Bulletin du bibliophile: petite revue d'anciens livres

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Librairie Giraud-Badin., 1883 - Bibliography

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Popular passages

Page 270 - Ce Marmontel si long, si lent, si lourd, Qui ne parle pas, mais qui beugle, Juge la peinture en aveugle Et la musique comme un sourd.
Page 31 - MOREAU'S MASTERPIECE. THE FINEST OF THE FRENCH ILLUSTRATED BOOKS OF THE EIGHTEENTH CENTURY. 6 1 1 LABORDE .11 de). Choix de chansons. Mises en musique par M. de la Borde, Premier valet de Chambre ordinaire du Roi, Gouverneur du Louvre. Ornées d'estampes par JM Moreau. Dédiées à Madame la Dauphine (Marie-Antoinette).
Page 103 - Item, en ce livre est contenu le dessein d'un jardin autant délectable et d'utile invention qu'il en fut oncques veu. Item, le dessein et ordonnance d'une ville de forteresse, la plus imprenable qu'homme ouyt jamais parler, composé par maistre Bernard Palissy, ouvrier de terre, et inventeur des rustiques figulines du Roy et de Monseigneur le duc de Montmorancy, Pair et connestable de France, demeurant en la ville de Xainctes.
Page 7 - Les Comédiens ordinaires du Roi, pénétrés de respect pour la mémoire du grand Corneille, ont cru ne pouvoir en donner une preuve plus sensible qu'en accordant à son neveu, seul rejeton de la famille de ce grand homme, une représentation. Ils donneront, lundi prochain io mars lySo, à son profit, Rodogune, tragédie de Pierre Corneille, etc...
Page 409 - Olympe voit maintenant à sa cour Celle que tout Paphos en ces lieux a suivie. Sur ce nouvel objet chacun porte les yeux; Mais en considérant cet ouvrage des cieux, Je ne sais quelle crainte en mon cœur se réveille. Quoi qu'Amour toutefois veuille ordonner de moi, II est beau de mourir des coups d'une merveille Dont un regard ferait la fortune d'un roi.
Page 30 - Le Cabinet Satyrique ou Recueil parfait des vers piquans et gaillards de ce temps. Tiré des secrets Cabinets des sieurs de Sigognes , Régnier, Motin , Berthelot, Maynard et autres des plus signalés poètes de ce siècle.
Page 205 - La divinité qui s'amuse A me demander mon secret, Si j'étais Apollon, ne serait point ma muse : Elle serait Thétis, et le jour finirait.
Page 389 - Mais non, la liberté, chez eux méconnaissable, A fondé dans nos cœurs son trône impérissable. Que tous ces charlatans, populaires larrons, Et de patriotisme insolents fanfarons, . Purgent de leur aspect cette terre affranchie ! Guerre, guerre éternelle aux faiseurs d'anarchie ! Royalistes...
Page 289 - Soudain je voy en l'eau, Comme dans un tombeau. Si je suis en repos, Sommeillant sur ma couche, J'oy qu'il me tient propos, Je le sens qu'il me touche : En labeur, en recoy * , Tousjours est près de moy.
Page 311 - Il arrive quelquefois en France qu'un homme, parvenu à l'âge de la curiosité sérieuse, se prend du désir de connaître l'histoire de son pays. Il se met à lire une ou deux de nos histoires générales, et cette lecture lui donne des...

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