Oeuvres de Jacques Delille: Les jardinsChez Giguet et Michaud, 1820 |
From inside the book
Results 1-5 of 19
Page 14
... regrets que le poëte a donnés à la destruction de l'an- cien parc de Versailles , auquel il a attaché des souvenirs de tout ce qu'offrait de plus touchant et de plus majestueux un siècle à jamais mémo- rable ; dans la peinture des ...
... regrets que le poëte a donnés à la destruction de l'an- cien parc de Versailles , auquel il a attaché des souvenirs de tout ce qu'offrait de plus touchant et de plus majestueux un siècle à jamais mémo- rable ; dans la peinture des ...
Page 50
... , le charme disparaît . Aux bornes d'un beau lieu nous touchons à regret : Bientôt il nous ennuie , et même nous irrite : Au - delà de ces murs , importune limite , On imagine encor de plus aimables lieux ; Et l'esprit 50 LES JARDINS .
... , le charme disparaît . Aux bornes d'un beau lieu nous touchons à regret : Bientôt il nous ennuie , et même nous irrite : Au - delà de ces murs , importune limite , On imagine encor de plus aimables lieux ; Et l'esprit 50 LES JARDINS .
Page 75
... regret , Avant d'exécuter un rigoureux arrêt . Ah ! songez que du temps ils sont le lent ouvrage , Que tout votre or ne peut racheter leur ombrage , Que de leur frais abri vous goûtiez la douceur . Quelquefois cependant un ingrat ...
... regret , Avant d'exécuter un rigoureux arrêt . Ah ! songez que du temps ils sont le lent ouvrage , Que tout votre or ne peut racheter leur ombrage , Que de leur frais abri vous goûtiez la douceur . Quelquefois cependant un ingrat ...
Page 76
... regrets ! ô bosquets ravissans , Chefs - d'œuvre d'un grand roi , de Le Nôtre , et des ans ! La hache est à vos pieds , et votre heure est venue . Ces arbres dont l'orgueil s'élançait dans la nue , Frappés dans leur racine , et ...
... regrets ! ô bosquets ravissans , Chefs - d'œuvre d'un grand roi , de Le Nôtre , et des ans ! La hache est à vos pieds , et votre heure est venue . Ces arbres dont l'orgueil s'élançait dans la nue , Frappés dans leur racine , et ...
Page 77
... regret de leurs berceaux antiques . Ces dieux , dont le ciseau peupla ces verts portiques , D'un voile de verdure autrefois habillés , Tout honteux aujourd'hui de se voir dépouillés , Pleurent leur doux ombrage ; et , redoutant la vue ...
... regret de leurs berceaux antiques . Ces dieux , dont le ciseau peupla ces verts portiques , D'un voile de verdure autrefois habillés , Tout honteux aujourd'hui de se voir dépouillés , Pleurent leur doux ombrage ; et , redoutant la vue ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abdolonyme agréable amours arbres arbrisseaux asile aspects bâtimens beau beauté Beloeil bergers Bleinheim bocage bois bonheur bords bosquets brillans buis cascade champêtre champs charmans charmant cher Chinois ciel cœur colline coteaux d'arbres délicieux dessins dieux différens divers douce douce illusion doux duc de Marlborough eaux Élysée embellit enchanté enchanteur festons fleurs flots frais galerie gazons genre Géorgiques gloire goût heureux imité j'ai jardins jour Kiow l'art l'œil l'onde l'orgueil lacs lieu lieux Limours loin luxe main marbre Midleton monde montagnes monumens monument muse myrtes nature Obélisque objets ombrages ombre ondes orne ornemens ouvrage palais parure paysages peint Pétrarque peuple peupliers plaisir plaisirs plaît plantes poëme poëte pompe pompeux printemps Pulhavie quelquefois rameaux rampans regret rians riant riches rivière rochers rocs rois ruisseau sauvage scènes séjour sentiers soleil sombre superbe tableaux tantôt temple temple de Vesta terre Tivoli triste troncs vallons vaste verdure verts vieux Virgile Vistule yeux Zéphyre
Popular passages
Page 217 - Insuperable height of loftiest shade, Cedar, and pine, and fir, and branching palm, A sylvan scene ; and as the ranks ascend, Shade above shade, a woody theatre Of stateliest view.
Page 83 - Viens , non le front chargé des nuages affreux Dont marche enveloppé le chagrin ténébreux , Mais l'œil demi-voilé, mais telle qu'en automne A travers des vapeurs un jour plus doux rayonne : Viens le regard pensif, le front calme, et les yeux Tout prêts à s'humecter de pleurs délicieux.
Page 218 - Which from his darksome passage now appears ; And now, divided into four main streams, Runs diverse, wandering many a famous realm And country, whereof here needs no account...
Page 83 - Tel est le sort commun. Bientôt les aquilons Des dépouilles des bois vont joncher les vallons De moment en moment la feuille sur la terre En tombant interrompt le rêveur solitaire. Mais ces ruines même ont pour moi des attraits. Là, si mon cœur nourrit quelques profonds regrets...
Page 154 - Pâles, veillaient, brûlaient, se consumaient pour Dieu. Le saint recueillement, la paisible innocence Semble encor de ces lieux habiter le silence ; La mousse de ces murs, ce dôme, cette tour, Les arcs de ce long cloître impénétrable au jour, Les degrés de l'autel usés par la prière, Ces noirs vitraux, ce sombre et profond sanctuaire Où peut-être des cœurs, en secret malheureux , A l'inflexible autel se...
Page 218 - A happy rural seat of various view ; Groves whose rich trees wept odorous gums and balm, Others whose fruit, burnish'd with golden rind, Hung amiable (Hesperian fables true, If true, here only), and of delicious taste...
Page 160 - Toi surtout, brave Cook, qui, cher à tous les cœurs, Unis par les regrets la France et l'Angleterre ; Toi qui, dans ces climats où le bruit du tonnerre Nous annonçait jadis, Triptolème nouveau , Apportais le coursier...
Page 97 - Hélas ! je n'ai point vu ce séjour enchanté , Ces beaux lieux où Virgile a tant, de fois chanté ; Mais, j'en jure et Virgile et ses accords sublimes! J'irai; de l'Apennin...
Page 51 - Là, du sommet lointain des roches buissonneuses, Je vois la chèvre pendre ; ici de mille agneaux L'écho porte les cris de coteaux en coteaux. Dans ces prés abreuvés des eaux de la colline, Couché sur ses genoux, le bœuf pesant rumine Tandis qu'impétueux, fier, inquiet, ardent, Cet animal guerrier qu'enfanta le trident Déploie, en se jouant dans un gras pâturage, Sa vigueur indomptée et sa grâce sauvage.
Page 218 - With mazy error under pendent shades Ran Nectar, visiting each plant, and fed Flowers worthy of Paradise, which not nice art In beds and curious knots, but nature boon Pour'd forth profuse on hill, and dale, and plain, Both where the morning sun first warmly smote The open field, and where the unpierced shade Imbrown'd the noontide bowers. Thus was this place A happy rural seat of various view...