nalant par des morts sa puissance inhumaine, rtout de la nature il entend les clameurs. is ces morts dans son sein nourrissent leur vengeurs ; ce sang étranger l'impétueuse flamme, poisonna son sang, dénatura son ame; pouvantables maux son corps fut déchiré ; rdentes passions son cœur fut dévoré. PAGE 97, VERS 4. r d'invincibles noeuds enchaînaient les mortels. PAGE 99, VERS 14. menaient au bonheur sur les pas des plaisirs. PAGE 99, VERS 18. tyran dans son Dieu, des Dieux dans ses tyrans. PAGE 103, VERS 9. ans un seul Homme ainsi l'amour-propre effréné. Laisse nos discoureurs combattre pour le choix Ce n'est point un divan, un concile, un sénat; Ajme tes ennemis et pardonne l'injure, >> Dans le bonheur public mets ton propre bonheur Voilà l'Homme de bien, le vrai législateur. PAGE 107, VERS 10. Les intérêts rivaux des peuples et des rois. PAGE 113, VERS I°F. O bonheur ! des humains le mobile suprême; PAGE 115, VERS 7. Hélas! tu croîs partout, dans toute la nature. PAGE 115, VERS II. Il existe pour tous, ou n'est fait pour personne; PAGE 115, VERs 23. Pense le bonheur est d'être exempt de maux; que Et l'autre s'élevant jusqu'à l'Etre Suprême ; VARIANTES DE L'EPITRE IV. PAGE 115, VERS 26. Ou bien doutent de tout, ou ne doutent de rien. PAGE 117, VERS 18. Tout paie au bien public un tribut nécessaire. PAGE 119, VERS II. L'ordre est la grande loi du créateur suprême, PAGE 119, VERS 14. Fonde sur les besoins le bonheur général ; Que tout, bien, rang, pouvoir, soit égal sur la terre. PAGE 121, VERS 19. O vous, nouveaux géans, fiers enfants de la terre, 195 Les vrais dons qu'ici bas le ciel daigna nous faire, etc. PAGE 131, VERS 13. Dis-moi, quand un enfant fait place à l'Homme sage, PAGE 131, VERS 18. Des sceptres, des jouets, un grelot, un empire. PAGE 131, VERS 25. LJ Des trésors sans vertu, la grandeur due au crime. Va douter que le ciel veille à ses destinées, PAGE 133, VERS 25. Que me font les habits dont l'orgueil est vêtu? La bassesse commence où finit la vertu. 1 |