Tableau de la campagne d'automne de 1813, en Allemagne: depuis la rupture de l'armistice jusqu'au passage du Rhin par l'armée franc̜aise avec une carte topographique des environs de Leipzig |
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attaquer autrichienne bataille bataillons batterie Bautzen Beeren Benningsen Bertrand Blucher Bober Bohême Borstel brigade Bulow Buntzlau çais cavalerie centre Colloredo colonnes combat comte corps d'infanterie corps de Klenau corps de Langeron corps russe cosaques cuirassiers culbutés d'attaque Davoust déboucher défilé Dennewitz derrière devant diriger division dorf Dresde Duben ennemis faubourg flanc forces Fran gardes russes garnison gauche de l'Elbe général Giulay Goldberg grenadiers Hanau heures après midi Jauer Katzbach Kleist Kulm l'armée de Silésie l'armée française l'avant-garde l'ennemi laissé Langeron Lauriston Leipzic ligne d'opérations Lusace Macdonald manoeuvre marche maréchal Ney Marmont mée mille hommes Napoléon néral Nollendorf occupé octobre Partha passa Peterswalde pièces de canon Pirna Platow Pleisse Poniatowski pont porta position prince de Schwarzenberg Prince royal prisonniers quartier-général régimens repassa replia resta retraite rive route russe et prussienne s'était Saken Saxe septembre Souham Stecknitz Suédois Tauenzien Toeplitz Trebbin troupes trouvait Vandamme victoire village Wachau Walmoden Weissenfels Wittgenstein Wrède
Popular passages
Page 175 - qui ne connaîtraient de lui que la campagne d'au« tomne de i8i3 , pourraient avec raison douter de ses «< grands talens militaires , et le ranger dans la classe « des Daun , des Soubise et des Cobourg. On dirait « que son génie militaire se trouvait enchaîné par un « pouvoir supérieur devant lequel il se trouvait obh'gé
Page 175 - un caractère d'irrésolution et de tâtonnement qui « étonne d'autant plus, que l'audace et l'activité étaient « ses qualités distinctives ; il se laisse enlever partout « l'initiative' des mouvemens, il ne profite pas des « avantages que sa position centrale lui procure , et ne « rachète ses fautes par aucune de ces belles combinai« sons qui font la gloire d'un général, et auxquelles il « dut lui-même sa célébrité et la couronne impériale.
Page 141 - Cependant on combattait toujours ; la fusillade se prolongeait dans les faubourgs de Halle et de Rosenthal; et jusque dans le jardin de Reiker, à l'extrémité du boulevart de l'ouest , où le prince Poniatowski avait jeté quelques centaines de Polonais pour protéger la retraite. Encore deux heures, et soixante pièces de canon attelées et plu...
Page 138 - ... faubourg de Halle , derrière la Partha. Le pont en fut forcé par les Russes , malgré le feu et la mitraille de deux pièces de canons, qui le jonchèrent de cadavres, et l'ennemi pénétra dans la grande rue du faubourg ; mais même dans cette extrémité les Français continuèrent la défense; réfugiés dans les maisons , ils firent pleuvoir une grêle de balles sur les colonnes serrées des Russes, qui n'avançaient que lentement et avec la plus grande difficulté. Le prince royal, de...
Page 85 - Aapoléon devait rester à Dresde aussi long-temps qu'il le pouvait Toutes les raisons militaires et politiques se réunissaient pour l'engager à se soutenir sur la ligne de l'Elbe L'abandon de Dresde et de la Saxe décidait de la défection des princes de la confédération du Rhin , et donnait la faculté à toutes les forces alliées de se...
Page 7 - ... les marches des alliés, le développement de leurs projets et les opérations de ses lieutenants. (Manuscrit de 1813, II, 234.) Des événements imprévus mirent cette prévoyance en défaut. « D'après la teneur de l'armistice , dit le colonel Butturlin, aide de camp de l'empereur de Russie , les hostilités n'auraient dû commencer que six jours après sa dénonciation, c'est-à-dire le...
Page 136 - Ce faubourg n'a pour débouché que le pont qui est à l'extrémité du boulevard, du côté de la porte de Halle, et pour issue que la rue longue et étroite qui mène à la barrière de Machranstadt. Nos soldats appelèrent cette sortie barrière de...
Page 38 - ... secours. Les sommets de Peterswalde avaient été dégarnis, et le premier corps avait fini par se trouver tout entier entre Culm et Tœplitz, au les colonnes en retraite qui y arrivaient par les gorges de Zinnwall auraient été coupées , ce qui eût achevé de mettre la déroute parmi les alliés qui n'auraient atteint l'Eger que dans un état de désorganisation complète dont les Francais n'auraient pas manqué de profiter pour les pousser sans relâche jusqu'aux portes de Vienne.