 | Bernard Adolphe Granier de Cassagnac - 1850 - 726 pages
...Eli bien! je crois qu'il n'est plus de irèvc enlre la Montagne, entre les patriotes qui ont \oulu la mort du tyran, et les lâches qui, en voulant le sauver, nous ont calomniés dans la France!» Toute la Montagne, debout, accueillit avec transport ces paroles qui lui livraient la Gironde; et dès... | |
 | Jules Michelet - France - 1850 - 656 pages
...au moment même où il s'était cru perdu, oublia toute mesure : « Plus de trêve, s'écria-t-il, entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyran, et les lâches qui, pour le sauver, nous ont calomniés dans la France ! » Parole étrange ! imprudente, quand tout le... | |
 | Jules Michelet - France - 1850 - 642 pages
...au moment même où il s'était cru perdu, oublia toute mesure : « Plus de trêve, s'écria-t-il, entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyran, et les lâches qui, pour le sauver, nous ont calomniés dans la France ! » Parole étrange ! imprudente, quand tout le... | |
 | Nicolas Villiaumé - France - 1851 - 372 pages
...Les mêmes cris s'élèvent. Oui 1 oui ! » Danton. Eh bien, je crois qu'il n'est plus de trêve » entre la Montagne, entre les patriotes qui ont voulu...dans la France. (Un » grand nombre de membres de la partie gauche se » lèvent simultanément et applaudissent. Plusieurs » voix se font entendre : Nous... | |
 | Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - France - 1851 - 540 pages
...entendre un mot qui paye pour tous? — Oui ! oui ! — Eh bien ! je crois qu'il n'est plus de trêve entre la Montagne , entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyran et les lâches qui , voulant le sauver, nous ont calomniés devant la France. » La gauche se leva en applaudissant et... | |
 | Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - France - 1851 - 788 pages
...entendre un mol qui paye pour tous? — Oui! oui! — Eh bien! je crois qu'il n'est plus de trêve cnlre la Montagne, entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyran et les lâches qui, voulant le sauver, nous ont calomniés devant la France. » La gauche se leva en applaudissant et s'écriant... | |
 | Alphonse de Lamartine - France - 1851 - 486 pages
...tout ménagement : « Eh bien ! » ditil, « je crois qu'il n'ya plus de trêve entre la montagne et les patriotes qui ont voulu la mort du tyran et les lâches qui, eu voulant le sauver, nous ont calomniés par toute la France. » La montagne, acceptant ce signe de... | |
 | Bernard Adolphe Granier de Cassagnac - 1856 - 722 pages
...crois qu'il n'est plus de trêve entre In Montagne, entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyrnn, et les lâches qui, en voulant le sauver, nous ont calomniés dans la France!» Toute la Montagne, debout, accueillit avec transport ces paroles qui lui livraient la Gironde; et dès... | |
 | Amédée Gabourd - France - 1859 - 584 pages
...fédéralistes : « Écoutez! s'écria« t-il d'une voix tonnante, écoutez!... Il n'est plus de « trêve entre la Montagne, entre les patriotes qui ont «...voulant « le sauver, nous ont calomniés dans la France ! » A ces mots, des cris retentirent sur les bancs de la gauche ; les députés se levèrent, et,... | |
 | Encyclopedias and dictionaries, French - 1859 - 466 pages
...(X) Patriote français, n° MCCCXVII; cité dans l1 Histoire Parlementaire, t. XXV, p. 194i dit-il, entre la Montagne, entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyran, et lei lâches qui, en voulant le sauver, nous ont calomniés dans la France (I) 1 Eu vain dira-t-il,... | |
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Eh bien! je crois qu'il n'est plus de trêve entre la Montagne, entre les patriotes qui ont voulu la mort du tyran et les lâches qui, en voulant le sauver, nous ont calomniés dans la France. 
