 | P. Barrère - French literature - 1863 - 576 pages
...La faim, l'oceasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ee pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. » H A ces mots on eria : î> Haro! « sur le baudet. Un loup, quelque peu elere, prouva par sa... | |
 | Vrais Ornements - 1864 - 572 pages
...J'ai souvenante * Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce...langue. Je n'en aVais nul droit, puisqu'il faut parler net. — A ces mots on cria haro s sur le bsudet. Un loup, quelque peu clerc,' prouTa par sa harangue... | |
 | A P Le Page - 1864 - 326 pages
...j'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce...langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il... | |
 | Victor Richon - French language - 1864 - 312 pages
...l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce préja largeur de ma langue; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. Le narrateur. A ces mots, on cria haro sur le baudet. Sa peccadille fut jugée un cas pendable.... | |
 | Surgery - 1893 - 912 pages
...aider de l'osléoclaste Robin-Mollière pour assujettir le pied et de son levier pour le redresser. . Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue Admettons-le; mais nous l'abandonnâmes promplement,nonpointà cause des mauvais résultais immédials... | |
 | University of Calcutta - 1917 - 844 pages
...J'ai souvenance Qu'en un pré do moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense. Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Te n'en avais nul droit, puisque il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet, Un loup,... | |
 | J. P. R. Marichal - French language - 1918 - 176 pages
...J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce...langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net." — A ces mots ou cria : " Haro sur le baudet ! " Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue... | |
 | Karl Vossler - 1919 - 228 pages
...«J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net.» A ces mots on cria haro sur le Baudet. Un Loup, quelque... | |
 | Robert Lindsay Græme Ritchie, James Middleton Moore - French language - 1922 - 232 pages
...J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce...langue: Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net." A ces mots, on cria haro sur le Baudet. Un Loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il... | |
 | Ferdinand Brunot - French language - 1922 - 1084 pages
...employé : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre... Qurlqur diable aussi me poussant, je tondis de ce pré la largeur de ma Iqngue (LA FONT.. liv. vu, 1). La construction est parfois très libre : Le Président, qu'il avait... | |
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J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. 
