Œuvres de M.A. Jay ...Sauvaignat, 1839 - French literature |
From inside the book
Results 6-10 of 34
Page 110
... siècle ! Ces considérations m'auraient déterminé à supprimer ce dialogue , si , d'un autre côté je ne savais qu'il existe encore un petit nom- bre d'hommes qui aiment la raison et la vé- rité ; il faut leur pardonner ce goût singulier ...
... siècle ! Ces considérations m'auraient déterminé à supprimer ce dialogue , si , d'un autre côté je ne savais qu'il existe encore un petit nom- bre d'hommes qui aiment la raison et la vé- rité ; il faut leur pardonner ce goût singulier ...
Page 114
... siècle peut s'honorer , vous verrez se soulever contre vous cette mul- titude d'auteurs médiocres , amants maltraités de la gloire , qui regardent d'un œil d'envie les hommes dont ils sont forcés au fond de leur coeur de reconnaître la ...
... siècle peut s'honorer , vous verrez se soulever contre vous cette mul- titude d'auteurs médiocres , amants maltraités de la gloire , qui regardent d'un œil d'envie les hommes dont ils sont forcés au fond de leur coeur de reconnaître la ...
Page 128
... siècle . C'est le >> manuscrit le plus curieux qu'il soit possible » de voir ; c'est bien dommage qu'on ne puis- » se le déchiffrer . » Signé POLYCARPE DUHAMEL . >> J'acceptai avec plaisir cette invitation ami- cale , sans toutefois me ...
... siècle . C'est le >> manuscrit le plus curieux qu'il soit possible » de voir ; c'est bien dommage qu'on ne puis- » se le déchiffrer . » Signé POLYCARPE DUHAMEL . >> J'acceptai avec plaisir cette invitation ami- cale , sans toutefois me ...
Page 222
... des >> enfants du siècle , et vous reconnaîtrez que >> l'opulence et les grandeurs même ne sont >>> que des ombres fugitives , dont l'éclat trom- >> peur amuse un moment l'imagination , et » passe 222 NICOLAS FREEMAN .
... des >> enfants du siècle , et vous reconnaîtrez que >> l'opulence et les grandeurs même ne sont >>> que des ombres fugitives , dont l'éclat trom- >> peur amuse un moment l'imagination , et » passe 222 NICOLAS FREEMAN .
Page 281
... siècle ne connut que ses opinions insensées , et il ne vit point la beauté de son génie . >> Voilà une décision bien dure et bien tran- chante . M. Michaud a fait preuve d'un talent distingué en plus d'un genre , et il était digne de ...
... siècle ne connut que ses opinions insensées , et il ne vit point la beauté de son génie . >> Voilà une décision bien dure et bien tran- chante . M. Michaud a fait preuve d'un talent distingué en plus d'un genre , et il était digne de ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aban aimait Américains amis amour anglais Angleterre Arnold asyle Barbé-Marbois beauté bonheur bonne brillantes cause chants charme Chénier cher choses ciel cœur comté de Buck comtesse Comus courage Delille destinée Dieu discours dit-il écrivains esprit États-Unis eût femme fille fleurs Floranville force fortune FREEMAN frère général génie gloire goût gouvernement heureux hommes j'ai j'étais Jacques Delille jamais jésuites jeune jour KERKABON l'amour l'auteur l'in liberté livre livres sterling long-temps losophe Louis XIV Louvois lumière Lycomède Lysandre madame Battaro madame Duhamel main major malheur Mathilde MÉNÉDÈME ment mérite Milton mœurs monde morale n'avait nation nature noble ouvrage Paradis perdu passer passions patrie Pauliska pensée père peuple philosophe plaisir plaisirs poème poète poétique premier princesse prit qu'un raison religion reste Sabrina sais scène sentiments serait Sestos seule siècle sion société sort succès talent teur THEOPHRASTE tion Tiresias toyen trouve vérité vertu Voltaire West-Point yeux
Popular passages
Page 268 - Thus with the year Seasons return, but not to me returns Day, or the sweet approach of even or morn, Or sight of vernal bloom, or summer's rose, Or flocks, or herds, or human face divine...
Page 288 - He added not, and from her turn'd ; but Eve, Not so repuls'd, with tears that ceas'd not flowing, And tresses all disorder'd, at his feet Fell humble ; and, embracing them, besought His peace, and thus proceeded in her plaint. Forsake me not thus, Adam ! witness Heaven...
Page 268 - Those other two, equalled with me in fate So were I equalled with them in renown, Blind Thamyris, and blind Maeonides, And Tiresias and Phineus prophets old. Then feed on thoughts, that voluntary move Harmonious numbers; as the wakeful bird Sings darkling, and in shadiest covert hid Tunes her nocturnal note...
Page 290 - Towards her, his life so late and sole delight, Now at his feet submissive in distress...
Page 268 - Yet not the more Cease I to wander where the muses haunt Clear spring, or shady grove, or sunny hill, Smit with the love of sacred song ; but chief Thee, Sion, and the flowery brooks beneath, That wash thy hallowed feet, and warbling flow, Nightly I visit...
Page 267 - Or of the eternal co-eternal beam, May I express thee unblamed ? since God is light, And never but in unapproached light Dwelt from eternity, dwelt then in thee, Bright effluence of bright essence increate. Or hear'st thou rather pure ethereal stream, Whose fountain who shall tell? before the sun, Before the heavens thou wert, and at the voice Of God, as with a mantle, didst invest The rising world of waters dark and deep, Won from the void and formless infinite.
Page 289 - My only strength and stay : Forlorn of thee, Whither shall I betake me, where subsist ? While yet we live, scarce one short hour perhaps, Between us two let there be peace...
Page 268 - Thee I revisit safe, And feel thy sovran vital lamp ; but thou Revisit'st not these eyes, that roll in vain To find thy piercing ray, and find no dawn ; So thick a drop serene hath quenched their orbs, Or dim suffusion veiled.
Page 289 - Against God only, I against God and thee, And to the place of judgment will return, There with my cries importune Heaven, that all The sentence, from thy head removed, may light On me, sole cause to thee of all this woe,. Me, me only, just object of his ire!
Page 314 - L'évangile à l'esprit n'offre de tous côtés Que pénitence à faire et tourments mérités; Et de vos fictions le mélange coupable Même à ses vérités donne l'air de la fable.