La comtesse de Charny, Volume 2Michel Lévy frères, 1873 - France |
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allait arrivé avez baron Bouillé Boursonnes bras c'était cabaret Cagliostro Cathe chambre Charny cher Louis cher monsieur cher Pitou chose cœur comte Louis d'Haramont demanda demanda-t-il devant dévouement Dieu dire dit-il docteur Gilbert docteur Raynal doute êtes eût Fayette femme fenêtre ferme fermier fusil fût garde nationale Guillotin Haramont instant Isidore j'ai jeune fille jeune homme jour l'abbé Fortier l'Assemblée l'homme l'inconnu Louis de Bouillé Louis XVI madame Clément mademoiselle Catherine main maire maître Gamain Majesté malheur marquis de Favras mère Billot mère Colombe Mirabeau monsieur Billot monsieur de Beausire monsieur le comte Montmédy murmura n'avait n'était Nicole nuit paroles passa pauvre père Clouïs pont de Sèvres porte regard reine répondit route royale s'écria s'était Sardaigne savait sera serrure seul silence sire soir sorte sucre d'orge Suleau tête trouvé Tuileries Turin venait vicomte Villers-Cotterets vingt-cinq louis voilà voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 248 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 250 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 247 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 251 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinction d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie; ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 248 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 144 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 249 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Page 246 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 247 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 249 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.