Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à notre respectable mère, combien elles paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession... Les miettes de l'histoire - Page 371by Auguste Vacquerie - 1863 - 495 pagesFull view - About this book
| François-René vicomte de Chateaubriand - Apologetics - 1826 - 438 pages
...quand tu cesseras d'être l'ob» jet de nos sollicitudes, nous aurons cessé » de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes » erreurs ont fait répandre à notre respectable » mère, combien elles paroissent déplorables à » tout ce qui pense et fait profession non» seulement de piété, mais... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 402 pages
...sollici• tudes , nou» aurons cessé de vivre. Si tu tavoil combien de pleurs • tes erreurs ontjait répandre à notre respectable mère, combien elles...déplorables à tout ce qui pense et fait profession • non-seulement de piété, mais de raison; si tu le savois, peut-être « cela contribueroit-il... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 420 pages
...de vivre. Si tu savois combien de pleurs • ta erreurs ont /ait repandre à notre respectable mire, combien elles « paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession • uon-seulcmcnt de piété, mais de raison ; si tu le savois , peut-être • cela contribueroit-il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 388 pages
...Quand tu « cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes , nous aurons « cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs « ont fait répandre...paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profes« sion non-seulement de piété, mais de raison ; si tu le sa« vais, peut-être cela contribuerait-il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Authors, French - 1849 - 776 pages
...de nos sollicitudes, nous aurons cessé de « vivre. Si tu savais combien de pleurs tes er« reurs ont fait répandre à notre respectable « mère,...déplorables à « tout ce qui pense et fait profession non-seu« lement de piété, mais de raison ; si tu le sa« vais, peut-être cela contribuerait-il... | |
| François-René de Chateaubriand - 1849 - 488 pages
...cesseras d'être l'objet « de nos sollicitudes, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais com« bien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à notre...déplorables à tout ce qui pense et « fait profession non-seulement de piété, mais de raison ; si tu le sa« vais, peut-être cela contribuerait-il à... | |
| Alfred Nettement - France - 1858 - 474 pages
...Révolution avait abreuvé les dernières années de cette mère vénérée : « Si tu savais, disait-elle, combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à...combien elles paraissent déplorables à tout ce qui fait profession, non pas de piété, mais de raison, si tu le savais, peut-être cela contribueraitil... | |
| Abel-François Villemain - 1858 - 580 pages
...poignante, par les reproches affectueux, qu'elle adressait à son frère : « Si tu « savais, disait-elle, combien de pleurs tes erreurs ont fait « répandre à notre respectable mère, combien elles pa« raissentdéplorables à tout ce qui pense et fait profession, « non pas de piété, mais de raison... | |
| Villemain (M., Abel-François) - France - 1858 - 584 pages
...poignante, par les reproches alfeetueux, qu'elle adressait à son frère : « Si tu « savais, disait-elle, combien de pleurs tes erreurs ont fait « répandre à notre respectable mère, combien elles pa« raissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession, « non pas de piété, mais de... | |
| |