Confessions de Madame***: principes de morale pour se conduire dans le monde, Volume 1 |
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actions aimé âme amis amitié assez auroit avois avoit besoin bienfaisance bler bonheur bonne bonté c'étoit carac caractère cause chagrin charité choses cœur colin-maillard connoissance connoître consolation coupable crainte d'être défauts devoir Dieu différens dire doit domestiques douceur enfans ensem éprouve esprit étoient étoit événemens exem faisoit femme foibles foiblesse gemens gens goût heureux hommes honnête idée inca inconvéniens j'ai j'aurois j'avois j'en j'étois jamais jouissances juste justice l'âme l'amitié l'amour l'esprit l'homme l'humanité l'irrésolution laisse licats long-temps m'en m'est malheur manière manquer Marivaux ment Mme Geoffrin monde morale moyen n'ai n'avoit n'en nable néces nécessaire occasion pable paroît passions pauvre peine pense personne persuadée plaire plaisir plaisirs possible pourroit pouvoir qu'à qu'un raison reconnoissance remplir rendre reux ridicule rien roit s'il secours sensible sentimens sentiment seroit seul sion société soins songer souf souvent sujet tence tion toyen trait trouver utile vérité vertu veux vice vois
Popular passages
Page 155 - ... raisonnable qui fasse disparaître les désagréments de la servitude en maintenant la subordination ; puis, donner des avis à ceux qui en ont besoin, calmer une inquiétude, alléger un chagrin : voilà , dans le tableau de ces soins multipliés dont l'occasion s'offre à chaque instant , de quoi occuper toutes les heures de la vie. A la vérité, ce n'est là que le remplissage de la bonté ; mais n'est-il pas bon de n'y point laisser de vide et de se tenir toujours en exercice? J'ose assurer...
Page 14 - On demande quel est le principe de cet ordre ^des trappistes dans ses rapports avec Rome ; par ce que je viens de dire, il est aisé de voir que ce principe est le désespoir. La signification de Rancé, sa valeur dans l'histoire du christianisme, c'est d'avoir senti, à la vue de l'Église romaine, des douleurs et un effroi qu'elle-même ne pouvait plus sentir ; sa grandeur est d'avoir trouvé ces douleurs inguérissables. Avant lui, les législateurs...
Page 88 - Quand on s'est appliqué à bien connoître ce qu'on doit à ses semblables , qu'on n'apprend que pour pratiquer, qu'on est devenu juste pour soi et bon pour les autres , on peut se rassurer sur les jugcmens d'un Dieu.
Page 155 - Si l'on n'est pas souvent à portée de rendre de grands services, il n'est point de jour où l'on ne puisse travailler à rendre la situation de quelqu'un meilleure. En société, le désir d'obliger qui va au-devant de tous les désirs; en famille, la douceur qui procure la paix, et la sagesse qui la conserve; avec ses domestiques, un traitement doux et raisonnable qui fasse disparaître les désagréments de la servitude en maintenant la subordination ; puis, donner des avis à ceux qui en ont...
Page 155 - ... subordination ; puis, donner des avis à ceux qui en ont besoin, calmer une inquiétude, alléger un chagrin : voilà , dans le tableau de ces soins multipliés dont l'occasion s'offre à chaque instant , de quoi occuper toutes les heures de la vie. A la vérité, ce n'est là que le remplissage de la bonté ; mais n'est-il pas bon de n'y point laisser de vide et de se tenir toujours en exercice? J'ose assurer qu'une existence ainsi tournée au profit de nos semblables serait le vrai 'secret...
Page 154 - On dira que les occasions de faire du bien ne sont pas si communes : les supposer rares, c'est être bien ignorant en bonté. Si l'on...
Page 99 - Perfectionner la raison est le premier" moyen d'assurer le repos ; acquérir le courage de la patience, c'est diminuer de moitié ; les maux de la vie; élever son âme, en...