| France - 1919 - 976 pages
...voudrais pouvoir rompre avec moi-même... Rien ne me remue, rien ne m'intéresse, tout me dégoûte... Je ne sais sur quoi porter un reste de sensibilité...s'éteint; des désirs, je n'en ai plus. J'ai usé la vie; c'est de tous les clats le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la plus... | |
| Félicité Robert de Lamennais - 1866 - 522 pages
...tué. Tourenne a tué quatre perdrix qu'on vous envoie. Dis-moi sincèrement ce que tu penses de moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois, je tombe...; des désirs, je n'en ai plus. J'ai usé la vie; c'est de tous les états le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la plus... | |
| Félicité Robert de Lamennais - 1866 - 474 pages
...retour ; il a tiré sept coups et n'a rien tué. Tourenne a tué quatre perdrix qu'on vous envoie. faire un effort presque inouï pour me lever. La pensée...; des désirs, je n'en ai plus. J'ai usé la vie; c'est de tous les états le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la plus... | |
| Félicité Robert de Lamennais - 1866 - 490 pages
...retour ; il a tirjâ sept coups et n'a rien tué. Tourenne a tué quatre perdrix qu'on vous envoie. faire un effort presque inouï pour me lever. La pensée...; des désirs, je n'en ai plus. J'ai usé la vie; c'est de tous les états le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la plus... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1869 - 464 pages
...l'engourdissement et une sorte de paralysie morale : <c (1810)... Dis-moi sincèrement ce que tu pensesde moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois je tombe...; des désirs, je n'en ai plus ; j'ai usé la vie : c'est de tous les états le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1869 - 458 pages
...l'engourdissement et une sorte de paralysie morale : « (1810)... Dis-moi sincèrement ce que tu penses de moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois je tombe...s'éteint; des désirs, je n'en ai plus; j'ai usé la vie : c'est de tous les états le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - French literature - 1869 - 522 pages
...l'engourdissement et une sorte de paralysie morale : « (1810)... Dis-moi sincèrement ce que tu penses de moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois je tombe...dans un état d'affaissement incompréhensible. Rien no me remue, rien ne m'intéresse, tout me dégoûte. Si je suis assis, il me faut faire un effort... | |
| Philosophy - 1878 - 968 pages
...est plongé. A son frère. — La Chênaie, ... 1810. Dis-moi sincèrement ce que tu penses de moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois, je tombe...s'éteint; des désirs, je n'en ai plus. J'ai usé la vie; c'est de tous les états le plus pénible, et de toutes les maladies la plus douloureuse comme la plus... | |
| Catholic Church and philosophy - 1878 - 488 pages
...est plongé. A son frère. — La Chênaie, . . . 1810. Dis-moi sincèrement ce que tu penses de moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois, je tombe...je suis assis, il me faut faire un effort presque inoui pour me lever. La pensée me fatigue. Je ne sais sur quoi porter un reste de sensibilité qui... | |
| Auguste Pierre Laveille - Brittany (France) - 1903 - 636 pages
...réclame avec insistance les conseils de son frère : « Dis-moi sincèrement ce que tu penses de moi. Je ne me connais plus. Depuis quelques mois, je tombe...reste de sensibilité qui s'éteint; des désirs, jen'en ai plus. J'ai usé la vie; ...» L'abbé Jean, qui connaît à fond son frère, ne s'effraie... | |
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