Les cours et les salons au dix-huitième siècle |
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... reine , Georges II eut des liaisons assez publiques avec ses maîtresses . L'une d'elles , la comtesse d'Yar- mouth , fut accusée d'avoir abusé de son crédit et d'avoir vendu jusqu'à des pairies à son profit ' . Il faut louer Georges III ...
... reine , Georges II eut des liaisons assez publiques avec ses maîtresses . L'une d'elles , la comtesse d'Yar- mouth , fut accusée d'avoir abusé de son crédit et d'avoir vendu jusqu'à des pairies à son profit ' . Il faut louer Georges III ...
Page 31
... reine . Il revint dans ses États , étiolé , presque épuisé . Il s'appliqua à forcer la nature . Il recourut à des restaurants et à des sti- mulants . Il s'adonna de plus en plus au vice . Rien ne le retint . La présence de ses ...
... reine . Il revint dans ses États , étiolé , presque épuisé . Il s'appliqua à forcer la nature . Il recourut à des restaurants et à des sti- mulants . Il s'adonna de plus en plus au vice . Rien ne le retint . La présence de ses ...
Page 32
... reine Mathilde se soigna . Le médecin Struensée lui avait rendu la santé . Par reconnaissance la reine s'attacha à lui . Struensée obtint son cœur , et avec ce cœur les rènes du gouvernement . Il était aussi athée que dissolu ; il eut ...
... reine Mathilde se soigna . Le médecin Struensée lui avait rendu la santé . Par reconnaissance la reine s'attacha à lui . Struensée obtint son cœur , et avec ce cœur les rènes du gouvernement . Il était aussi athée que dissolu ; il eut ...
Page 33
... reine douairière avait excité cette révolution ; elle avait été soutenue par des ambitieux qui , en se prêtant à ses bassesses , espéraient s'emparer du pouvoir . Mais elle jugea à propos de le conserver pour elle . Elle paya quelques ...
... reine douairière avait excité cette révolution ; elle avait été soutenue par des ambitieux qui , en se prêtant à ses bassesses , espéraient s'emparer du pouvoir . Mais elle jugea à propos de le conserver pour elle . Elle paya quelques ...
Page 57
... reine . Il l'estimait , mais il ne pouvait la souffrir . Il ne la voyait que très rarement et toujours en public . Il paraît qu'il ne consomma jamais son mariage . La première nuit de ses noces , il affecta de jouer de la flûte à une ...
... reine . Il l'estimait , mais il ne pouvait la souffrir . Il ne la voyait que très rarement et toujours en public . Il paraît qu'il ne consomma jamais son mariage . La première nuit de ses noces , il affecta de jouer de la flûte à une ...
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Les Cours Et les Salons au Dix-Huitième Siècle (Classic Reprint) Louis Nicolardot No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 216 - ... français. Il ya toujours dans les grandes affaires un prétexte qu'on met en avant, et une cause véritable qu'on dissimule. Le prétexte de la punition des jésuites était le danger prétendu de leurs mauvais livres que personne ne lit : la cause était le crédit dont ils avaient longtemps abusé.
Page 206 - Je ne les ai point protégés tant qu'ils ont été puissants; dans leur malheur, je ne vois en eux que des gens de lettres qu'on aurait bien de la peine à remplacer pour l'éducation de la jeunesse.
Page 119 - ... pouvait y assister sans être déshonoré ; le roi n'y alla qu'une fois et dut s'en repentir, car deux dames qui s'y trouvèrent ce jourlà furent obligées de partir; la reine affecta de n'y mettre jamais les pieds. On conserve encore à la bibliothèque...
Page 253 - Grimm, que près d'un tiers de l'Histoire philosophique appartient à Diderot ? il y travailla pendant deux ans, et nous lui en avons vu composer une bonne partie sous nos yeux. Luimême était souvent effrayé de la hardiesse avec laquelle il faisait parler son ami. « Mais qui, lui disait-il, osera signer cela? — Moi, lui répondait l'abbé, moi, vous dis-je; allez toujours.
Page 206 - En voici les raisons. On ne trouve dans nos contrées aucun catholique lettré, si ce n'est parmi les jésuites; nous n'avions personne capable de tenir les classes; nous n'avions ni pères de l'Oratoire, ni puristes*; le reste des moines est d'une ignorance crasse: il fallait donc conserver les jésuites, ou laisser périr toutes les écoles.
Page 65 - Boltza et un marchand nommé >ih im un .'in.mii ; il avait pris à ferme les douanes de la Saxe, et en l'année 1756 il livra même le fourrage et la farine à l'armée du roi , qui était eu guerre avec l'impératrice son épouse.
Page 144 - Loin d'observer cette maxime, on fit, en i760, un règlement qui imposait l'obligation, pour être présenté à la cour, de prouver, au moins d'après trois titres originaux par génération, qu'on était noble de race, à l'époque de i/Joo.
Page 210 - D'autre part, presque tout le corps épiscopal a pris parti pour les Jésuites..., peut-être par humeur contre le gouvernement, qu'il soupçonne de vouloir aller plus loin. Les ordres réguliers ont sans doute été charmés de l'expulsion des Jésuites ; mais ils ont eu la décence de renfermer leur joie , qui d'ailleurs est tempérée par la crainte qu'ils ont pour euxmêmes.
Page v - La supercherie, la mauvaise foi et la duplicité sont malheureusement le caractère dominant de la plupart des hommes qui sont à la tête des nations, et qui en devraient être l'exemple. C'est une chose bien humiliante que l'étude du cœur humain dans de pareils sujets; elle me fait regretter mille fois ma chère retraite, les arts, mes amis, et mon indépendance.
Page 253 - Tencin, de m'assassiner ou de me faire assassiner, ce que j'ai même cru qu'elle exécuterait il ya quelques jours , sur ce qu'elle m'emprunta un de mes pistolets de poche que j'ai eu le courage de lui donner ; et comme, de ma connaissance particulière elle a fait tout ce qu'elle a pu pour faire assassiner M.