Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 25-26 |
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accusés adoptée adresse annonce applaudit armées arrêté aura avaient avez avons avril Brissot cent chargé chose citoyens comité commissaires Commune compte conduite conseil conspiration Convention nationale corps côté crime d'accusation d'avoir d'être Danton déclare décret demande dénoncé départemens département députés dernier devant dire discussion doit donner doute Dumourier enfin ennemis état exécutif force forme garde général guerre hommes j'ai Jacobins jour journal jugement l'armée l'assemblée l'ordre législative lettre lever liberté lieu livres lois mains Marat marche mars membres ment mesures mille ministre mois mort moyens municipalité nation nombre nommé nouvelle parle passe patrie patriotes personne pétition peuple place porte pourra pouvoir premier présenter président pris projet propose proposition public publique qu'un rappelle rapport rendre représentation République reste rétablir révolution révolutionnaire rien Robespierre s'il salle salut sauver séance sections sera seront seul société soient sommes sort tête tion tribunal tribune trouve tyran vérité voix voulait
Popular passages
Page 94 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 93 - Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie, afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur, le magistrat la règle de ses devoirs, le législateur l'objet de sa mission. En conséquence, il proclame, en présence de l'Etre suprême, la déclaration suivante des droits de l'homme et du citoyen. ART. 1".
Page 68 - République, la sûreté intérieure et extérieure de l'Etat, et de tous les complots tendant à rétablir la royauté, ou à établir toute autre autorité attentatoire à la liberté, à l'égalité et à la souveraineté du peuple, soit que les accusés soient fonctionnaires civils ou militaires, ou simples citoyens.
Page 132 - Les citoyens dont les revenus n'excèdent point ce qui est nécessaire à leur subsistance doivent être dispensés de contribuer aux dépenses publiques ; les autres doivent les supporter progressivement, selon l'étendue de leur fortune.
Page 133 - Ceux qui font la guerre à un peuple pour arrêter les progrès de la liberté et anéantir les droits de l'homme doivent être poursuivis par tous, non comme des ennemis ordinaires, mais comme des assassins et des brigands rebelles.
Page 131 - Voilà mes propriétés, je les ai achetés tant par tête* » interrogez ce gentilhomme qui a des terres et des vassaux, et qui croit l'univers bouleversé depuis qu'il n'en a plus , il vous donnera de la propriété des idées à peu près semblables.
Page 61 - Les biens de ceux qui seront condamnés à la peine de mort seront acquis à la République, et il sera pourvu à la subsistance des veuves et des enfants, s'ils n'ont pas de biens d'ailleurs.
Page 55 - Mais, si un homme du peuple, pour un crime particulier, en reçoit à l'instant le châtiment, s'il est si difficile d'atteindre un crime politique, n'est-il pas nécessaire que des lois extraordinaires, prises hors du corps social, épouvantent les rebelles et atteignent les coupables? Ici le salut du peuple exige de grands moyens et des mesures terribles. Je ne vois pas de milieu entre les formes ordinaires et un tribunal révolutionnaire.
Page 49 - Eh que m'importe ma réputation ! que la France soit libre et que mon nom soit flétri! Que m'importe d'être appelé buveur de sang! Eh bien, buvons le sang des ennemis de l'humanité, s'il le faut; combattons, conquérons la liberté.
Page 130 - ... la source de bien des maux et de bien des crimes, mais nous n'en sommes pas moins convaincus que l'égalité des biens est une chimère. Pour moi, je la crois moins nécessaire encore au bonheur privé qu'à la félicité publique. Il s'agit bien plus de rendre la pauvreté honorable que de proscrire l'opulence.