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Antoine août Arch Archives Article de Suchaux avocat avril bailliage-présidial baron Bauffremont Beauséjour Belfort Bibliothèque Biographie Blondeau Brevilliers Bulletin Camus capitaine Chagey Charles château chef chevalier Christophe Claude comté de Bourgogne comté de Montbéliard conseiller Cornu curé d'Emulation du Doubs Damedor décembre Dijon docteur Dole Doubs dudit DUVERNOY Fachard famille Faverney février fille fils franc-comtoises Franche-Comté François général Georges Godard Gray guerre Guillaume Guy Gelinier Haute-Saône Héricourt Histoire janvier Jean Jean de Saulx Jehan juillet juin Jussey l'abbé l'Académie de Besançon l'Ecole l'église Légion d'honneur lettres Louis Lure Luxeuil Lycée maire maison mariage Marmier Marquis D'ANDELARRE mars Meig membre Mémoires Molans Monnier mort mourut Neufchâtel nommé Notice novembre octobre officier paroisse Pesmes Petitclerc Pinot préfet président prince professeur propriétaire Ray-sur-Saône Recroix retraite Roux rue du Breuil rue du Moulin-des-Prés Saint Scey-sur-Saône secrétaire seigneurie d'Héricourt septembre siècle Société d'Agriculture Société d'Emulation Thiébaud troupes Vergy Vesoul Wyrsch
Popular passages
Page 88 - Christophe, car non seulement tu as eu sur les épaules le monde entier, mais encore celui qui a créé le monde; car je suis le Christ, celui pour lequel tu accomplis l'œuvre que tu as entreprise, et afin que je te donne un témoignage de ma parole, plante ton bâton dans le sable, et demain tu verras qu'il s'est couvert de feuilles et de fleurs.
Page 81 - Le 1 3 novembre , un peu avant le jour , un écuyer de Strasbourg , nommé de Haag , qui était allé au fourrage avec quelques autres, tomba dans les postes avancés d'une armée ennemie. Il rentra promptement au camp, et avertit que les Bourguignons approchaient. Bientôt on aperçut la lueur de leurs feux et de lincendie d'un village qu'ils brûlaient. C'était le maréchal de Bourgogne qui arrivait avec environ cinq mille combattans. Le comte de Romont ne tarda pas à le joindre avec huit mille...
Page 16 - CEUX QUI PIEUSEMENT sont morts pour la patrie Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau. Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère ; ,Et, comme ferait une mère, La voix d'un peuple entier les berce en leur tombeau.
Page 84 - Faucogney , qui passaient pour les plus vaillans de la Comté , il n'en revint qu'un sur dix. Les Suisses, accoutumés à leurs cruelles guerres contre les Autrichiens, n'avaient jamais su ce que c'était que mettre à rançon; ils n'accordaient merci à personne , et murmuraient beaucoup...
Page 17 - Gloire à notre France éternelle ! Gloire à ceux qui sont morts pour elle! Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts ! A ceux qu'enflammé leur exemple, Qui veulent place dans le temple, Et qui mourront comme ils sont morts...
Page 67 - Dans le procès de Louis XVI, il vota contre l'appel au peuple, pour la détention du monarque pendant la guerre, pour son bannissement à la paix, et enfin pour le sursis.
Page 116 - Mass on Sundays and festivals. But Ramus was too honest with himself and his neighbours to be deterred by legislation from doing what he believed to be right. As has already been seen, the Church had utilised what it conceived to be the philosophy of Aristotle in order to build a framework...
Page 88 - ... tous les voyageurs , s'étant muni d'un bâton avec lequel il se soutenait dans l'eau. Et bien des jours s'étant passés, comme il était à se reposer dans sa demeure , il entendit comme la voix d'un enfant qui l'appelait et qui disait: « Christophe, viens dehors et passe-moi. » Et Christophe sortit, mais il ne trouva personne; et, rentrant dans sa demeure, il lui arriva la même chose une seconde fois. Appelé une troisième fois, il trouva un enfant au bord de l'eau, qui pria Christophe...
Page 162 - Hériconrt fut sommé quatre fois : une première, par le capitaine Nicolas, au nom du duc de Lorraine ; deux jours après, par un gentilhomme...
Page 66 - Le a mars 1735, M. d'Angervillers, garde des sceaux de France, fit savoir à l'intendant de Franche-Comté que Sa Majesté a bien senti tout le droit qu'elle a d'empêcher l'exercice de toute autre religion que de la catholique dans les quatre seigneuries, mais qu'il faut se contenter de ne point remplacer les ministres protestants qui viendront à mourir