Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1866 - France |
Other editions - View all
Common terms and phrases
aimé âme assez Aubrays aujourd'hui avaient avez baronnet besoin Bochardière c'était catharisme Chesnel chose cœur Comte coton coup critique Croix-de-Vie devant Dieu dire dis-je dit-il doctrine donner doute Durance Écossais enfans Erckmann-Chatrian esprit États-Unis êtes eût faisait Félicie femme force guerre Guillaume de Saint-Amour Hegel homme idées j'ai j'avais j'étais jamais Jean Jean de Parme jeune Joachim jour l'amour l'Autriche l'église l'esprit l'Évangile éternel l'homme l'Italie laisser Lesneven lettres livre Louis XVI Lussy Lützen LXIV m'avait main maître Marie-Antoinette Marseille Martel ment Mill millions monde morale Morgeron mort moyen âge n'avait n'était Niccolini parler passé passion pensée peuples peut-être philosophie positive politique porte pouvait première Prusse prussien qu'un question raison regard reine reste rêve rien Romains s'est s'était sais science semble sentimens sentiment serait seul siècle songer sorte Sylvestre système tête tion Tonino trouve Vanina Vénétie veux Violante voies voilà voulait vrai Walter Scott whigs yeux
Popular passages
Page 676 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 577 - France, ne permet point d'admettre, dans l'instruction publique, un enseignement qui, en repoussant les enfants d'une partie des citoyens , détruirait l'égalité des avantages sociaux, et donnerait à des dogmes particuliers un avantage contraire à la liberté des opinions. Il était donc rigoureusement nécessaire de séparer de la morale les principes de toute religion particulière , et de n'admettre dans l'instruction publique l'enseignement d'aucun culte religieux.
Page 126 - Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, portant l'Évangile éternel, pour l'annoncer à ceux qui sont sur la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue et à tout peuple; 7.
Page 902 - L'honneur fait mouvoir toutes les parties du corps politique; il les lie par son action même ; et il se trouve que chacun va au bien commun , croyant aller à ses intérêts particuliers.
Page 503 - Dieu m'a fait naître dans le rang que j'occupe aujourd'hui, je ne puis m'empêcher d'admirer l'arrangement de la providence, qui m'a choisie, moi la dernière de vos enfants, pour le plus beau royaume de l'Europe. Je sens plus que jamais ce que je dois à la tendresse de mon auguste mère, qui s'est donné tant de soins et de travail pour me procurer ce bel établissement. Je n'ai jamais tant désiré de pouvoir me mettre à ses pieds, l'embrasser, lui montrer mon âme toute entière et lui faire...
Page 712 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 577 - La constitution, en reconnaissant le droit qu'a chaque individu de choisir son culte, en établissant une entière égalité entre tous les habitants de la France, ne permet point d'admettre, dans l'instruction publique, un enseignement qui, en repoussant les enfants d'une partie des citoyens, détruirait l'égalité des avantages sociaux, et donnerait à des dogmes particuliers un avantage contraire à la liberté des opinions.
Page 502 - Paris; on le désire fort et je crois même que nous irons deux autres jours aux comédies française et italienne. Je sens tous les jours de plus en plus ce que ma chère maman a fait pour mon établissement. J'étais la dernière de toutes, et elle m'a traitée en aînée ; aussi mon âme est-elle remplie de la plus tendre reconnaissance. Le roi a eu la bonté de faire délivrer...
Page 477 - ... ma chère maman. Je me suis bien trompée sur ce que je vous ai mandé sur le comte de Provence; il s'est beaucoup déshonoré dans l'affaire de Mme de Brancas: sa femme le suit en tout, mais ce n'est que par peur et par bêtise, étant, comme je le crois, fort malheureuse. Au reste je vis fort bien avec eux, quoique je me méfie de leur caractère qui n'est pas aussi sincère que le mien. Pour le comte d'Artois, quoiqu' encore en éducation, il montre des sentiments d'honnêteté, qu'on ne peut...
Page 836 - ... veux, et il faut une définition qui montre clairement le fond, la nature, le but de la philosophie positive. Je reprends donc ici celle que j'en donne depuis longtemps : la philosophie positive est la conception du monde telle qu'elle résulte de l'ensemble systématisé des sciences positives. — Cette définition, qui a la propriété de se coordonner avec les philosophies théologique et métaphysique, a surtout l'éminente propriété de partager immédiatement le monde en deux parts, l'une...