| Charles Maurice de Talleyrand-Périgord (prince de Bénévent) - France - 1891 - 492 pages
...entreprises, secondée par la plus inconcevable défection, nous a contraint de quitter momentanément noire royaume, nous vous avons avertis des dangers qui vous...pas voulu unir nos bras ni ceux de notre famille aux instruments dont la Providence s'est seme pour punir la trahison. Mais aujourd'hui que les puissants... | |
| Charles Maurice de Talleyrand-Périgord (prince de Bénévent) - France - 1891 - 492 pages
...criminelle des entreprises, secondée par la plus inconcevable défection, nous a contraint de quitter momentanément notre royaume, nous vous avons avertis...des dangers qui vous menaçaient, si vous ne vous Initiez de secouer le joug du tyran usurpateur. » Nous n'avons pas voulu unir nos bras ni ceux de... | |
| Marie Antoine vicomte de Reiset - France - 1902 - 710 pages
...à ses sujets, et qui est la première depuis son retour. En voici le passage le plus saillant : « Nous n'avons pas » voulu unir nos bras ni ceux de notre famille » aux instruments dont la Providence s'est servie » pour punir la trahison, mais aujourd'hui, que » les... | |
| 1902 - 344 pages
...nommés d'une lettre de son ministre de la guerre adressée à Votre Altesse et relative à leur mission. vous avons avertis des dangers qui vous menaçaient, si vous ne vous hâtiez de secouer le joug d'un tyran usurpateur. Nous n'avons pas voulu unir nos bras ni ceux de notre famille aux instruments... | |
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