Oeuvres complètes de M. le Vicomte de Chateaubriand: Les martyrsPourrat Frères, 1834 - France |
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... mère . Démodocus , dernier descendant des Homérides , prêtre d'Homère au temple de ce poëte , sur le mont Ithome , en Mes- sénie . Description de la Messénie . Démodocus consacre au culte des muses sa fille unique , Cymodocée , afin de ...
... mère . Démodocus , dernier descendant des Homérides , prêtre d'Homère au temple de ce poëte , sur le mont Ithome , en Mes- sénie . Description de la Messénie . Démodocus consacre au culte des muses sa fille unique , Cymodocée , afin de ...
Page 31
... mère , déjà << tombée sous vos coups , ne fut orgueilleuse de ma « naissance ! » A ces cris le chien aboie , le chasseur se réveille . Surpris de voir cette jeune fille à genoux , il se lève précipitamment : « Comment ! dit Cymodocée ...
... mère , déjà << tombée sous vos coups , ne fut orgueilleuse de ma « naissance ! » A ces cris le chien aboie , le chasseur se réveille . Surpris de voir cette jeune fille à genoux , il se lève précipitamment : « Comment ! dit Cymodocée ...
Page 33
... mère des Hespé- rides et de l'Amour . Mais son guide l'interrompant : « Je ne vois que des astres qui racontent la gloire du Très - Haut . » Ces paroles jetèrent de nouveau la confusion dans le cœur de la prêtresse des Muses . Elle ne ...
... mère des Hespé- rides et de l'Amour . Mais son guide l'interrompant : « Je ne vois que des astres qui racontent la gloire du Très - Haut . » Ces paroles jetèrent de nouveau la confusion dans le cœur de la prêtresse des Muses . Elle ne ...
Page 35
... mère . Que de peines ne m'as - tu point causées dans ton enfance ! Je passois les nuits au- près de ton berceau , je te balançois sur mes ge- noux ; tu ne voulois prendre de nourriture que de ma main , et quand je te quittois un instant ...
... mère . Que de peines ne m'as - tu point causées dans ton enfance ! Je passois les nuits au- près de ton berceau , je te balançois sur mes ge- noux ; tu ne voulois prendre de nourriture que de ma main , et quand je te quittois un instant ...
Page 36
... mère apporte la nourriture à ses petits . Enfin , suspendant ses larmes : « O mon enfant , dit Démodocus , quel dieu t'a rendue à ton père ? Comment t'avois - je laissée aller seule au temple ? J'ai craint nos ennemis ; j'ai craint les ...
... mère apporte la nourriture à ses petits . Enfin , suspendant ses larmes : « O mon enfant , dit Démodocus , quel dieu t'a rendue à ton père ? Comment t'avois - je laissée aller seule au temple ? J'ai craint nos ennemis ; j'ai craint les ...
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Common terms and phrases
anges autels avoient avoit Barbares bois bord bouclier c'étoit Cérès César chants char charme Chlodéric chose chrétiens ciel cœur connoître Constance Constantin coup Cymodocée Cyrille d'Eudore d'Homère Démodocus démons descendant désert Dieu dieux Dioclétien Diodore divin douleur druides Égypte esclave étoient étoit Eudore Évandre faisoit femmes fille fils de Lasthénès fleuve flots forêts Galérius Gaules Gaulois Grèce guerriers Hiéroclès Homère hommes Iliad j'ai j'avois j'étois Jérôme jeune joie jour Jupiter l'Alphée l'Église l'Égypte l'enfer Ladon larmes légion livre long-temps lyre main Marcellin MARTYRS ment Mérovée Messénie milieu mœurs montagnes monument mort Muses nuit Odyss passer PAUSANIAS père peuple Pharamond pieds poëte porte prince Psophis quæ récit religion rivage Romains Rome sacré sacrifice saint Saliens Satan Seigneur sembloit soldats sort Strabon TACIT Taygète Télémaque temple terre tête Teutatès tombeau Velléda victime vieillard VIII voix voyoit yeux Zacharie δὲ ἐν καὶ μὲν τὸ τῶν
Popular passages
Page 245 - Je n'ai jamais aperçu au coin d'un bois la hutte roulante d'un berger, sans songer qu'elle me suffirait avec toi. Plus heureux que ces Scythes dont les Druides m'ont conté l'histoire, nous promènerions aujourd'hui notre cabane de solitude en solitude, et notre demeure ne tiendrait pas plus à la terre que notre vie.
Page 268 - Soudain, de l'extrémité du désert accourt un tourbillon. Le sol, emporté devant nous, manque à nos pas, tandis que d'autres colonnes de sable, enlevées derrière nous, roulent sur nos têtes.
Page 411 - The other shape, If shape it might be call'd, that shape had none Distinguishable in member, joint, or limb, Or substance might be call'd that shadow seem'd. For each seem'd either; black it stood as night. Fierce as ten furies, terrible as hell, And shook a dreadful dart; what seem'd his head The likeness of a kingly crown had on.
Page 166 - ... toutes parts : là, les bœufs épouvantés nagent avec les chariots qu'ils entraînent; ils ne laissent voir au-dessus des vagues que leurs cornes recourbées, et ressemblent à une multitude de fleuves qui auraient apporté eux-mêmes leurs tributs à l'Océan; ici, les Saliens mettent à flot leurs bateaux de cuir et nous frappent à coups de rames et d'avirons.
Page 148 - Gaulois étoient répandus sur le front de l'armée. L'instinct de la guerre est si naturel chez ces...
Page 150 - Parés de la dépouille des ours , des veaux marins , des urochs et des sangliers , les Francs se montraient de loin comme un troupeau de bêtes féroces. Une tunique courte et serrée laissait voir toute la hauteur de leur taille , et ne leur cachait pas le genou. Les yeux de ces barbares ont la couleur d'une mer orageuse; leur chevelure blonde, ramenée en avant sur leur poitrine...
Page 29 - C'était une de ces nuits dont les ombres transparentes semblent craindre de cacher le beau ciel de la Grèce : ce n'étaient point des ténèbres , c'était seulement l'absence du jour. L'air était doux comme le lait et le miel , et l'on sentait à le respirer un charme inexprimable. Les sommets du Taygète , les promontoires opposés de Colonides et d'Acritas , la mer de Messénie , brillaient de la plus tendre lumière ; une flotte ionienne baissait ses voiles pour entrer...
Page 135 - Je voulus retourner en arrière, mais il n'étoit plus temps : je pris une fausse route, et, au lieu de sortir du dédale, je m'y enfonçai. De nouvelles avenues qui s'ouvrent et se croisent de toutes parts, augmentent à chaque instant mes perplexités. Plus je m'efforce de trouver un chemin , plus je m'égare; tantôt je m'avance avec lenteur, tantôt je passe avec vitesse...
Page 154 - Pharamond ! Pharamond ! nous avons combattu avec l'épée. « Nos pères sont morts dans les batailles ; tous les vautours en ont gémi : nos pères .les rassasiaient de carnage ! Choisissons des épouses dont le lait soit du sang, et qui remplissent de valeur le cœur de nos fils. Pharamond, le bardit est achevé, les heures de la vie s'écoulent. Nous sourirons quand il faudra mourir.
Page 434 - ( ita suos appellant magos ] visco, et arbore, in qua gignatur , si modo sit robur, sacratius. Jam per se roborum eligunt lucos, nee ulla sacra sine ea fronde conficiunt , ut inde appellati quoque interpretatione graeca possint Druides