! sire , vous me désarmez de tous côtés , je ne trouve plus d'armes pour me défendre ...
Page 93
... M.ELLE DU TRON . LE ROI , à mademoiselle du Tron , qui était seule au bord d'un bassin du jardin . Que faites - vous ici belle rêveuse , j'étais en peine de vous ? M.lle DU TRON . Sire , j'admirais l'eau comme principe de toutes choses ...
... M.ELLE DU TRON . LE ROI , à mademoiselle du Tron , qui était seule au bord d'un bassin du jardin . Que faites - vous ici belle rêveuse , j'étais en peine de vous ? M.lle DU TRON . Sire , j'admirais l'eau comme principe de toutes choses ...
Common terms and phrases
aimait amour assez banque beau belle BERNIER BONTEMS c'était cardinal de Noailles chagrin chambre de justice CHANVALON Charlotte de Bavière charmes Chausseraie chevalier chose cœur cour dame Dieu dire donner duc d'Orléans duc de Saint-Simon duc du Maine duchesse de Berri Duclos enfant épousa FAGON faisait femme fille Fillon fortune goût grace homme j'ai jour l'abbé Dubois l'amour laissa Lass long-tems Louis XIV M.gr LE DAUPHIN M.lle DU TRON M.me DE MAINTENON M.se madame Charlotte madame de Maintenon madame de Montespan madame la duchesse mademoiselle Aissé mademoiselle Chouin mademoiselle de Valois mademoiselle du Tron maîtresse majesté maréchal mari mariage mariée marquise de Maintenon Meudon mille ministre Modène moiselle monarque monseigneur monsieur mort mourut n'était P.sse DE CONTI Parabere parler passer passion père personne plaisir PONTCHARTRAIN président princesse de Conti prit régent rien Riom s'en satiriques Scarron SCÈNE sentimens sire sorte tems trouve Versailles voulut
Popular passages
Page 306 - J'ai vengé l'univers autant que je l'ai pu : La mort dans ce projet m'a seule interrompu. Ennemi des Romains et de la tyrannie, Je n'ai point de leur joug subi l'ignominie ; Et j'ose me flatter qu'entre les noms fameux Qu'une pareille haine a signalés contre eux, Nul ne leur a plus fait acheter la victoire, Ni de jours malheureux plus rempli leur histoire.
Page 246 - Le prince, qui connaissait le caractère violent de sa fille, s'en défendit; et, sur son refus, le cardinal se mit en devoir d'entrer, et de parler lui-même. Le régent, craignant que l'aspect du prélat et du curé ne causât à la malade une révolution qui la fit mourir, se jeta au-devant du cardinal, et le pria d'attendre qu'on l'eût préparée à une telle visite.
Page 269 - Le premier président, loin de ranimer alors le feu de sa compagnie, en craignoit la vivacité. Le Régent avoit sur ce magistrat un avantage qu'on ignoroit, et qui est encore aujourd'hui une anecdote très-peu connue, si ce n'est de cinq ou six personnes : la voici. Lorsque le duc et la duchesse du Maine furent arrêtés, le premier président, qui ne se...
Page 420 - L'affaire qui l'intéressoit dans le moment le rendoit incapable d'attention pour toute autre. Il n'avoit ni cette étendue ni cette flexibilité d'esprit nécessaires à un ministre chargé d'opérations différentes, et qui doivent souvent concourir ensemble. Voulant que rien ne lui échappât, et ne pouvant suffire à tout, on l'a vu quelquefois jeter au feu un monceau de lettres toutes cachetées, pour se remettre, disoit-il, au courant.
Page 250 - ... persécutions, il la vit rarement, sous prétexte des affaires et de l'éloignement de Meudon; et, pour gagner du temps, fit ordonner à Riom de joindre son régiment, qui était de l'armée du maréchal de Berwick.
Page 398 - Ce prince l'ayant prié de cesser ses poursuites , sans pouvoir l'obtenir , lui défendit l'entrée de son palais. Le grand-prieur n'en eut que plus d'affectation à suivre cette dame aux spectacles , aux promenades , et toujours sous les yeux du roi , qui fut enfin obligé de s'adresser à Louis XIV, et de le prier de rappeler le grand -prieur. Louis se fit obéir à Londres , l'exilé revint tremblant à Versailles, dit Duclos. Dubois qui connaissait le faible du prince , chercha à l'entretenir...
Page 347 - Ecossais, gentilhomme ou non, mais se donnant pour tel, comme tous les étrangers; grand, bien fait, d'une figure agréable et noble, de beaucoup d'esprit, d'une politesse distinguée, avec de la hauteur sans insolence.
Page 397 - Fils de France, supérieurs à ceux de petit-fils. Le mariage fut conclu, malgré les incertitudes du duc de Chartres, les répugnances de Monsieur et les fureurs de Madame , qui donna un soufflet à son fils, à la première déclaration qu'il lui en fit. Le duc de Chartres...
Page 249 - Les plus grands établissements en devenaient une suite nécessaire. Il échauffa làdessus la tête de sa maîtresse, et l'obligea d'en importuner le régent : ce prince lui opposait en vain des raisons ; elle y répondait par des fureurs. Les altercations entre le père et la fille transpirèrent; Madame, mère du régent, et son altesse royale sa femme, duchesse d'Orléans, en apprirent la cause.
Page 397 - Comme l'intimité laisse bientôt voir le caractère , l'abbé sentit qu'il seroit méprisé de son élève , s'il ne le corrompoit lui-même : il n'y oublia rien , et malheureusement n'y réussit que trop. On ne fut pas long-temps à s'apercevoir du crédit de l'abbé sur le prince; mais le peu d'importance du personnage le sauvant alors de la jalousie , on ne fut pas fâché d'avoir quelqu'un dont on pût se servir, dans l'occasion, comme d'un instrument sans conséquence. Le dessein que le Roi...