Mémoires historiques, littéraires et critiques de Bachaumont, depuis l'année 1762 jusques 1788, ou, Choix d'anecdotes historiques, littéraires, critiques et dramatiques ...Léopold Collin, 1808 - Favorites, Royal |
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... représentation des Caractères de la folie . Jamais spec- tacle n'a été plus triste et plus ennuyeux . On a supprimé le prologue , qui aurait pu être agréable . Les deux actes sont l'Astrologie et les Caprices de l'amour , qui ne ...
... représentation des Caractères de la folie . Jamais spec- tacle n'a été plus triste et plus ennuyeux . On a supprimé le prologue , qui aurait pu être agréable . Les deux actes sont l'Astrologie et les Caprices de l'amour , qui ne ...
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... représentation . Elle est enrichie de notes ; et c'est en- core une nouveauté sublime dont l'auteur aurait dû se glorifier . C'est un grand effort de son imagination . ( 19 Juillet . ) On donnera demain à l'opéra des frag- mens ...
... représentation . Elle est enrichie de notes ; et c'est en- core une nouveauté sublime dont l'auteur aurait dû se glorifier . C'est un grand effort de son imagination . ( 19 Juillet . ) On donnera demain à l'opéra des frag- mens ...
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... représentation ; elle a promis de la faire aller tant qu'elle pourrait . - Le sujet de ce drame est tiré d'une dissertation de M. Secousse , qui est dans le sixième volume des mé- moires de l'académie des belles lettres . L'auteur l'a ...
... représentation ; elle a promis de la faire aller tant qu'elle pourrait . - Le sujet de ce drame est tiré d'une dissertation de M. Secousse , qui est dans le sixième volume des mé- moires de l'académie des belles lettres . L'auteur l'a ...
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... représentation , elle tint parole , au grand étonnement de Mlle . Hus , qui en fut déconcertée . Elle en joua le double plus mal . Mlle . Clairon ne paraissait pas , que les battemens de mains ne recommençassent , et les sifflets pour l ...
... représentation , elle tint parole , au grand étonnement de Mlle . Hus , qui en fut déconcertée . Elle en joua le double plus mal . Mlle . Clairon ne paraissait pas , que les battemens de mains ne recommençassent , et les sifflets pour l ...
Page 53
... représentation du Bûcheron , ou les trois Sou- haits , comédie en trois actes , mêlée d'ariettes . Les paroles sont de M. Custet , jeune homme qui entre en lice , et la musique de M. Philidor . Ce drame a été bien reçu du public à tous ...
... représentation du Bûcheron , ou les trois Sou- haits , comédie en trois actes , mêlée d'ariettes . Les paroles sont de M. Custet , jeune homme qui entre en lice , et la musique de M. Philidor . Ce drame a été bien reçu du public à tous ...
Common terms and phrases
26 Septembre actrice anecdote Août aujourd'hui auteur Avril ayant beau belle chanson chante charmant cher chevalier chevalier de Boufflers Clairon cœur comédie française comédie italienne comédiens comte comte d'Artois couplets cour courtisans d'Alembert dame Dangeville Décembre demande desirs Dieu Dlle donner Dorat drame Dubarri duc d'Aiguillon duc de Chartres Dugazon enfans épigramme fameux Favart femme Février fille Fort-l'Evêque gens gloire goût Harpe héros homme J'ai Janvier jeune jolie joué jour Juillet Juin l'abbé de Voisenon l'académie française l'Amour l'auteur l'épigramme suivante l'esprit l'opéra lettres long-tems Louis madame Madame BELLECOUR main maréchal Marmontel marquis de Villette Mars Melpomène mérite ministre Mlle mort musique Novembre Octobre ouvrages parle passer philosophe pièce plaisir poëte prétend Préville prince public quatrain suivant Raucourt reine répondit reste rien royale s'est Sainval scène seigneur sentiment Septembre sera sieur succès suivans sujet talens tems Terray théâtre tragédie tribade trouve vient Voici vois voix Voltaire
Popular passages
Page 268 - Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge. Je dirai hautement : Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus.
Page 268 - Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi. Moi seul. Je sens mon cœur et je connais les hommes. Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent.
Page 140 - Modeste en ma couleur, modeste en mon séjour, Franche d'ambition, je me cache sous l'herbe; Mais si sur votre front je puis me voir un jour, La plus humble des fleurs sera la plus superbe.
Page 164 - Il est vrai, je suis capucin; C'est sur quoi mon salut se fonde : Je ne veux pas, dans mon déclin, Finir comme les gens du monde. Mon malheur est de n'avoir plus Dans mes nuits ces bonnes fortunes. Ces nobles grâces des élus, Chez mes confrères si communes.
Page 272 - O Parnasse, frémis de douleur et d'effroi! Pleurez , Muses ! brisez vos lyres immortelles ! Toi, dont il fatigua les cent voix et les ailes, Dis que Voltaire est mort, pleure, et repose-toi.
Page 369 - Tout ce que vous voyez conspire à vos désirs ; Vos jours toujours sereins coulent dans les plaisirs ; L'empire en est pour vous l'inépuisable source : Ou , si quelque chagrin en interrompt la course , Tout l'univers, soigneux de les entretenir, S'empresse à l'effacer de votre souvenir. Britannicus est seul : quelque ennui qui le presse , II ne voit dans son sort que moi qui s'intéresse , Et n'a pour tous plaisirs , seigneur, que quelques pleurs Qui lui font quelquefois oublier ses malheurs.
Page 257 - Dieu dispose de moi, je meurs dans la religion catholique où je suis né, espérant de la miséricorde divine qu'elle daignera pardonner toutes mes fautes, et que si j'avais jamais scandalisé l'Église, j'en demande pardon à Dieu et à elle1.
Page 77 - Dans un accès de rage, il le tire à part, et lui déclare qu'il faut cesser ses assiduités auprès de la demoiselle , ou se déterminer à se battre. Le magistrat , homme de cœur, lui répond que rien n'est capable de l'intimider : il accepte le défi. Tous deux rendus...
Page 4 - Il n'ya que vous qui ne vieillissez point, inimitable Dangeville! Toujours fraîche, toujours nouvelle, à chaque fois on croit vous voir pour la première. La nature s'est plu à vous prodiguer ses dons, comme si l'art eût dû tout vous refuser; et l'art s'est efforcé de vous enrichir de ses perfections, comme si la nature ne vous eût rien accordé. Quel feu dans votre dialogue ! quelle expression dans votre scène muette! quelle force comique dans le moindre de vos gestes! quel aveugle préjugé...
Page 7 - Il a la majesté des rois, le sublime des pontifes, la tendresse ou la sévérité des pères. C'est un très-grand acteur, qui joint la force au pathétique, la chaleur au sentiment : il est généralement admiré.