Etudes religieuses, historiques et littérairesBureau de la Revue, chez J. Albanel, 1867 |
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Popular passages
Page 335 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 340 - ... routes certaines , Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés ; Quand j'entendrais gémir et se briser la terre; Quand je verrais son globe errant et solitaire, Flottant loin des soleils , pleurant l'homme détruit , Se perdre dans les champs de l'éternelle nuit; Et quand , dernier témoin de...
Page 340 - Je te salue , ô Mort! Libérateur céleste, Tu ne m'apparais point sous cet aspect funeste Que t'a prêté long-temps l'épouvante ou l'erreur; Ton bras n'est point armé d'un glaive destructeur, Ton front n'est point cruel, ton œil n'est point perfide ; Au secours des douleurs un Dieu clément te guide ; Tu n'anéantis pas, tu délivres : ta main, Céleste messager, porte un flambeau divin ; Quand mon œil fatigué se ferme à la lumière...
Page 486 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue...
Page 212 - Voulez-vous sauver l'une et l'autre, unissez-les toutes deux à l'humanité telle que l'ont faite dix-huit siècles de Christianisme. Rien n'est stationnaire en ce monde. Vous avez régné sur les rois, puis les rois vous ont asservie. Séparez-vous des rois, tendez la main aux peuples, ils vous soutiendront de leurs robustes bras, et, ce qui vaut mieux, de leur amour. Abandonnez les débris terrestres de votre ancienne grandeur ruinée; repoussez-les du pied comme indignes de vous : aussi bien l'on...
Page 340 - Pour moi, quand je verrais dans les célestes plaines Les astres, s'écartant de leurs routes certaines, Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés; Quand j'entendrais gémir...
Page 483 - Lazare ce que c'est que l'humanité; venez voir dans un même objet la fin de vos desseins et le commencement de vos espérances; venez voir tout ensemble la dissolution et le renouvellement de votre être ; venez voir le triomphe de la vie dans la victoire de la mort : Veni et vide.
Page 341 - Ah ! si dans ces instants où l'âme fugitive S'élance et veut briser le sein qui la captive, Ce Dieu, du haut du ciel répondant à nos vœux $ D'un trait libérateur nous eût frappés tous deux ; M os âmes, d'un seul bond remontant vers leur source ^ Ensemble auraient franchi les mondes dans leur course ; A travers l'infini, sur l'aile de...
Page 203 - Je ne saurais prendre sur moi de travailler à mon deuxième volume. Tout m'est à charge. La vie est trop pesante pour moi. J'ai beau me dire à cet égard ce qu'on souhaite, ce qui peut-être est raisonnable au fond, le .sentiment l'emporte, il m'écrase. Quelle terrible pensée que celle d'avoir réduit...
Page 42 - Vous pivots ! vous rochers ! vous sables ! Nous sommes... Venez, vous qui devez former la terre ! Il les presse, les presse encore ; mais ces matières ne veulent pas s'unir. Alors, de sa main droite, il lance les sept cieux, pour en former la première base et la lumière est créée ; l'obscurité n'existe plus. Tout se voit. L'intérieur de l'univers brille. Le Dieu reste ravi en...