Le génie de l'industrie: études et nouvelles sur les plus célèbres inventeurs et industriels, sur leurs découvertes et la profession qu'ils ont illustrée |
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admirable arrivé artistes avaient beau belle Benvenuto Benvenuto Cellini Bernard Bernard Palissy bientôt bois Boulle c'était Cantazzo canuts célèbre Cernay cher chose Christine Christophe cœur couleurs coup Danguevil Denis Denis Papin dessin devant Dieu dit-il donner Dungal émaux enfin éolipyle êtes étoffes fabrication faisait Faustina femme fille fortune fourneau François Ier Fust gens Giniacomo Guerrande Gutenberg industrie instant invention j'ai Jacquard Jacques jeune homme JONATHAN HULL jour Jupin l'art l'industrie l'or l'orfévrerie laisser Lestours lith livres machine madonna Porzia main maison maître marmite marquis de Worcester Mayence Médor merveilleux métier mille misérable monsieur mosaïque n'avait Nanette Neilson noble nuit orfévre ouvriers Palissy Papin passa pauvre peinture pensée père petite plein premier Ragaton regards riche s'écria s'était sais Salomon de Caus savant Schoeffer seigneur semblait seul siècle sorte taillandier talent travail triste trouver Valence vapeur venait verre vieillard vitrail voix Voligni xylographique yeux
Popular passages
Page 111 - Un potier de terre, qui ne savait ni latin ni grec, fut le premier, vers la fin du seizième siècle, qui osa dire dans Paris, et à la face de tous les docteurs, que les coquilles fossiles étaient de véritables coquilles déposées autrefois par la mer dans les lieux où elles se trouvaient alors, que des animaux, et surtout des poissons, avaient donné aux pierres figurées toutes leurs différentes figures, etc...
Page 111 - Fontenelle , qu'un potier de terre , qui ne « savait ni latin ni grec, osât, vers la fin du seizième siècle, '' dire dans Paris, et à la face de tous les docteurs, que les « coquilles fossiles étaient de véritables coquilles déposées « autrefois par la mer dans les lieux où elles se trouvaient « alors; que des animaux avaient donné aux pierres figurées « toutes leurs différentes figures, et qu'il défiât hardiment « toute l'école d'Aristote d'attaquer ses preuves.
Page 113 - Mon bonhomme, si vous ne vous accommodez pour le fait de la religion, je suis contraint de vous laisser entre les mains de mes ennemis.
Page 114 - Sire, j'étais bien tout prêt de donner ma vie pour la gloire de Dieu ; si c'eût été avec quelque regret, certes il serait éteint en ayant ouï prononcer à mon grand roi :
Page 178 - ... grands tubes pourraient être échauffés presque aussi vite que des petits : on voit clairement par là quelles immenses forces motrices on peut obtenir au moyen d'un procédé si simple, et à quel bas prix. On sait en effet que la colonne d'air pesant sur un tube...
Page 138 - servent communément à toute la république, ne doivent estre celées. » Mais de mon art de terre et de plusieurs autres arts, il n'en est pas » ainsi. Il ya plusieurs gentilles inventions, lesquelles sont contaminées » et méprisées pour estre trop communes aux hommes.
Page 179 - Papin est le premier qui ait songé à combiner dans une même machine à feu, l'action de la force élastique de la vapeur, avec la propriété dont cette vapeur jouit et qu'il a signalée, de se condenser par refroidissement 1.
Page 178 - J'ai éprouvé, d'ailleurs, que l'espace d'une minute suffit pour qu'avec un feu modéré le piston soit porté jusqu'au haut de mon tube ; et comme le feu doit être proportionné...
Page 139 - Les esmaux dequoy je fais ma besongne sont faits d'estaing, de plomb, de fer, d'acier, d'antimoine, de saphre, de cuivre, d'arène, de salicort, de cendre gravelée, de litarge et de pierre de Périgord.
Page 177 - ... de faire ressort comme l'air, et ensuite de se recondenser si bien par le froid, qu'il ne lui reste plus aucune apparence de cette force de ressort, j'ai cru qu'il ne serait pas difficile de faire des machines dans lesquelles, par le moyen d'une chaleur médiocre et à peu de frais, l'eau ferait ce vide parfait qu'on a inutilement cherché par le moyen de la poudre à canon.