Mercure de France, Volume 1391920 |
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... : Shakespeare et Bacon . Dans cet article L. de Raynal présente une thèse qui s'efforce de concilier les adver- saires . ment transmise par une société d'adeptes secrets . La chi- 10 MERCVRE DE FRANCE - I - IV - 1930.
... : Shakespeare et Bacon . Dans cet article L. de Raynal présente une thèse qui s'efforce de concilier les adver- saires . ment transmise par une société d'adeptes secrets . La chi- 10 MERCVRE DE FRANCE - I - IV - 1930.
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cipe de Diotime précité . Les invites de la déesse se résu- ment dans ce cri : ... par la loi de la nature tu es tenu de procréer . Mais c'est au nom d'un zèle fervent pour la beauté qu'elle multiplie ses cares- santes prières . ... la ...
cipe de Diotime précité . Les invites de la déesse se résu- ment dans ce cri : ... par la loi de la nature tu es tenu de procréer . Mais c'est au nom d'un zèle fervent pour la beauté qu'elle multiplie ses cares- santes prières . ... la ...
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... ment . La principale raison de cette mise à l'index de l'Uni- versité , outre son rôle joué dans les milieux socialistes et syndicalistes , me paraît être que n'ayant aucun intérêt matériel , et pour cause , sa misère lui permet de ...
... ment . La principale raison de cette mise à l'index de l'Uni- versité , outre son rôle joué dans les milieux socialistes et syndicalistes , me paraît être que n'ayant aucun intérêt matériel , et pour cause , sa misère lui permet de ...
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... ment de notre politique en Russie . Voilà pourquoi dans mon Comité consultatif je ferais le plus large accueil aux gens d'étude , serviteurs , non pas d'un groupement financier ou d'un parti politique , mais de la seule vérité . J ...
... ment de notre politique en Russie . Voilà pourquoi dans mon Comité consultatif je ferais le plus large accueil aux gens d'étude , serviteurs , non pas d'un groupement financier ou d'un parti politique , mais de la seule vérité . J ...
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... ment définitif sur un pays aussi mouvant , aussi profondé- ment remué jusque dans ses bas - fonds et où tout un peu- ple , inconnu et à peine soupçonné , vient d'entrer en scène . S'il faut être extrêmement averti dans l'étude du passé ...
... ment définitif sur un pays aussi mouvant , aussi profondé- ment remué jusque dans ses bas - fonds et où tout un peu- ple , inconnu et à peine soupçonné , vient d'entrer en scène . S'il faut être extrêmement averti dans l'étude du passé ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 356 - Samedi soir, toutes les religieuses firent ensemble des prières pour qu'il fasse une bonne mort. Dimanche matin, après la grand'messe, il semblait plus calme et en pleine connaissance : l'un des aumôniers est revenu et lui a proposé de se confesser ; et il a bien voulu ! Quand le prêtre est sorti, il m'a dit, en me regardant d'un air troublé, d'un air étrange : « Votre frère a la foi, mon enfant. Que nous disiez-vous donc ? Il a la foi, et je n'ai même jamais vu de foi de cette qualité...
Page 306 - C'est là que les impies se retranchent comme dans leur forteresse imprenable , c'est de là qu'ils jettent hardiment des traits contre la sagesse qui régit le monde, se persuadant faussement que le désordre apparent des choses humâmes rend témoignage contre elle.
Page 358 - Mais il a entendu et est devenu tout rouge ; il n'a plus rien dit, mais la sœur partie, il m'a dit : « On me croit fou, et toi, le crois-tu? » Non, je ne le crois pas, c'est un être immatériel presque et sa pensée s'échappe malgré lui. Quelquefois, il demande aux médecins si eux voient les choses extraordinaires qu'il aperçoit et il leur parle et leur raconte avec douceur, en...
Page 357 - Quand je suis rentrée près d'Arthur, il était très ému, mais ne pleurait pas ; il était sereinement triste, comme je ne l'ai jamais vu. Il me regardait dans les yeux comme il ne m'a jamais regardée. Il a voulu que je m'approche tout près...
Page 323 - Jamais princesse ne fut si touchante , ni n'eut autant qu'elle l'air de vouloir bien que l'on fût charmé du plaisir de la voir. Toute sa personne étoit ornée de charmes; l'on s'intéressoit à elle, et on l'aimoit sans penser que l'on pût faire autrement.
Page 203 - Il me sembla de voir la figure d'une pensée, pour la première fois placée dans notre espace... Ici, véritablement, l'étendue parlait, songeait, enfantait des formes temporelles. L'attente, le doute, la concentration étaient choses visibles.
Page 810 - lui assigne dans la presse universelle une place unique. Cette partie de la revue appartient tout entière à l'actualité : c'est, si l'on veut, du journalisme « criblé », débarrassé de ce qui est par trop éphémère. La « Revue de la Quinzaine » est d'une variété sans limite, car aux chroniques fondamentales et de roulement régulier se joignent, éventuelles, toutes les rubriques que commandent les circonstances. Elle constitue ainsi un organe d'une extrême souplesse. Et comme elle...
Page 637 - Que Genève à nos pieds ouvre son libre port ! La liberté du faible est la gloire du fort. Que sous les mille esquifs dont ses eaux sont ridées, Palmyre européenne au confluent d'idées, • Elle voie en ses murs l'Ibère et le Germain Echanger la pensée en se donnant la main...
Page 299 - Elle avait le teint beau, les cheveux blonds, le sourire agréable, les yeux bleus, et le regard si tendre et en même temps si modeste qu'il gagnait le cœur et l'estime au même moment.
Page 323 - ... à elle , et on l'aimoit sans penser que l'on pût faire autrement. Quand quelqu'un la regardoit, et qu'elle s'en apercevoit, il n'étoit plus possible de ne pas croire que ce fût à celui qui la voyoit qu'elle vouloit uniquement plaire.