Revue des deux mondes, Volume 14François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1903 - France |
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affaires allemande assez aurait avaient Berwick Bismarck c'était catholique Chamillart Charles chose cœur congrégations conseils cour d'ailleurs demander devant Dieu diplomatie dire donner douars Drouyn de Lhuys duc d'York Duc de Bourgogne duchesse de Portsmouth écoles Elias enfans ennemis établissemens eût évangélique événemens femme fille force française frère général gouvernement Grazia Deledda guerre Hélène homme indigènes j'ai Jacob Riis jamais jeune jour Jules Favre Kabylie Kéroualle l'abbé Porcheddu l'Allemagne l'armée l'Autriche l'Église l'Empereur l'Italie laisser Lavater Lawrence Bell lettre Lille lord Louis XIV Louise de Kéroualle Madame Maddalena Mary ment millions ministre monde n'avait n'était parler passé passion pays pensée personne peuple peut-être Pietro politique porte pouvait premier presque prince Prusse puissance qu'un raison religieux reste rien Rome Russie s'est s'il saint semblait sentimens sentiment serait seul Siennois situation Sixte IV Sixtine sorte Sultan Thiers tion trouve Vendôme yeux Zia Annedda Zio Martinu Zio Portolù
Popular passages
Page 749 - En effet, nous ne pourrions songer à l'extension de nos frontières que si la carte de l'Europe venait à être modifiée au profit exclusif d'une grande Puissance, et si les provinces limitrophes demandaient, par des vœux librement exprimés, leur annexion à la France.
Page 749 - En dehors de ces circonstances, je crois plus digne de notre pays de préférer à des acquisitions de territoire le précieux avantage de vivre en bonne intelligence avec nos voisins, en respectant leur indépendance et leur nationalité. « Animé de ces sentiments et n'ayant en vue que le maintien de la paix, j'avais fait appel à l'Angleterre et à la Russie pour adresser ensemble aux parties intéressées des paroles de conciliation. L'accord établi entre les puissances neutres restera à lui...
Page 461 - ... pleins de terre. Il ne sera jamais, dames siennoises, que je n'immortalise votre nom tant que le livre de Montluc vivra; car, à la vérité, vous êtes dignes d'immortelle louange, si jamais femmes le furent. Au commencement de la belle résolution que ce peuple fit de défendre sa liberté, toutes les dames de la ville de Sienne se...
Page 824 - Écoutez les personnes les plus expérimentées, et ensuite prenez votre parti. Il est moins dangereux d'en prendre un mauvais que de n'en prendre aucun, ou que d'en prendre un trop tard. Pardonnez, monseigneur, la liberté d'un ancien serviteur qui prie sans cesse pour vous, et qui n'a d'autre consolation en ce monde que celle d'espérer que, malgré ses traverses, Dieu fera par vous des biens infinis.
Page 749 - ... diplomatique qui les couvrait, et prendre en sérieuse considération les vœux légitimes des souverains et des peuples. Le conflit qui s'est élevé a trois causes : La situation géographique de la Prusse mal délimitée.
Page 823 - Qui est-ce qui est parfait à vingt-six ans pour le très difficile métier de la guerre, quand on ne l'a jamais fait de suite? Pour votre piété, si vous voulez lui faire honneur, vous ne sauriez être trop attentif à la rendre douce, simple, commode, sociable.
Page 822 - Il est vrai que j'ai essuyé une épreuve depuis quinze jours; et je me trouve bien loin de l'avoir reçue comme je le devais, me laissant et emporter aux prospérités, et abattre dans les adversités...
Page 823 - Si vous êtes fidèle a lire et u prier dans vos temps de réserve, et si vous marchez pendant la journée en présence de Dieu, dans cet esprit d'amour et de confiance familière, vous aurez la paix ; votre cœur sera élargi ; vous aurez une piété sans scrupule, et une joie sans dissipation.
Page 461 - O le bel exemple que voicy, et que je veux coucher par escrit, afin de servir de miroir à ceux qui voudront conserver leur liberté ! Tous ces pauvres habitans , sans monstrer nul desplaisir ny regret de la ruyne de leurs maisons, mirent les premiers la main à l'œuvre; chacun accourt à la besogne. Il ne fut jamais qu'il n'y eust plus de quatre mil...
Page 271 - France a le droit incontestable d'y élever la voix? Qui pourra l'arrêter, lorsque, s'appuyant sur les règles éternelles de la justice, elle défendra les principes qui garantissent son indépendance et sa dignité? Elle n'abandonnera aucun de ceux que nous avons posés : notre programme n'a pas changé, et l'Europe, qui convie celui qui l'a tracé, sait fort bien qu'il a le devoir et la volonté de le maintenir.