Œuvres complètes, Volume 30Pourrat frères, 1837 |
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Popular passages
Page 84 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 8 - L'Assemblée nationale décrète , 1° que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation , à la charge de pourvoir , d'une manière convenable , aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres et au soulagement des pauvres...
Page 76 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu, s'il n'a été consenti par les deux chambres et sanctionné par le roi.
Page 43 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 227 - Il ne peut plus y avoir de politique anglaise, française, russe, prussienne, autrichienne ; il n'ya plus qu'une politique générale, qui doit, pour le salut de tous, être admise en commun par les peuples et par les rois.
Page 227 - Je suis bien aise, me dit un jour l'empereur Alexandre, que vous soyez venu à Vérone, afin de rendre témoignage à la vérité. Auriezvous cru, comme le disent nos ennemis, que l'alliance est un mot qui ne sert qu'à couvrir des ambitions? Cela peut-être eût été vrai dans l'ancien état des choses; mais il s'agit bien aujourd'hui de quelques intérêts particuliers, quand le monde civilisé est en péril...
Page 164 - France ; et pour me renfermer directement dans ce qui me concerne, il s'agit de savoir si nous appellerons encore à la défense de la patrie les soldats qui ont fait sa gloire, ou si nous les déclarerons à jamais dangereux pour son repos. Ce dernier arrêt serait...
Page 267 - N'arrêtez pas mes regards sur la dernière conséquence de la loi , ou vous me feriez frémir. La voici tout entière cette dernière conséquence : L'homme sacrilège, conduit à l'échafaud, devroit y marcher seul et sans l'assistance d'un prêtre, car que lui dira ce prêtre? Il lui dira sans doute : Jésus-Christ vous pardonne; et que lui répondra le criminel ? Mais la loi me condamne au nom de Jésus-Christ.
Page 228 - Dès lors je me suis abstenu. Que n'at-on point fait pour rompre l'alliance? On « a cherché tour à tour à me donner des préventions ou à blesser mon amour-propre ; « on m'a outragé ouvertement : on me connaissait bien mal, si on a cru que mes « principes ne tenaient qu'à des vanités ou pouvaient céder à des ressentiments.
Page 75 - Mais si vous n'avez pas une loi, messieurs, du moins faudroit-il que la censure reposât sur des bases légales. Or , une loi peut-elle être renfermée dans un article aussi vague que celui-ci : Les journaux et écrits périodiques ne pourront paraître qu'avec l'autorisation du roi? Quel vaste champ cet article ne laisse-t-il pas à l'arbitraire? Aussi comment l'at-on interprété? Voici, messieurs, tout ce qu'il veut dire: On peut suspendre ou supprimer un journal sans faire juger le journaliste...