Lyon-revue, Volume 11880 - Lyon (France) |
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admirer aimé Ainay aloès âme amour Ampère ANDROMÈDE artistes assez baryton beau belle Bessenay blanc Blandy bleu bois bonheur Bonson Bouddha bouddhique Brévenne Brizeux chant chanteuse charme Chevinay chose ciel cœur concert Courzieu crest d'Ampère d'or dessins devant Dieu dire directeur divinités donner drame FÉLIX DESVERNAY femme fleurs Georgette goût gris Guichard Guimet heures homme Hyla j'ai Japon Jean Baudry jeune Joséphin Soulary jour Jussieu l'amour l'art l'artiste l'orchestre laisser lauriers-roses Louisa Siéfert Lyon LYON-REVUE lyonnaise maison maître massif monde montagne mort musée musée Guimet musical musique neige Nelly NÉRÉIDES œuvres orchestre passer paysage peinture Pénitents pensée petite poésie poète Pollionnay premier Primevère public qu'un religieux religion reste rêve Rhône rien rose rosier route saint Pothin Saint-Bonnet Sainte-Foy-l'Argentière savant scène semble sentiment serait seulement siècle Société soleil sommes sorte Soumy tableau talent temple ténor théâtre trouve Vachot Vaugneray vert vieux vitrine voilà voix Vollon vrai yeux Yzeron
Popular passages
Page 276 - ... t'adorer dans un jargon formé d'une ancienne langue, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l'habit est teint en rouge ou en violet, qui dominent sur une petite parcelle d'un petit tas de la boue de ce monde, et qui possèdent quelques fragments arrondis d'un certain métal...
Page 262 - J'y bâtirais un toit, chaume, tuile ou roseau. Sur mon arbre, un doux nid, gramen, duvet ou laine, Retiendrait un chanteur, pinson, merle ou moineau ; Sous mon toit, un doux lit, hamac, natte ou berceau, Retiendrait une enfant, blonde, brune ou châtaine. Je ne veux qu'un arpent ; pour le mesurer mieux, Je dirais à l'enfant la plus belle à mes yeux : " Tiens-toi debout devant le soleil qui se lève ; " Aussi loin que ton ombre ira sur le gazon, " Aussi loin je m'en vais tracer mon horizon.
Page 276 - Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères ! qu'ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l'industrie paisible! Si les fléaux de la guerre sont inévitables, ne nous haïssons pas, ne nous déchirons pas les uns les autres dans le sein de la paix, et employons l'instant de notre existence à bénir également en mille langages divers, depuis Siam jusqu'à la Californie, ta bonté...
Page 262 - Si j'avais un arpent de sol, mont, val ou plaine, Avec un filet d'eau, torrent, source ou ruisseau, J'y planterais un arbre, olivier, saule ou frêne, J'y bâtirais un toit, chaume, tuile ou roseau.
Page 290 - Nos passions ne sont pas distinctes de nous-mêmes; il y en a qui sont tout le fondement et toute la substance de notre âme.
Page 144 - Venus quinta parte sui nectaris imbuit. felices ter et amplius, quos irrupta tenet copula' nee malis divulsus querimoniis suprema citius solvet amor die.
Page 243 - Je n'aime dans l'histoire que les anecdotes, et parmi les anecdotes je préfère celles où j'imagine trouver une peinture vraie des mœurs et des caractères à une époque donnée.
Page 371 - La fleur Ing-wha, petite et pourtant des plus belles, N'ouvre qu'à Ching-tu,fu son calice odorant; Et l'oiseau Tung-whang-fung est tout juste assez grand Pour couvrir cette fleur en tendant ses deux ailes. Et l'oiseau dit sa peine à la fleur qui sourit, Et la fleur est de pourpre, et l'oiseau lui ressemble, Et l'on ne sait pas trop, quand on les voit ensemble, Si c'est la fleur qui chante, ou l'oiseau qui fleurit. Et la fleur et l'oiseau sont nés à la même heure, Et la même rosée avive chaque...
Page 173 - O landes! ô forêts! pierres sombres et hautes, Bois qui couvrez nos champs, mers qui battez nos côtes, Villages où les morts errent avec les vents, Bretagne, d'où te vient l'amour de tes enfants? Des villes d'Italie où j'osai , jeune et svelte , Parmi ces hommes bruns montrer l'œil bleu d'un Celte...
Page 325 - J'ai fait passer enfin tête, épaules et buste. , Avec art maintenant dessinons sous ces plis La forme bondissante et les contours polis. Voyez! la robe flotte, et la beauté s'accuse. Est-elle bien ou mal en ces simples dehors? Rien de moins dans le cœur, rien de plus sur le corps, Ainsi j'aime la femme, ainsi j'aime la Muse.