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" J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressort qui allaient, venaient, parlaient, riaient, sans penser, sans réfléchir, sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude :... "
Correspondance complète de la marquise Du Deffand avec ses amis le président ... - Page cxc
by marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1865
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Lettres de la Marquise Du Deffand à Horace Walpole, depuis comte d ..., Volume 1

marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1812 - 462 pages
...sur terre, et surtout pourquoi vieillit-on ? Oh, mon tuteur , pardonnez-le-moi , je déteste la vie. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient, sans peneer, sans réfléchir, sans sentir ; chacun...
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Études sur le XVIIIe siècle, Volume 1

Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 534 pages
...d'intelligence, tous fort ennuyeux; tous me quittèrent à une heure, et tous me laissèrent sans regret. — J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient sans penser, sans réfléchir, sans sentir; chacun...
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Études sur le XVIIIe siècle, Volume 2

Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 892 pages
...nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient sans penser,...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude, et moi j'étais abîmée dans les réflexions les plus noires : je pensais que j'avais passé ma vie...
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Causeries du lundi, Volume 1

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1857 - 498 pages
...vous m'avez dit est vrai; mais pourquoi sommes-nous sur terre, et surtout pourquoi vieillit-on?... J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude : Mm« la duchesse d'Aiguillon crevait de rire; Mme de Forcalquier dédaignait tout; Mme de La Vallière...
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Histoire de la littérature française depuis le xvie sìcle. Prosateurs, Volume 3

Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 774 pages
...son salon, loin de chasser sa mélancolie, ne faisait que l'entretenir dans ses idées noires : « J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...sentir; chacun jouait son rôle par habitude. Madame la duches.-e d'Aiguillon crevait de rire, madame de Forcalquier dédaignait tout, madame de la Vallière...
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Lettres de la marquise du Deffand à Horace Walpole, écrites dans les années ...

marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1864 - 550 pages
...sur terre, et surtout pourquoi vieillit-on ? Oh ! mon tuteur, pardonnez-le moi, je déteste la vie. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...la duchesse d'Aiguillon crevait de rire, madame de Forcalquicr dédaignait tout, madame de la Vallière (1) jabotait sur tout. Les hommes ne jouaient...
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Revue contemporaine, Volume 59; Volume 82

Arts - 1865 - 1014 pages
...qu'elle recherche et qui l'ennuie, et les retours sur elle-même que ces réflexions lui suggèrent. J'admirais, hier au soir, la nombreuse compagnie qui...sans sentir; chacun jouait son rôle par habitude. Mmo la duchesse d'Aiguillon crevait de rire, Mme de Forcalquier dédaignait tout, Mme de La Vallière...
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Correspondance complète de la marquise du Deffand avec ... le ..., Volume 1

marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1865 - 848 pages
...sommes-nous sur terre, et surtout pourquoi vieillit-on? O mon tuteur, pardonnez- le- moi, je tlcteste la vie. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...allaient, venaient, parlaient, riaient, sans penser, i II avait dit dana la lettre ri.dtvwns mentionnée, et qui était datée dr Rath : « Je lis les Essais...
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sér. Du dix-huitième siècle jusqu'à nos jours

Eugène Crépet - French letters - 1865 - 626 pages
...à qui on puisse confier ses peines sans lui donner une maligne joie et sans s'avilir à ses yeux. J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui était chez moi; hommes et femmes me i. MM. de Concourt, dans leur très-remarquable livre : la Femme au dix-huitième siècle. paraissaient...
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Revue des deux mondes, Volume 92

François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - France - 1871 - 782 pages
...tracée par elle-même, avec les noms propres au bas des portraits, de peur qu'il n'y ait erreur. « J'admirais hier au soir la nombreuse compagnie qui...moi; hommes et femmes me paraissaient des machines à ressorts qui allaient, venaient, parlaient, riaient, sans penser, sans réfléchir, sans sentir. Chacun...
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