Histoire de la Restauration, Volume 4Michel Lévy frères, 1861 - France |
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alliés amendements appelait assemblée aurait avaient Bourdonnaye budget c'était cabinet Cent Jours Chambre des députés Chambre des pairs charges Charte Clausel de Coussergues clergé colléges électoraux commission condamné conseil coupables cours créanciers crimes débats Decazes déclara demanda département devait discours discussion dispositions dit-il donner duc de Richelieu duc de Wellington élective esprits établir eût force fût général gouvernement guerre hommes Hyde de Neuville jugement justice l'accusé l'arriéré l'État l'Europe l'ordonnance laisser Lavallette lord Castlereagh Lord Liverpool Louis XVIII majorité maréchal Ney membres ment mesure millions ministres modéré monarchie n'avait n'était Napoléon nation nécessaire nombre officiers ordonnance Pasquier pendant les Cent pensée police politique pouvait pouvoir pré préfet présenter président presque prince projet de loi proposa proposition public publique question rapporteur régime renouvellement intégral rentes repousser Révolution révolutionnaires royale royauté Royer-Collard s'était sentiments serait session seul sorte système Talleyrand tion tribunaux trône trouvait ultra-royalistes Vaublanc Villèle vote voulait
Popular passages
Page 277 - Nous ne vous dirons pas toutes les raisons sur lesquelles il s'est fondé : il suffit de savoir que l'un des motifs est que ce maréchal est accusé de haute trahison. Aux termes de la Charte, c'est à vous qu'il appartient de juger ces sortes de crimes. Il n'est pas nécessaire, pour exercer cette haute juridiction, que la Chambre soit organisée comme un tribunal ordinaire. Les formes que vous suivez dans les propositions de lois, et pour juger en quelque sorte celles qui...
Page 155 - ... nous vous supplions, au nom* de ce peuple même, victime des malheurs dont /le poids l'accable, de faire enfin que la justice marche où la clémence s'est arrêtée. Que ceux qui, aujourd'hui encore, encouragés par l'impunité, ne, craignent pas de faire parade de leur rébellion, soient livrés à la juste sévérité des tribunaux.
Page 113 - Providence pour gouverner trois branches d'une même famille, savoir: l'Autriche, la Prusse et la Russie, confessant ainsi que la nation chrétienne dont eux et leurs peuples font partie, n'a réellement d'autre Souverain que celui à qui seul appartient en propriété la puissance parce qu'en lui seul se trouvent tous les trésors de l'amour, de la science et de la sagesse infinie, c'est-à-dire Dieu, notre Divin Sauveur Jésus-Christ, le Verbe du Très-Haut, la Parole de Vie.
Page 278 - Nous osons dire que la Chambre des pairs doit au monde une éclatante réparation : elle doit être prompte, car il importe de retenir l'indignation qui de toutes parts se soulève. Vous ne souffrirez pas qu'une plus longue impunité engendre de nouveaux fléaux, de plus grands peut-être que ceux auxquels nous essayons d'échapper.
Page 89 - Ce n'est pas sans une vive émotion que nous venons de voir le commencement de vos justices. Vous avez saisi ce glaive que le souverain du ciel a confié aux princes de la terre pour assurer le repos des peuples.
Page 434 - Mon père et ma mère m'ont abandonné ?» Où estil le compagnon des adversités, le frère de l'orpheline du Temple? Où pourrais-je lui adresser cette interrogation terrible et trop connue: Capet, dors-tu? lève-toi! —Il se lève, Messieurs, dans toute sa gloire céleste, et il vous demande un tombeau.
Page 278 - Les ministres du roi sont obligés de vous dire que cette décision du conseil de guerre devient un triomphe pour les factieux. Il importe que leur joie soit courte, pour qu'elle ne soit pas funeste. Nous vous conjurons donc, et, au nom du roi, nous vous requérons de procéder immédiatement au jugement du maréchal Ney.
Page 278 - Ney est accusé; ils se confondent tous dans les » mots tracés par cette Charte qui, après l'ébranlement » de la société en France, en est devenue la base la plus » sûre. Nous accusons devant vous le maréchal Ney de » haute trahison et d'attentat contre la sûreté de l'État.
Page 140 - Vous connaîtrez, messieurs, et la France entière connaîtra la profonde peine que j'ai dû ressentir; mais le salut même de mon royaume rendait cette grande détermination nécessaire; et quand je l'ai prise, j'ai senti les devoirs qu'elle m'imposait. J'ai ordonné que cette année il fût versé du trésor de ma liste civile, dans celui de l'état, une portion considérable de mon revenu.
Page 415 - Messieurs, notre trésor peut être pauvre, mais' qu'il soit pur ' C'est en entretenant au sein de la nation les sentiments nobles et généreux que vous l'enrichirez d'une manière digne de vous ; méprisez de misérables dépouilles, conservez à nos lois fondamentales le caractère de noblesse et de pureté dont elles sont revêtues, et laissez aux Bourbons la gloire d'une grande pensée morale et politioue qui leur assure la reconnaissance de la nation et la vénération de la postérité (2)....