 | Albert Sorel - Europe - 1891 - 568 pages
...Vos discussions sont misérables. Je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi! Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Henry Morse Stephens - France - 1892 - 700 pages
...discussions sont misérables, je ne connais que l'ennemi.' (Nouveaux applaudissements.) 'Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.'... | |
 | Henry Morse Stephens - France - 1892 - 672 pages
...sont misérables, je ne connais que l'ennemi.' (Nouveaux applaudissements.^ 'Vous qui me fatiguez do vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la môme ligne.'... | |
 | Joseph Reinach - Orators - 1894 - 524 pages
...Vos discussions sont misérables, je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous, comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Edmond Bonnal de Ganges - France - 1898 - 722 pages
...levier, la raison pour point d'appui et vous n'avez pas encore bouleversé le monde?.. Vous me fatiguez de vos contestations particulières au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la Patrie !.. Eh ! que m'importe ma réputation... | |
 | France. Assemblée nationale (1871-1942) - France - 1901 - 856 pages
...misérables ; je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi. (Nouveaux applaudissements) Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Albert Chabrier - France - 1905 - 606 pages
...discussions sont misérables; je ne connais que l'ennemi. (Nouveaux applaudissements.) Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tons comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Georges Jacques Danton - France - 1910 - 928 pages
...J'ai dit... » Add. . «... à ceux qui gouvernaient alors... » (7) Add. Mon. : « Vous me fatiguez de vos contestations particulières au lieu de vous occuper du salut de la République,... » (8) Add. Mon., Rép. fr. « ..., vos discussions sont misérables.» SUR LA SITUATION... | |
 | François-Alphonse Aulard - France - 1914 - 350 pages
...colère que contre ceux qui se cantonnent et s'excluent les uns les autres : « Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie; je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Georges Jacques Danton - France - 1920 - 310 pages
...gouvernaient alors : Vos discussions sont misérables, je ne connais que l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
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Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous, comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne. 
