L'Encyclique et les évêques de France: recueil complet des lettres : lettres-circulaires, instructions pastorales et mandements de nn. ss. le archevêques et évêques de Paris

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Page 76 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 143 - Jean, car ce n'est pas la chair et le sang qui te l'ont révélé, mais c'est mon Père qui est dans les cieux. Et moi, je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle.
Page 130 - Tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel (1).
Page 129 - Toute puissance m'a été donnée dans le ciel et sur la terre. Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit...
Page 26 - La Constitution reconnaît, confirme et garantit les grands principes proclamés en 1789, et qui sont la base du droit public des Français.
Page 180 - David, secundum evangelium meum, 8 in quo laboro usque ad vincula quasi male operans, sed verbum dei non est alligatum.
Page 241 - J'aurais voulu pouvoir garder toujours le silence sur la lettre circulaire que Votre Excellence m'a fait l'honneur de m'adresser à la date du premier jour de ce mois.
Page 138 - Dieu qui voulait que cette Église, la mère commune de tous les royaumes , dans la suite ne fût dépendante d'aucun royaume dans le temporel et que le siège où tous les fidèles devaient garder l'unité à la fin fût mis au-dessus des partialités que les divers intérêts et les jalousies d'État pourraient causer, jeta les fondements de ce grand dessein par Pépin et par Charlemagne.
Page 130 - Caphaniaùm, qui t'es élevée jusqu'au ciel, tu seras précipitée jusque dans le fond des enfers^/). 16. Celui qui vous écoute, m'écoute; celui qui vous méprise, me méprise; et celui qui me méprise, méprise celui qui m'a envoyé.
Page 138 - C'est par une heureuse suite de leur libéralité que l'Église, indépendante dans son chef de toutes les puissances temporelles, se voit en état d'exercer plus librement pour le bien commun et sous la commune protection des rois chrétiens cette puissance céleste de régir les âmes, et que, tenant en main la balance droite au milieu de tant d'empires souvent ennemis, elle entretient l'unité dans tout le corps, tantôt par d'inflexibles décrets, et tantôt par de sages tempéraments.

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