| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 492 pages
...GÉNÉRAL. CHAPITRE I. Des lois , dans le rapport qu'elles ont avec les divers êtres. LES lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la ' nature des choses ' ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité2 a ses lois, le monde... | |
| Eugène Lerminier - Law - 1830 - 424 pages
...satisfaire lui-même , il fit Y Esprit des lois. Montesquieu définit ainsi les lois : « Les lois, dans » leur signification la plus étendue , sont...rapports » nécessaires qui dérivent de la nature des choses, et, » dans ce sens , tous les êtres ont leurs lois : la Divinité » a ses lois , le... | |
| Jean Louis Eugène Lerminier - Decedents' estates - 1829 - 280 pages
...satisfaire lui-même il fit l'Esprit des lois. Montesquieu définit ainsi les lois : « Les lois , dans leur signification » la plus étendue , sont les rapports nécessaires qui dérivent de la na» ture des choses ; et dans ce sens tous les êtres ont leurs lois : la Divi» nité a ses lois,... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1831 - 546 pages
...CHAPITRE PREMIER. Des lois . dans le rapport qu'elles ont avec les divers êtres. v» Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et dans ce sens tous les êtres ont leurs lois ; la Divinité ' a ses lois ; le monde... | |
| Almire René Jacques Lepelletier de la Sarthe - 1833 - 750 pages
...pas compris toute la profondeur qui vient en caractériser le merveilleux sens : « Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. » « La pensée de Montesquieu n'est pas une vaine généralité, ajoute MF Laferrière... | |
| Eugène Lerminier - 1835 - 382 pages
...rapports et le rapport des rapports. Je ne fais ici que commenter Montesquieu, qui a dit que les lois, dans leur signification la plus étendue , sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. Mais cette définition excellente a peut-être l'inconvénient de ne pas faire voir assez... | |
| Giuseppe Navarro - 1836 - 342 pages
...qu'on appelle naturel, sans s'en douter ou certes, sans l'avouer. « Les lois, dit Montesquieu, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. » D'abord le mot de rapport exprime tout ce qu'il y a de plus vague et de plus indéterminé... | |
| Victor Cousin - Aesthetics - 1836 - 440 pages
...expressions de la raison éternelle, de l'immuable vérité. Montesquieu a écrit que les lois, dans la signification la plus étendue , sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. Cet illustre philosophe n'a pas dit que les lois dérivassent du MOI humain : c'est qu'en... | |
| 1838 - 978 pages
...l'esprit d innovation ? Ce sont là des questions que nous n'essaierons même pas de résoudre. Cette crainte, quelle qu'en fût la cause, ne nous semble...Montesquieu, dans leur signification la plus étendue, senties rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses, comme ces rapports varient en... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1838 - 826 pages
...CHAPITRE PREMIER. Des lois , dans le rapport qu'elles ont avec les divers êtres. Les lois, dans la èrent * industrie, par leurs découvertes, par le hasard même. L'avarice des nations des choses; et dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité • a ses lois , le monde... | |
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