Oeuvres de d'Alembert..A. Belin, rue des Mathurins S.-J., N°. 14. Bossange Père et fils, rue de Tournon, N°. 6. Bossange Frères, rue de Seine, N°. 12., 1822 |
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Page 8
... desideravere aliquid oculi tui . ) Ici , mon cher ami , la plume me tombe des mains , mes yeux se remplissent de larmes , et je ne vois plus ce que je vous écris . Adieu . AU MÊME , SUR LA MÊME PERSONNE . Vous avez 8 CORRESPONDANCE.
... desideravere aliquid oculi tui . ) Ici , mon cher ami , la plume me tombe des mains , mes yeux se remplissent de larmes , et je ne vois plus ce que je vous écris . Adieu . AU MÊME , SUR LA MÊME PERSONNE . Vous avez 8 CORRESPONDANCE.
Page 26
... Adieu , madame ; estimez , comme moi , les hommes ce qu'ils valent , et il ne vous man- quera rien pour être heureuse . P. S. On dit Voltaire raccommodé avec le roi de Prusse , et Maupertuis retombé . Ma foi , les hommes sont bien fous ...
... Adieu , madame ; estimez , comme moi , les hommes ce qu'ils valent , et il ne vous man- quera rien pour être heureuse . P. S. On dit Voltaire raccommodé avec le roi de Prusse , et Maupertuis retombé . Ma foi , les hommes sont bien fous ...
Page 29
... Adieu , madame ; croyez que le temps ni l'absence ne diminueront rien du respectueux attachement que je vous ai pour toute ma vie . voué A LA MÊME . Paris , 22 décembre 1752 . VOILA , madame , un bien gros paquet qui ne vous dédom ...
... Adieu , madame ; croyez que le temps ni l'absence ne diminueront rien du respectueux attachement que je vous ai pour toute ma vie . voué A LA MÊME . Paris , 22 décembre 1752 . VOILA , madame , un bien gros paquet qui ne vous dédom ...
Page 33
... Adieu , madame : j'aspire avec beaucoup d'impatience au moment de vous revoir , et j'attends votre jugement sur mon ouvrage . Si par hasard j'avais mis dans le paquet où étaient mes peur lettres de Prusse quelque autre papier qui n'en ...
... Adieu , madame : j'aspire avec beaucoup d'impatience au moment de vous revoir , et j'attends votre jugement sur mon ouvrage . Si par hasard j'avais mis dans le paquet où étaient mes peur lettres de Prusse quelque autre papier qui n'en ...
Page 35
... Adieu , madame ; soyez persuadée du tendre attachement que je vous ai voué pour toute ma vie . A LA MÊME . 10 mars 1753 . Je viens d'apprendre , madame , dans le même moment , votre E maladie et votre convalescence . M. de La Croix m'a ...
... Adieu , madame ; soyez persuadée du tendre attachement que je vous ai voué pour toute ma vie . A LA MÊME . 10 mars 1753 . Je viens d'apprendre , madame , dans le même moment , votre E maladie et votre convalescence . M. de La Croix m'a ...
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Common terms and phrases
Adieu amis assez assure aurait avez bataille de Kesselsdorf Bélisaire Berlin Bertrand bonheur bontés Cacouacs canaille Caveirac cher et illustre cher maître Childebrand chose cœur consolation crois d'écrire d'être Damilaville demander désire Dieu digne dire donner doute écrit éloge embrasse ennemis envoyé espèce humaine estomac fanatiques Ferney flatte gens de lettres gloire homme honnête illustre maître j'aurais j'avais j'en j'espère j'ose jamais jansénistes jesté jésuites jours justice l'abbé l'Académie l'auteur l'Encyclopédie l'Europe l'ouvrage long-temps m'a fait l'honneur m'en madame Denis madame Geoffrin mademoiselle Clairon majesté m'a malheur mande Marmontel ment mérite mieux n'ai n'en ouvrage paraît parler pauvre pense personne persuadé peut-être philosophie plaisir pourrait pourtant prends la liberté président Hénault prêtres prince profond respect propos Prusse raison Raton reconnaissance rendre reste rien s'il sais santé semble sentimens sera seul sire Sorbonne sottises sujet sûr surtout talens tendre vénération trouve vérité vient Voilà Voltaire voudrais vrai
Popular passages
Page 18 - La retraite ut le régime que me prescrivent mon état et mon goût , m'ont procuré la santé la plus parfaite et la plus égale , c'est-à-dire , le premier bien d'un philosophe. Enfin, j'ai le bonheur de jouir d'un petit nombre d'amis dont le commerce et la confiance font la consolation et le charme de ma vie. Jugez maintenant...
Page 51 - Sans doute nous avons de mauvais articles de théologie et de métaphysique; mais, avec des censeurs théologiens et un privilège , je vous défie de les faire meilleurs. Il ya d'autres articles , moins au jour, où tout est réparé. Le temps fera distinguer ce que nous avons pensé d'avec ce que nous avons dit.
Page 78 - Je veux qu'il vous ait écrit une lettre impertiente , je veux que vous et vos amis vous ayez à vous en plaindre ; malgré tout cela , je n'approuve pas que vous vous déclariez publiquement contre lui comme vous faites ; et je n'aurai sur cela qu'à vous répéter vos propres paroles : Que deviendra • le petit troupeau, s'il est désuni et dispersé?
Page 46 - Nous connaissons mieux que personne tout ce qui manque à cet ouvrage. Il ne pourrait être bien fait qu'à Berlin , sous les yeux et avec la protection et les lumières de votre prince philosophe ; mais enfin nous commencerons , et on nous en saura peut-être à la fin quelque gré.
Page 206 - Nous avons en lui un très-bon confrère, qui sera certainement utile aux lettres et à la philosophie, pourvu que la philosophie ne lui lie pas les mains par un excès de licence, ou que le cri général ne l'oblige d'agir contre son gré.
Page 81 - Bertrand dit à Raton : Frère, il faut aujourd'hui Que tu fasses un coup de maître : Tire-moi ces marrons. Si Dieu m'avait fait naître Propre à tirer marrons du feu, Certes, marrons verraient beau jeu.
Page 94 - ... que nous aurions convertis. Le genre humain n'est aujourd'hui plus éclairé que parce qu'on a eu la précaution ou le bonheur de ne l'éclairer que peu à peu. Si le soleil se montrait tout à coup dans une cave...
Page 105 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Page 56 - M. de Malesherbes a reçu là-dessus les ordres les plus précis , et en a donné de pareils aux censeurs qu'il a nommés. D'ailleurs , quand nous obtiendrions qu'ils fussent changés , nous n'y gagnerions rien ; nous conserverions alors le ton que nous avons pris, et l'orage recommencerait au huitième volume.
Page 78 - Jean-Jacques est un malade de beaucoup d'esprit , et qui n'a d'esprit que quand il a la fièvre. Il ne faut ni le guérir ni l'outrager.