 | Alphonse de Lamartine - France - 1851 - 364 pages
...Pourrai-je à soixante » ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour » sa défense? Je ne crains rien pour moi, mais je crains » pour la France. Celui...» torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de » la guerre étrangère . il vient remettre notre patrie sous » son joug de fer ; il vient... | |
 | Alphonse de Lamartine, Lamartine - France - 1852 - 612 pages
...Pourrai-je a soixante ans mieux «terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense? « Je ne crains rien pour moi, mais je crains pour la France. « Celui qui vient allumer parmi nous les torches de la ii guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étran•i gère, il vient remettre notre patrie... | |
 | Achille de Vaulabelle - France - 1855 - 546 pages
...amour. Pourrais-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense? « Je ne crains donc rien pour moi, mais je crains pour la France. Celai qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le Déau delà guerre... | |
 | Prosper Duvergier de Hauranne - Constitutional history - 1857 - 640 pages
...amour. Pour« rais-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en « mourant pour sa défense? Je ne crains donc rien pour moi; « mais je crains...nous les torches de la guerre civile, y apporte aussi la guerre « étrangère ; il vient remettre notre patrie sous son joug de « fer ; il vient enfin... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1861 - 484 pages
...RESTAURATION. soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense? Je ne crains rien pour moi, mais je crains pour la France. Celui...les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère : il vient remettre notre patrie sous son joug de fer; il vient enfin... | |
 | Louis de Viel-Castel - France - 1860 - 540 pages
...amour. Pourrais-je, à soixante ans, mieux terminer ma » carrière qu'en mourant pour sa défense? Je ne crains » donc rien pour moi, mais je crains...pour la France. » Celui qui vient allumer parmi nous la torche de la » guerre civile y apporteaussi le fléau de la guerre étran» gère ; il vient mettre... | |
 | Adolphe Thiers - France - 1861 - 656 pages
...députés, ce n'est pas à vous, c'est à nous à mourir pour le trône et la Charte! — Le Roi reprit : « Je ne crains donc rien pour moi , mais je crains » pour la France. Celui qui vient parmi nous allu13. Mars 1815. » mer les torches de la guerre civile, y apporte aussi » le fléau... | |
 | Hermile Reynald - France - 1863 - 514 pages
...amour. Pourrais-je , à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ? » Je ne crains donc rien pour moi, mais je crains pour...les torches de la guerre civile, y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère ; il vient remettre notre patrie sous son joug de fer ; il vient enfin... | |
 | Revue nationale et étrangère - 1866 - 652 pages
...1. Mémoires de La Fayette, t. V, p. 37î; t. VI, p. 21. « Je ne crains donc rien pour moi, mais jo crains pour la France : celui qui vient allumer parmi...les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère. Il vient remettre noire patrie sous un joug de fer ; il vient enfin... | |
 | Pierre Sébastien Laurentie - 1867 - 478 pages
...pourrai-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense ? Je ne crains rien pour moi ; mais je crains pour la France. Celui...les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère ; il vient remettre notre patrie sous son joug de fer ; il vient enfin... | |
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Je ne crains donc rien pour moi, mais je crains pour la France : celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère; il vient... 
