Die Gegenwart: eine encyklopädische Darstellung der neuesten Zeitgeschichte für alle Stände, Volume 1Brockhaus, 1848 - Germany |
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Popular passages
Page 543 - ... suprême politique, et que chaque révolution opérée par le peuple français doit au monde la consécration d'une vérité philosophique de plus; » Considérant qu'il n'ya pas de plus sublime principe que l'inviolabilité de la vie humaine; » Considérant que, dans les mémorables journées où nous sommes, le Gouvernement provisoire a constaté avec orgueil que pas un cri de vengeance ou de mort n'est sorti de la bouche du peuple; » Déclare : » Que dans sa pensée la peine de mort est...
Page 543 - Le Gouvernement provisoire, convaincu que la grandeur d'âme est la suprême politique, et que chaque révolution opérée par le peuple français doit au monde la consécration d'une vérité philosophique de plus ; Considérant qu'il n'ya pas de plus sublime principe que l'inviolabilité de la vie humaine; Considérant que, dans les mémorables journées où nous sommes, le Gouvernement provisoire a constaté avec orgueil que pas un cri de vengeance ou de mort n'est sorti de la bouche...
Page 543 - Déclare : » Que dans sa pensée la peine de mort est abolie en matière politique, et qu'il présentera ce vœu à la ratification définitive de l'Assemblée nationale. » Le Gouvernement provisoire a une si ferme conviction de la vérité qu'il proclame au nom du peuple français, que si les hommes coupables qui viennent de faire couler le sang de la France étaient dans les mains du peuple, il y aurait à ses yeux un châtiment plus exemplaire à les dégrader qu'à les frapper.
Page 40 - J'abdique, y était-il dit, cette couronne que la voix nationale m'avait appelé à porter, en faveur de mon petit-fils le comte de Paris.
Page 534 - ... in umbe guot genesen, swie des doch niht solde wesen. Der scherge do die niune hie ; den einen er do leben lie (daz was sin zehende und sin reht) : der hiez Slintezgeu Helmbreht.
Page 538 - Code pénal sera incessamment réformé, de manière que les peines soient proportionnées aux délits ; observant qu'elles soient modérées, et ne perdant pas de vue cette maxime de la déclaration des droits de l'homme, que la loi ne peut établir que des peines strictement et évidemment nécessaires.
Page 53 - Des hommes du peuple mêlés de gardes nationaux, y pénètrent en criant : A bas la Chambre ! Pas de députés ! Un de ces hommes a poussé le canon de son fusil dans la direction du bureau. Les cris : Ne tirez pas! Ne tirez pas ! C'est M. de Lamartine qui parle ! retentissent avec force.
Page 40 - J'abdique cette Couronne que la voix nationale « m'avait appelé à porter, en faveur de mon petit-fils » le Comte de Paris. — Puisse-t-il réussir dans la » grande tâche qui lui échoit aujourd'hui ! » 24 février 1848. » LOUIS-PHILIPPE. » On remarquera que nulle mention n'y est faite de la Régence.