| Jean de La Fontaine - 1778 - 522 pages
...penfe. A ces mots on cria ( ?. ) haro fur le baudet. Un Loup , quelque peu ( 3 ) Clerc , prou\ a par fa harangue , Qu'il fallait dévouer ce maudit animal , Ce pelé , ce galeux , d'où venoit tout le mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime... | |
| Voltaire - 1785 - 428 pages
...penfe, Quelque diable auffi me pouffant, . Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria , haro fur le baudet. Poujet, quelque peu clerc , prouva par fa harangue, Qu'il fallait dévouer ce maudit... | |
| Jean de La Fontaine - 1796 - 392 pages
...pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Unloup,quelquc peu clerc, prouva parsaharangue, Qu'il fallait dévouer ce maudit animal , Ce pelé... | |
| Charles Batteux - 1802 - 380 pages
...pense Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pre la largeur de ma langue. Je n'en avois nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le Baudet. Un Loup quelque pea-derc prouva par sa harangua Qu'il falloit dévouer ce maudit animal , Ce pelé , ce galeux , d'où... | |
| Jean de La Fontaine, Marie-Nicolas-Silvestre Guillon - Fables - 1803 - 466 pages
...pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avois nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots...Loup, quelque peu Clerc, prouva par sa harangue, Qu'il falloit dévouer ce maudit animal , Ce pelé , ce galeux , d'où venoit tout le mal. Sa peccadille... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pages
...pense, Quelque diable aussi me poussant, Îe tondis de ce pré la largeur de ma langue, e n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots,...baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangu« Qu'il falloit dé v; uer ce maudit animal, te pelé, te galeux, d'où venoit tout le mal.... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 pages
...pense Quelque diable ausssi me poussant, Je tondis de ce pré la largtur de ma langue. 3e n'en avais nul droit puisqu'il faut parler net; A ces mots on cria haro (10) sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc (ii), prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 462 pages
...pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. . . . Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Quoi qu'il en soit, M. Delille, loin de se soustraire... | |
| Lord Alexander Fraser Tytler Woodhouselee - Translating and interpreting - 1813 - 466 pages
...pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avois nul droit ; puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet : t Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu'il fatloit dévouer ce maudit anima), Ce pelé,... | |
| Friedrich Melchior baron von Grimm - 1813 - 462 pages
...pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. ' Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. . . . Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Quoi qu'il en soit, M. Delille, loin de se soustraire... | |
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