Œuvres, Volume 5Giguet et Michaud, 1801 - French literature |
From inside the book
Results 1-5 of 22
Page vi
... semble de- sirer de se reposer sur des objets plus riants : mais resserré dans les limites de son sujet , il s'en est dédommagé par une esquisse rapide et charmante des jardins , et par ce touchant épisode d'un vieil- lard heureux dans ...
... semble de- sirer de se reposer sur des objets plus riants : mais resserré dans les limites de son sujet , il s'en est dédommagé par une esquisse rapide et charmante des jardins , et par ce touchant épisode d'un vieil- lard heureux dans ...
Page xiii
... , chez les an- ciens , sont les seuls monuments du second genre ; et tandis que les tragédies d'Ennius , de Pacuvius , la Médée même d'Ovide , ont péri , l'antiquité nous a transmis ces deux poëmes ; et il semble que PREFACE . xiij.
... , chez les an- ciens , sont les seuls monuments du second genre ; et tandis que les tragédies d'Ennius , de Pacuvius , la Médée même d'Ovide , ont péri , l'antiquité nous a transmis ces deux poëmes ; et il semble que PREFACE . xiij.
Page xiv
Jacques Delille. a transmis ces deux poëmes ; et il semble que le génie de Rome ait encore veillé sur sa gloire en nous conservant ces chefs - d'oeuvre . Parmi les mo- dernes , nous ne connoissons guere que les deux . Poëmes des Saisons ...
Jacques Delille. a transmis ces deux poëmes ; et il semble que le génie de Rome ait encore veillé sur sa gloire en nous conservant ces chefs - d'oeuvre . Parmi les mo- dernes , nous ne connoissons guere que les deux . Poëmes des Saisons ...
Page xxviii
... semble que , dans l'empire des lettres , les premieres productions naissent déshéritées jusqu'à ce qu'un nouvel ouvrage leur ait rendu le droit d'aînesse . Lorsque la traduction des Géorgiques parut , elle fut accueillie par une foule ...
... semble que , dans l'empire des lettres , les premieres productions naissent déshéritées jusqu'à ce qu'un nouvel ouvrage leur ait rendu le droit d'aînesse . Lorsque la traduction des Géorgiques parut , elle fut accueillie par une foule ...
Page xxviii
... semble que , dans l'empire des lettres , les premieres productions naissent déshéritées jusqu'à ce qu'un nouvel ouvrage leur ait rendu le droit d'aînesse . Lorsque la traduction des Géorgiques parut , elle fut accueillie par une foule ...
... semble que , dans l'empire des lettres , les premieres productions naissent déshéritées jusqu'à ce qu'un nouvel ouvrage leur ait rendu le droit d'aînesse . Lorsque la traduction des Géorgiques parut , elle fut accueillie par une foule ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abdolonyme agréable amours arbres arbrisseaux aspects asyle avoit beau beauté Beloeil bergers Bleinheim bocage bois bords bosquets brillants bruit buis cascade champêtre champs chants charme cher Chinois ciel cœur coteaux couleurs déja délicieux dieux divers douce douce illusion doux duc de Marlborough eaux Élysée embellit enchanté enchanteur étoit féconde festons feuillage fleurs flots frais galerie gazons genre Géorgiques gloire goût grace heureux Homere imité j'ai jardins jour Kensington Kiow l'arbre l'art l'œil l'onde l'orgueil lacs lieux Limours loin lointains luxe main maniere marbre Midleton monde montagnes monuments muse myrte nature Obélisque objets ombrages ombres ondes orne ouvrage Palès Par-tout paroît parure paysages Pétrarque peuple plaisir plaisirs plaît plants poëme poëte pompe pompeux printemps quelquefois rameaux regret riant riches rivieres rochers rocs rois Rosamonde ruisseau sauvage scenes séjour sentiers sombre superbe sur-tout tableaux tantôt temple terre terrein Tivoli tour-à-tour tout-à-coup triste vallons verds verdure vieux Virgile yeux Zéphyre
Popular passages
Page 147 - And all amid them stood the Tree of Life, High eminent, blooming ambrosial fruit Of vegetable gold; and next to Life, Our death, the Tree of Knowledge, grew fast by, Knowledge of good bought dear by knowing ill.
Page 147 - With mazy error under pendent shades Ran nectar, visiting each plant, and fed Flow'rs worthy of Paradise, which not nice art In beds and curious knots, but Nature boon Poured forth profuse on hill and dale and plain...
Page 148 - Of some irriguous valley spread her store, Flowers of all hue, and without thorn the rose : Another side, umbrageous grots and caves Of cool recess, o'er which the mantling vine Lays forth her purple grape, and gently creeps Luxuriant; meanwhile murmuring waters fall Down the slope hills, dispersed, or in a lake, That to the fringed bank with myrtle crown'd Her crystal mirror holds, unite their streams.
Page 147 - Which from his darksome passage now appears, And now divided into four main streams Runs diverse, wand'ring many a famous realm And country whereof here needs no account; But rather to tell how, if art could tell...
Page 148 - Imbrown'd the noontide bowers ; thus was this place A happy rural seat of various view ; Groves whose rich trees wept odorous gums and balm ; Others whose fruit, burnish'd with golden rind, Hung amiable, Hesperian fables true, If true, here only, and of delicious taste...
Page 147 - Shade above shade, a woody theatre Of stateliest view. Yet higher than their tops The verdurous wall of Paradise up sprung : Which to our general sire gave prospect large Into his nether empire neighboring round.
Page 25 - Sans contrainte, sans art, de ses douces prémices La nature épuisa les plus pures délices. Des plaines, des coteaux le mélange charmant, Les ondes à leur choix errantes mollement , Des sentiers sinueux les routes indécises, Le désordre enchanteur, les piquantes surprises, Des aspects où les yeux hésitaient à choisir, Variaient, suspendaient, prolongeaient leur plaisir.
Page 147 - Of porous earth with kindly thirst up drawn, Rose a fresh fountain, and with many a rill Watered the garden; thence united fell Down the steep glade, and met the nether flood, Which from his darksome passage now appears...
Page 147 - Out of the fertil ground he caus'd to grow All Trees of noblest kind for sight, smell, taste ; And all amid them stood the Tree of Life...
Page viii - L'art des jardins, qu'on pourrait appeler le luxe de l'agriculture, me paraît un des amusemens les plus convenables, je 'dirais presque les plus vertueux, des personnes riches. Comme culture,, il les ramène à l'innocence des occupations champêtres ; comme décoration, il favorise sans,. danger ce goût de dépenses qui suit les grandes, fortunes; enfin il a$ pour cette classe d'hommes, le double avantage de tenir à la fois aux goûts de la ville et à ceux de la campagne. ••> . — ,'-,,....