| Jacques Delille - 1865 - 942 pages
...cœur ' J. Du marbre, de l'airain, qu'un vain luxe prodigue, Des ornements de l'art l'œil bientôt se fatigue; Mais les bois, mais les eaux, mais les ombrages...lui-même aux mortels en traça le modèle. Regardez dans Millón M, quand ses puissantes mains Préparent un asile au premier des humains: Le voyez-vous tracer... | |
| 1868 - 1034 pages
...ses préférences avec »n élégance trop ingénieuse : ttei ornements de l'art l'œil bientôt se fatigue, Mais les bois, mais les eaux, mais les ombrages...innocent ne fatigue jamais. Aimez donc des jardins les beautés naturelles : Oini lui-même aux mortels en traça le modèle : Regardez dans Milton 1... | |
| Paul Baume - 1869 - 288 pages
...(Corneille). 4. Du marbre, de l'airain, qu'un vain luxe prodigue, Des ornements de l'art, l'œil bientôt se fatigue; Mais les bois, mais les eaux, mais les ombrages frais, Tout ce luxe innocent ne fatigue jamais (Deliile). 5. Soit gué je n'ose encor démentir le pouvoir De ses yeux où j'ai lu si longtemps mon... | |
| A. Rouillard - 1902 - 118 pages
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| Société royale forestière de Belgique - 1923 - 740 pages
...cultivé. « Du marbre, de l'airain, qu'un vain luxe prodigue, Des ornements de l'art, l'eeil bientôt se fatigue ; Mais les bois, mais les eaux, mais les ombrages frais, Tout ce luxe innocent ne fatigue jamais. » (< Poème du Jardin » de Delille). L'architecture, au contraire, émanant de l'homme luimême,... | |
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